VOUS ÊTES… PARENT

NOTE PRÉALABLE

Les réponses que nous apportons aux questions que vous pouvez vous poser sont issues de notre expérience. Nous souhaitons ainsi vous apporter des éléments d’information susceptibles d’éclairer vos choix.
Nos conseils ne sont en aucun cas des prescriptions médicales, car rien ne peut remplacer l’indispensable relation de confiance entre le patient et son médecin.
N’hésitez pas à nous faire connaître les sujets qui ne seraient pas traités, nous compléterons alors cette rubrique !

Deux médecins vous proposent, en plus de ces questions-réponses, un document à télécharger composé de conseils et de précautions à prendre autour de la vaccination.

Cécilia, mère de 3 enfants

Je m’appelle Cécilia Aguilar. J’ai 3 enfants de 9, 7 et 3 ans. Je veux les vacciner, mais avec des vaccins sans aluminium. Sinon, j’ai l’impression que leur santé se joue à la roulette russe.

Si vous voulez rejoindre cette campagne et agir pour que nos enfants aient accès à des vaccins sans aluminium, contactez-moi !

Depuis le 1er janvier 2018, onze vaccinations sont obligatoires (contre trois précédemment), sauf contre-indication médicale reconnue.

  • la diphtérie :
  • le tétanos ;
  • la polio ;
  • la coqueluche ;
  • l’haemophilius influenzae B ;
  • l’hépatite B ;
  • le méningocoque C ;
  • le pneumocoque ;
  • les oreillons ;
  • la rougeole ;
  • la rubéole.

La justification doit être fournie lors de l’admission dans toute école, garderie, colonie de vacances ou autre collectivité d’enfants.

Le calendrier vaccinal officiel est le suivant (à noter : seul le vaccin ROR ne contient pas d’aluminium) :

Calendrier vaccinal 2018

Références : 

Code de la santé publique : articles L3111-4 à L3111-11
Code de la santé publique : articles R3111-1 à R3111-5
http://vosdroits.service-public.fr/particuliers/F704.xhtml

Attention – Un vaccin, comme tout médicament, n’est pas un produit anodin. Il peut exister des contre-indications à la vaccination en général, ou à un vaccin en particulier.

Parmi les 11 vaccinations obligatoires, seulement Rougeole-Oreillon-Rubéole ne contiennent pas d’aluminium.
Le site mesvaccins.net présente l’ensemble des vaccins disponibles en France, avec leur composition.

Absolument !

Avant la vaccination :

Toute vaccination doit être précédée d’un entretien approfondi par lequel le médecin recherchera notamment des antécédents médicaux pouvant contre-indiquer de façon temporaire ou définitive la vaccination (voir notre réponse à la question sur les contre-indications).

Selon la vaccination que vous envisagez, vous pouvez demander à votre médecin qu’il vous prescrive un dosage d’anticorps, de façon à vérifier l’état réel de votre couverture vaccinale. Si vous êtes toujours immunisé(e), un rappel n’est peut-être pas nécessaire ! Vous éviterez ainsi une dose d’aluminium non utile. Attention, pour le DTP, le dosage d’anticorps contre la diphtérie n’est pas pris en charge par la sécurité sociale.

Il convient aussi d’être extrêmement prudent si des membres de votre famille sont atteints de maladie auto-immunes (voir notre réponse à la question sur les contre-indications, ainsi que les travaux du Pr Shoenfeld disponibles sur ce site).

Pendant la vaccination :

Vous devez être très vigilant en ce qui concerne la traçabilité de vos vaccins reçus :

– Prenez soin de ne pas égarer vos carnets de santé ou de vaccinations sur lesquels vos vaccins figurent, pour faire vos rappels en temps et en heure et ne pas faire d’injections trop rapprochées voire inutiles.

