VACCINATION : L’HEURE DU CHOIX
LA MINISTRE DE LA SANTÉ DOIT REJETER
LE RAPPORT TRUQUÉ DE LA CONCERTATION
DÉCOUVREZ L’ENQUÊTE CHOC D’E3M
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FÉVRIER 2017
Les conflits d’intérêts ne peuvent dicter la politique vaccinale d’un pays !
L’association E3M a analysé le contenu de la concertation lancée par la Ministre de la Santé en janvier 2016, mise en œuvre par le Pr Fischer et dont les conclusions ont été publiées le 30 novembre 2016.
Le rapport d’E3M est accablant : les conclusions de la concertation ne sont pas conformes aux demandes de la population, la loi sur l’indépendance de l’expertise n’est pas respectée… Le « comité Fischer », comme la plupart des experts dans le domaine de la vaccination, subit l’influence toujours plus forte de l’industrie pharmaceutique.
La Ministre de la Santé souhaite-t-elle réellement que les français retrouvent confiance à la fois dans la vaccination, mais aussi dans la capacité de leurs élus à agir pour le Bien Commun ? Alors elle doit s’engager sur le chemin que les citoyens souhaitent réellement.
Vous pouvez utiliser le sommaire ci-dessous pour consulter les différentes sections une par une.
Nous vous souhaitons une bonne lecture…
Synthèse
Alors que la mission du comité d’organisation du débat sur la vaccination était de « tenir compte de ce que veulent les jurys citoyens », les conclusions du débat ne sont pas conformes à l’avis de la population.
Les avis des citoyens et jurys n’ont été retenus que lorsqu’ils correspondaient à ce qui était attendu. Les questions fondamentales de la toxicité de l’aluminium, de la dangerosité du vaccin contre le cancer du col de l’utérus, des recherches indépendantes et des solutions alternatives à l’aluminium ont ainsi été écartées. Est-ce l’avis de l’industrie pharmaceutique qui a été retenu ?
>> Lire la synthèse (4 pages)
A - La mission du comité
B - Les outils de la concertation
C - Une concertation dévoyée
D - L‘indépendance de l’expertise n’est pas respectée
Préambule – Le comité Fischer a ainsi été bien au-delà de sa mission. Il a suivi sa propre logique et a délibérément choisi d’ignorer les propositions des jurys et des citoyens lorsque celles-ci ne rentraient pas dans le cadre pré-établi. Il s’agit donc bien d’un comité d’experts chargé d’éclairer la Ministre de la santé et non pas d’un simple comité d’organisation du débat national. Il se devait donc de respecter la Charte de l’expertise dont le principe avait été adopté par le législateur en 2011 suite à l’affaire du Mediator. >> Lire le préambule (1 page)
Explications – Voici quelques informations complémentaires au sujet des conflits d’intérêts, de la fonction d’expertise et des impératifs de transparence et d’indépendance qui y sont liés :
- Sur la Charte de l’expertise : lire le chapitre (1 page)
- Le courrier d’E3M au Pr Fischer dénonçant les conflits d’intérêts : lire le chapitre (3 pages)
- Les liens d’intérêts du comité Fischer : explications générales (2 pages) et focus sur Claire-Anne Siegrist (3 pages)
- Les discussions internes au comité Fischer sur les conflits d’intérêts : lire le chapitre (2 pages)
- Il faut cacher des éléments compromettants : lire les explications (1 page) et lire les 7 pages
Conclusion du chapitre et du rapport d’E3M – Une concertation anti-démocratique, dont le comité d’organisation n’est pas indépendant ni transparent et dont les propositions sont dictées par l’industrie pharmaceutique ? La ministre de la Santé doit maintenant apporter des réponses et prendre des responsabilités face à ce scandale sanitaire et démocratique. >> Lire la conclusion (2 pages)
E - L‘influence de l’industrie
F - En complément
« Il ne vous aura pas étonné que le sujet le plus clivant aura été pour l’ensemble du jury non pas la mise en place d’adjuvants dans les vaccins, mais les sels d’aluminium. Ainsi nous avions proposé la réintroduction des sels de phosphates de calcium pour certains vaccins et sous certaines conditions. (…) Cela n’a pas été finalement retenu.
Nous avions insisté sur le fait de donner des moyens supplémentaires sur une recherche indépendante et cette proposition elle non plus n’a pas été retenue. (…)
Nous savions que toutes nos propositions ne seraient pas retenues mais hormis le sentiment de frustration, j’ai effectivement pensé au vu de la présentation du professeur Fisher que nous servions de substrat à des propositions qui étaient déjà dans le pipeline sans faire de mauvais jeu de mots avec l’industrie pharmaceutique. »
Dr Langinier, membre du jury professionnel de santé