CONTACTEZ YVAN !
agir@vaccinssansaluminium.org
Les réponses que nous apportons aux questions que vous pouvez vous poser sont issues de notre expérience. Nous souhaitons ainsi vous apporter des éléments d’information susceptibles d’éclairer vos choix.
Nos conseils ne sont en aucun cas des prescriptions médicales, car rien ne peut remplacer l’indispensable relation de confiance entre le patient et son médecin.
N’hésitez pas à nous faire connaître les sujets qui ne seraient pas traités, nous compléterons alors cette rubrique !
Quels sont les vaccins obligatoires pour les enfants ?
Depuis le 1er janvier 2018, onze vaccinations sont obligatoires (contre trois précédemment), sauf contre-indication médicale reconnue.
La justification doit être fournie lors de l’admission dans toute école, garderie, colonie de vacances ou autre collectivité d’enfants.
Quels sont les vaccins recommandés ?
Le calendrier vaccinal officiel vous indique les vaccins recommandés.
Existe-t-il des vaccins sans aluminium ?
Parmi les 11 vaccinations obligatoires, seulement Rougeole-Oreillon-Rubéole ne contiennent pas d’aluminium.
Le site mesvaccins.net présente l’ensemble des vaccins disponibles en France, avec leur composition.
Existe-t-il à l’étranger des vaccins DTP sans aluminium ?
Contrairement à certaines rumeurs, il n’existe actuellement aucun vaccin contenant Diphtérie, Tétanos et Polio sans aluminium, en France comme à l’étranger !
Y a-t-il des précautions à prendre avant, pendant et après une vaccination (notamment pour atténuer les effets de l’aluminium) ?
Absolument !
Avant la vaccination :
Toute vaccination doit être précédée d’un entretien approfondi par lequel le médecin recherchera notamment des antécédents médicaux pouvant contre-indiquer de façon temporaire ou définitive la vaccination (voir notre réponse à la question sur les contre-indications).
Selon la vaccination que vous envisagez, vous pouvez demander à votre médecin qu’il vous prescrive un dosage d’anticorps, de façon à vérifier l’état réel de votre couverture vaccinale. Si vous êtes toujours immunisé(e), un rappel n’est peut-être pas nécessaire ! Vous éviterez ainsi une dose d’aluminium non utile. Attention, pour le DTP, le dosage d’anticorps contre la diphtérie n’est pas pris en charge par la sécurité sociale.
Il convient aussi d’être extrêmement prudent si des membres de votre famille sont atteints de maladie auto-immunes (voir notre réponse à la question sur les contre-indications, ainsi que les travaux du Pr Shoenfeld disponibles sur ce site).
Pendant la vaccination :
Vous devez être très vigilant en ce qui concerne la traçabilité de vos vaccins reçus :
– Prenez soin de ne pas égarer vos carnets de santé ou de vaccinations sur lesquels vos vaccins figurent, pour faire vos rappels en temps et en heure et ne pas faire d’injections trop rapprochées voire inutiles.
– Chaque vaccin doit être noté avec précision sur votre carnet et de la manière suivante : date, nom exact du vaccin, N° de lot, signature et cachet du médecin qui a réalisé l’acte. Sachez que sur chaque ampoule il existe une étiquette détachable que vous pouvez coller vous-même en plus sur votre carnet et qui permet d’avoir le nom exact du vaccin, le N° de lot et le nom du laboratoire qui l’a produit.
– Enfin le membre et le côté du corps où le vaccin a été réalisé devraient toujours être renseignés (ex : bras gauche). Si ce n’est pas le cas, inscrivez le vous-même tout de suite après la vaccination pour ne pas l’oublier.
– Enfin, si vous avez égaré votre carnet de santé ou de vaccinations, ne refaites pas toute la série de vaccins sans faire mesurer votre taux d’anticorps pour chacun des vaccins en laboratoire avec une prise de sang.
Après la vaccination :
1) Nous vous conseillons de lire la publication du Pr Chris Exley (rubrique les preuves scientifiques). Ce dernier est surnommé par ses pairs « Monsieur Aluminium ». Ses travaux montrent tout l’intérêt qu’il y aurait à boire des eaux chargés en silice, car la silice (sous cette forme) est un chélateur de l’aluminium. Il est sans doute très judicieux de boire beaucoup de cette eau notamment lorsque l’on reçoit une vaccination aluminique. Le taux de silice est marqué sur les étiquettes des bouteilles.
