AM2E, Alliance maladies environnementales émergentes, représentée par Marie Grosman
Co-auteure de « Menace sur nos neurones » et conseillère de l’association « Non au mercure dentaire »
« La neurotoxicité de l’aluminium est reconnue par la communauté scientifique depuis plusieurs décennies. Dans les vaccins, il a été démontré que l’aluminium vaccinal peut migrer jusque dans le cerveau où il est piégé pour une longue période et peut alors exercer ses effets délétères (neuroinflammation, mort cellulaire…), entraînant des lésions retrouvées chez les malades souffrant de Myofasciite à macrophages. Or, l’aluminium peut facilement être remplacé par du phosphate de calcium qui présente une totale innocuité.
Il n’est pas acceptable que les pouvoirs publics laissent l’industrie pharmaceutique commercialiser des vaccins contenant des neurotoxiques comme l’aluminium ou encore le mercure*. Plus largement, en vertu d’un des grands principes de la médecine, « d’abord ne pas nuire », les vaccins ne devraient contenir aucune substance toxique : ni neurotoxique, ni CMR, ni perturbateur endocrinien.
* Le mercure (présent dans les vaccins multidoses au titre de conservateur, sous forme d’éthylmercure) a été peu à peu retiré des vaccinations infantiles dans l’UE au cours des années 2000. Il est discrètement revenu dans certains vaccins lors de la vaccination H1N1 (2009). Il est toujours largement utilisé dans les pays en développement. »