– Chaque vaccin doit être noté avec précision sur votre carnet et de la manière suivante : date, nom exact du vaccin, N° de lot, signature et cachet du médecin qui a réalisé l’acte. Sachez que sur chaque ampoule il existe une étiquette détachable que vous pouvez coller vous-même en plus sur votre carnet et qui permet d’avoir le nom exact du vaccin, le N° de lot et le nom du laboratoire qui l’a produit.

– Enfin le membre et le côté du corps où le vaccin a été réalisé devraient toujours être renseignés (ex : bras gauche). Si ce n’est pas le cas, inscrivez le vous-même tout de suite après la vaccination pour ne pas l’oublier.

– Enfin, si vous avez égaré votre carnet de santé ou de vaccinations, ne refaites pas toute la série de vaccins sans faire mesurer votre taux d’anticorps pour chacun des vaccins en laboratoire avec une prise de sang.

Après la vaccination :

1) Nous vous conseillons de lire la publication du Pr Chris Exley (rubrique les preuves scientifiques). Ce dernier est surnommé par ses pairs « Monsieur Aluminium ». Ses travaux montrent tout l’intérêt qu’il y aurait à boire des eaux chargés en silice, car la silice (sous cette forme) est un chélateur de l’aluminium. Il est sans doute très judicieux de boire beaucoup de cette eau notamment lorsque l’on reçoit une vaccination aluminique. Le taux de silice est marqué sur les étiquettes des bouteilles. Vous pouvez aussi consulter notre tableau récapitulatif des eaux chargées en silice.

2) L’homéopathie est fréquemment l’objet de polémiques. A chacun de se faire son opinion. Un Diplôme Inter Universitaire lui est consacré, et il nous semble donc logique de faire connaitre le conseil apporté par le Dr Scimeca, Président de la Fédération Française d’Homéopathie, tel qu’il est publié sur le site internet Passeport Santé, reconnu pour sa qualité et son sérieux : Une solution possible est de drainer chaque vaccination par quelques granules homéopathiques utilisés systématiquement avant et après. Prendre « thuya 9CH, 5 granules le matin et Silicea 9CH, 5 granules le soir, les cinq jours qui précédent et les 5 jours qui suivent chaque vaccin ».
Il complète ainsi pour les vaccins contenant de l’aluminium : on pourra y adjoindre une préparation sur une durée de deux semaines avant le vaccin. On prendra alumina 4CH (médicament homéopathique préparé à partir d’aluminium dilué et dynamisé) 5 granules le matin et 5 granules le soir, durant les deux semaines qui précèdent.

Le guide des vaccinations précise :

« Préalablement à chaque administration vaccinale, les personnes à vacciner doivent être interrogées : on recherchera notamment des antécédents médicaux pouvant contre-indiquer de façon temporaire ou définitive la vaccination, en faisant préciser les réactions à des injections antérieures du vaccin que l’on s’apprête à inoculer ou de vaccins apparentés.
Les contre-indications temporaires font différer la vaccination, mais le patient, ou sa famille, doit être informé de la date et/ou des conditions qui permettront de pratiquer la vaccination.
Les rares contre-indications définitives éliminent la vaccination : la contre-indication à la vaccination concernée doit être mentionnée sur le carnet de santé.
Les textes d’autorisation de mise sur le marché des vaccins comportent les contre-indications et sont régulièrement mis à jour (par exemple, sur le site de l’Afssaps ou dans le Dictionnaire des spécialités pharmaceutiques).
Un vaccin est contre-indiqué en cas d’hypersensibilité à l’un de ses composants, ou de réactions d’hypersensibilité ou de troubles neurologiques survenus lors d’une injection précédente. »

Par exemple, le fait d’avoir une myofasciite à macrophages, ou que quelqu’un de sa famille en soit atteint, est un motif de contre-indication.

La plus grande prudence doit aussi être observée si des membres de votre famille sont atteints d’une maladie auto-immune. Il convient alors de discuter avec votre médecin des avantages et des inconvénients (le bénéfice-risque) que représente la vaccination pour vous.