2) L’homéopathie est fréquemment l’objet de polémiques. A chacun de se faire son opinion. Un Diplôme Inter Universitaire lui est consacré, et il nous semble donc logique de faire connaitre le conseil apporté par le Dr Scimeca, Président de la Fédération Française d’Homéopathie, tel qu’il est publié sur le site internet Passeport Santé, reconnu pour sa qualité et son sérieux : Une solution possible est de drainer chaque vaccination par quelques granules homéopathiques utilisés systématiquement avant et après. Prendre « thuya 9CH, 5 granules le matin et Silicea 9CH, 5 granules le soir, les cinq jours qui précédent et les 5 jours qui suivent chaque vaccin ».
Il complète ainsi pour les vaccins contenant de l’aluminium : on pourra y adjoindre une préparation sur une durée de deux semaines avant le vaccin. On prendra alumina 4CH (médicament homéopathique préparé à partir d’aluminium dilué et dynamisé) 5 granules le matin et Bauxite 4CH (le minerai d’aluminium), 5 granules le soir, durant les deux semaines qui précèdent.
Que risque-t-on en cas de refus de se faire vacciner ?
Des sanctions pénales sont prévues contre les parents en cas de non respect des vaccinations obligatoires, sanctions rappelées récemment par le Conseil Constitutionnel :
Application de l’article 227-17 du code pénal dans sa rédaction résultant de l’ordonnance du 4 juillet 2005 :
« Le fait, par le père ou la mère, de se soustraire, sans motif légitime, à ses obligations légales au point de compromettre la santé, la sécurité, la moralité ou l’éducation de son enfant mineur est puni de deux ans d’emprisonnement et de 30 000 euros d’amende.
« L’infraction prévue par le présent article est assimilée à un abandon de famille pour l’application du 3° de l’article 373 du code civil ».
Mais deux questions se posent :
– Le principe de l’obligation vaccinale est-il compatible avec la loi Kouchner de 2002 (droit des malades) ? Voici la réponse du Pr Floret, Président du Comité Technique des Vaccinations, dans un entretien au journal La Croix du 9 octobre 2014 :
« En France, il existe une situation particulière avec la loi Kouchner du 4 mars 2002 relative au droit des malades. Ce texte donne la possibilité à une personne de refuser les soins qui lui sont proposés, y compris ceux qui pourraient lui sauver la vie. Cette loi Kouchner peut, c’est vrai, apparaître en contradiction avec l’obligation vaccinale ».
– Comment l’obligation vaccinale peut-elle s’appliquer alors qu’il n’y a plus de vaccins correspondants à cette obligation ?
En effet, il n’y a plus de DTPolio depuis 2008 (nous en expliquons les raisons dans un dossier spécial).
Et l’alternative mentionnée par le Ministère de la Santé (voir la question sur le DTP en deux injections simultanées) n’est pas crédible.
Conclusion provisoire :
Le « programme national d’amélioration de la politique vaccinale 2012-2017 » de la Direction Générale de la Santé prévoit « une redéfinition de la notion de vaccination obligatoire et recommandée ». Dans ce cadre, le Haut Conseil de la santé publique (HCSP) a souhaité analyser la situation française au regard de l’obligation vaccinale. Son avis du 6 mars 2014 ) : « le maintien ou non de l’obligation vaccinale en population générale relève d’un choix sociétal méritant un débat que les autorités se doivent d’organiser ».
Ce débat est mis en œuvre par le gouvernement, il doit se mener à partir d’octobre 2015.
Notre vœu : qu’il se mène en toute transparence et réponde aux inquiétudes des nombreux français.
Pour notre part, nous pensons que le principe de l’obligation vaccinale est obsolète, et que les français sont à même, avec les conseils de leurs médecins, de choisir les vaccins qu’ils doivent recevoir, en tenant compte du bénéfice-risque tant individuel que collectif.
La pierre angulaire de tout l’édifice de la vaccination, c’est la confiance.
Et pour que les français retrouvent confiance, il doit y avoir une transparence complète à tous les niveaux (les experts qui conseillent le gouvernement doivent être indépendants, les alertes sanitaires doivent être entendues, les avis contradictoires doivent être entendus et discutés de manière scientifique, etc.).
J’ai vu des émissions qui montrent les dangers de l’aluminium dans la vie quotidienne. En quoi l’aluminium dans les vaccins est-il particulièrement, souvent ou parfois dangereux ?
Le principe de l’utilisation d’adjuvants pour stimuler la réponse immunitaire date de 1925. Le choix des sels d’aluminium (1926) s’est fait sur des critères d’efficacité.
Jusqu’à très récemment, la communauté médicale partait du postulat simple que l’aluminium étant toxique, les bébés l’éliminaient (par l’urine) dans les 2 à 3 semaines après l’injection du vaccin.
Mais cette affirmation n’a fait l’objet d’aucune étude…
On découvre maintenant que cet aluminium est neurotoxique, qu’il migre dans l’organisme et s’accumule dans certaines parties du corps (cerveau, etc.).
