Lucija-Tomljenovic

Biographie Lucija Tomljenovic

Lucija Tomljenovic a obtenu son doctorat en biochimie en 2009, au Laboratoire de génomique comparative à l’Université James Cook à Townsville, en Australie. En 2010, elle rejoint comme chercheuse le Neural Dynamics Research Group de l’Université de Colombie-Britannique, Vancouver, Canada (laboratoire du Pr Chris Shaw). Elle étudie actuellement les effets neurotoxiques de l’adjuvant aluminium. Elle est récemment devenue rédacteur en chef adjoint de Journal of Alzheimer’s Disease.

Elle est l’auteure avec le Pr Chris Shaw de « Aluminum Vaccine Adjuvants: Are they Safe? » – Current Medicinal Chemistry, 2011 (lire la publication intégrale ci-dessous).

Extrait :

La notion généralement acceptée de la sûreté des adjuvants aluminiques n’apparaît pas fermement établie dans la littérature scientifique et, en cela, cette absence a pu nous conduire à des conclusions erronées en ce qui concerne la signification de ces composés dans l’étiologie de beaucoup d’affections neurologiques courantes. De plus, l’utilisation continue de placébos contenant de l’aluminium dans les essais cliniques de vaccins nous a peut-être conduits à sous-estimer la vraie valeur des effets indésirables associés aux vaccins avec des adjuvants d’aluminium. A notre avis, une évaluation complète de l’impact global de l’aluminium sur la santé humaine a trop tardé à être mise en place

Elle s’est particulièrement intéressée à la question de la vaccination contre le papillomavirus, avec notamment ces deux publications :
Human papillomavirus (HPV) vaccines as an option for preventing cervical malignancies: (how) effective and safe?
HPV vaccines and cancer prevention, science versus activism

Extrait :

Les déclarations optimistes comme quoi les vaccins HPV préviendront les cancers du col de l’utérus et sauveront des vies, et qu’ils sont extrêmement sûrs, reposent sur des hypothèses qui sont mal interprétées, et présentées au public comme des preuves. Une réduction plus importante du nombre de cancers du col pourrait être mieux atteinte en optimisant le dépistage (qui ne présente pas de risques graves pour la santé) et en ciblant d’autres facteurs de la maladie plutôt que de recourir à des vaccins aux profils d’efficacité et de sécurité discutables.

 

>>> Lire sa publication « Les adjuvants aluminiques dans les vaccins : sont-ils sans danger ? » en français ou en anglais (co-écrite avec le Pr Shaw)


>>> Lire ses publications sur l’aluminium et l’autisme (en anglais) : celle de 2014 et celle de 2011

 

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