>> Plus d’informations

Des sanctions pénales sont prévues contre les parents en cas de non respect des vaccinations obligatoires, sanctions rappelées récemment par le Conseil Constitutionnel :

Application de l’article 227-17 du code pénal dans sa rédaction résultant de l’ordonnance du 4 juillet 2005 :
« Le fait, par le père ou la mère, de se soustraire, sans motif légitime, à ses obligations légales au point de compromettre la santé, la sécurité, la moralité ou l’éducation de son enfant mineur est puni de deux ans d’emprisonnement et de 30 000 euros d’amende.
« L’infraction prévue par le présent article est assimilée à un abandon de famille pour l’application du 3° de l’article 373 du code civil ».

Pour notre part, nous pensons que le principe de l’obligation vaccinale est obsolète et que les français sont à même, avec les conseils de leurs médecins, de choisir les vaccins qu’ils doivent recevoir, en tenant compte du bénéfice-risque tant individuel que collectif.

La pierre angulaire de tout l’édifice de la vaccination, c’est la confiance.

Et pour que les Français retrouvent confiance, il doit y avoir une transparence complète à tous les niveaux (les experts qui conseillent le gouvernement doivent être indépendants, les alertes sanitaires doivent être entendues, les avis contradictoires doivent être entendus et discutés de manière scientifique, etc.).

Le principe de l’utilisation d’adjuvants pour stimuler la réponse immunitaire date de 1925. Le choix des sels d’aluminium (1926) s’est fait sur des critères d’efficacité.

Jusqu’à très récemment, la communauté médicale partait du postulat simple que l’aluminium étant toxique, les enfants l’éliminaient (par l’urine) dans les 2 à 3 semaines après l’injection du vaccin.

Mais cette affirmation n’a fait l’objet d’aucune étude…
On découvre maintenant que cet aluminium est neurotoxique, qu’il migre dans l’organisme et s’accumule dans certaines parties du corps (cerveau, etc.).

Nous savons déjà que la myofasciite à macrophages est liée à cette présence d’aluminium dans le cerveau.
Mais ce n’est certainement pas la seule conséquence !
D’autres pathologies pourraient aussi être concernées. Par exemple la sclérose en plaques, la maladie de Charcot (sclérose latérale amyotrophique)… Il est même possible que l’aluminium joue un rôle dans l’augmentation exponentielle des troubles autistiques ou de l’hyperactivité.
C’est bien pour cela que nous disons : « pas de politique de l’autruche », il est urgent que les recherches se développent afin que l’on comprenne l’impact de cette accumulation d’aluminium dans notre organisme.

Cela ne dépend pas seulement du nombre de doses mais aussi de la singularité biologique de chacun, de son patrimoine génétique.
Néanmoins, on peut raisonnablement admettre que le risque augmente si le taux d’aluminium augmente dans l’organisme.
Seules des recherches approfondies (intégrant l’analyse génétique) permettraient de répondre à cette question.

Il n’est pas possible de répondre avec certitude à cette question, vous devez en parler avec votre médecin. En tout cas, il vous faut être extrêmement prudent avant de procéder à une autre vaccination pour votre enfant.
Toute vaccination, avec ou sans adjuvant, peut déclencher une réaction allergique (comme de nombreux autres médicaments d’ailleurs).
L’aluminium peut bien sûr contribuer par lui-même à une réaction allergique. Ce fut d’ailleurs l’une des raisons pour lesquelles l’Institut Pasteur a remplacé l’aluminium par le phosphate de calcium dans tous ses vaccins, en 1974.

Face à cette situation, votre médecin envisagera deux possibilités :
– Soit il s’agit d’une coïncidence,
– Soit il s’agit d’une réaction à la vaccination (d’autres études complémentaires seront alors nécessaires).
Vous (votre médecin et vous) devrez en tenir compte lors d’une vaccination future et être extrêmement prudents.

Votre médecin doit effectivement le signaler au centre régional de pharmacovigilance. Cela contribue à l’analyse du bénéfice-risque collectif du vaccin incriminé.

Vous pouvez aussi (et nous vous le recommandons fortement) signaler cet effet indésirable vous-même (en plus de la déclaration de votre médecin). Il vous suffit de le déclarer en ligne.

Vous l’aurez compris à la lecture de ce site, nous sommes très méfiants vis-à-vis de cet aluminium !

Notre conseil est : il ne faut utiliser ces vaccins que lorsque cela est indispensable. Analysez avec votre médecin votre « bénéfice-risque personnel ». Quels sont les risques auxquels vous êtes exposés, et quel bénéfice pouvez-vous espérer de cette vaccination ?

Et si vous devez vous faire vacciner, prenez toutes les précautions nécessaires (voir notre réponse à la question dédiée).

De nombreux adjuvants ont été (ou sont) testés. Mais les résultats ne sont pour l’instant pas convaincants. Ainsi, certains vaccins contre la grippe H1N1 avaient du squalène comme adjuvant, et ils ont déclenché de graves crises de narcolepsie.

Par contre, le phosphate de calcium semble présenter toutes les garanties d’un bon adjuvant. De plus, c’est un composant naturel de l’organisme. L’Institut Pasteur l’a d’ailleurs utilisé (à la place de l’aluminium) de 1974 à 1986, à la satisfaction générale (voir notre dossier spécial).

Il est considéré comme « un adjuvant biodégradable, ce qui représente un grand avantage sur les sels d’aluminium, voire un adjuvant idéal », selon des études récentes menées dans différents pays (USA, Allemagne, Iran, …).. (Bulletin scientifique E3M de mai 2020, Bulletin scientifique E3M de janvier 2021)

Pour notre part, nous ne sommes pas favorables à cette vaccination, pour quatre raisons :

– Ce vaccin contient de l’aluminium, et déclenche donc des myofasciites à macrophages.
– Chaque ampoule de Gardasil contient aussi, ce qui n’était pas prévu par les fabricants, 300 à 400 fragments d’ADN du papillomavirus. Ces fragments sont « scotchés » sur l’aluminium (voir la publication du Dr Lee). L’aluminium migrant dans l’organisme, il est tout à fait possible que ces fragments d’ADN accompagnent l’aluminium, et pénètrent ainsi dans le cerveau. Cela pourrait expliquer la survenue de graves pathologies inflammatoires (comme les Scléroses en plaques ou les Encéphalomyélites aigües disséminées), c’est théoriquement possible. Il serait urgent que des recherches indépendantes permettent d’en avoir le cœur net.
– Il est inutile, car seul le frottis réalisé tous les trois ans permet de se protéger du cancer du col de l’utérus.
– Son coût, alors qu’il est inutile, est prohibitif pour la collectivité.

Nous expliquons tout cela dans notre onglet spécial vaccination HPV.

Merci de votre intérêt à agir pour cette cause ! Ensemble nous aboutirons plus rapidement à une offre vaccinale plus sûre, car sans aluminium.
Cécilia a choisi de faire le lien entre tous les parents qui veulent agir. Contactez-la !

Votre énergie peut trouver à s’employer, et vos compétences aussi (diffusion d’informations, traduction, montage vidéo, relecture/élaboration de documents, actions locales…).
Peut-être avez-vous aussi des possibilités d’hébergements accessibles sur Paris, où nous nous rendons régulièrement pour des rencontres avec des institutions ou des élus.
Peut-être avez-vous aussi des idées, des envies à partager !

Et bien sûr, n’oubliez pas de :
Faire un don pour une recherche indépendante, afin de démontrer de manière indiscutable les dangers que fait courir l’aluminium à nos enfants ;
– Agir comme vous le pourrez à partir de nos propositions sur cette page.
– Sensibiliser votre entourage, votre association de parents d’élèves, interpeller vos élus locaux, départementaux, régionaux et nationaux. Nous menons des actions régulièrement. Tenez vous informé·e·s grâce à notre newsletter.

Car c’est l’affaire de tous !

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