Existe-t-il des recherches scientifiques prouvant les effets indésirables de l’aluminium ? Où peut-on les trouver ?
Toute personne honnête ne peut que constater l’existence d’alertes sérieuses sur les risques sanitaires liés à l‘utilisation d’aluminium comme adjuvant vaccinal.
Les éléments présentés dans cette campagne « Pour des vaccins sans aluminium » en atteste. Vous pouvez consulter l’état des connaissances scientifiques ainsi que les principales publications (versions françaises ou anglaises).
Vous pouvez aussi visionner le colloque organisé par l’OPECST (Office Parlementaire d’Évaluation des Choix Scientifiques et Technologiques), le 22 Mai 2014.
Bien sûr, ces alertes peuvent être contestées, c’est le propre de toute démarche scientifique. Mais dans la mesure où elles sont portées par des scientifiques aux qualités professionnelles indiscutables, elles doivent faire l’objet d’une vraie attention.
Vous pouvez aussi participer au financement des projets de recherches.
Quelles sont les maladies occasionnées par l’aluminium vaccinal ?
Nous savons déjà que la myofasciite à macrophages est liée à cette présence d’aluminium dans le cerveau.
Mais ce n’est certainement pas la seule conséquence !
D’autres pathologies pourraient aussi être concernées. Par exemple la sclérose en plaques, la maladie de Charcot (sclérose latérale amyotrophique)… Il est même possible que l’aluminium joue un rôle dans l’augmentation exponentielle des troubles autistiques ou de l’hyperactivité.
C’est bien pour cela que nous disons : « pas de politique de l’autruche », il est urgent que les recherches se développent afin que l’on comprenne l’impact de cette accumulation d’aluminium dans notre organisme.
A partir de quelle quantité de vaccins le risque de maladie est-il augmenté ?
Cela ne dépend pas seulement du nombre de doses mais aussi de la singularité biologique de chacun, de son patrimoine génétique.
Néanmoins, on peut raisonnablement admettre que le risque augmente si le taux d’aluminium augmente dans l’organisme.
Seules des recherches approfondies (intégrant l’analyse génétique) permettraient de répondre à cette question.
Si je réagis fortement à une vaccination (allergie, douleurs...), dois-je le signaler ?
Votre médecin doit effectivement le signaler au centre régional de pharmacovigilance (CRPV – liste des centres). Cela contribue à l’analyse du bénéfice-risque collectif du vaccin incriminé.
Vous pouvez aussi (et nous vous le recommandons fortement) signaler cet effet indésirable. Il vous suffit de télécharger le formulaire, de le remplir, puis de le retourner soit par mél, soit par courrier, au CRPV dont vous dépendez.
Doit-on être défavorable à tout vaccin ayant de l’aluminium comme adjuvant ?
Vous l’aurez compris à la lecture de ce site, nous sommes très méfiants vis-à-vis de cet aluminium !
Notre conseil est : il ne faut utiliser ces vaccins que lorsque cela est indispensable. Analysez avec votre médecin votre « bénéfice-risque personnel ». Quels sont les risques auxquels vous êtes exposés, et quel bénéfice pouvez-vous espérer de cette vaccination ?
Et si vous devez vous faire vacciner, prenez toutes les précautions nécessaires (voir notre réponse à la question sur ce sujet).
Existe-t-il d’autres adjuvants qui pourraient remplacer l’aluminium ?
De nombreux adjuvants ont été (ou sont) testés. Mais les résultats ne sont pour l’instant pas convaincants. Ainsi, certains vaccins contre la grippe H1N1 avaient du squalène comme adjuvant, et ils ont déclenché de graves crises de narcolepsie.
Par contre, le phosphate de calcium semble présenter toutes les garanties d’un bon adjuvant. De plus, c’est un composant naturel de l’organisme. L’Institut Pasteur l’a d’ailleurs utilisé (à la place de l’aluminium) de 1974 à 1986, à la satisfaction générale (voir notre dossier spécial).
Je voudrais rejoindre votre combat, comment puis-je vous soutenir ?
Merci de votre intérêt à agir pour cette cause ! Ensemble nous aboutirons plus rapidement à une offre vaccinale plus sûre, car sans aluminium.
Yvan a choisi de faire le lien entre tous les citoyens qui veulent agir. Contactez-le !
Votre énergie peut trouver à s’employer, et vos compétences aussi (diffusion d’informations, traduction, montage vidéo, relecture/élaboration de documents, actions locales…).
Peut-être avez-vous aussi des possibilités d’hébergement accessibles sur Paris, où nous nous rendons régulièrement pour des rencontres avec des institutions ou des élus.
Peut-être avez-vous aussi des idées, des envies à partager !
Et bien sûr, n’oubliez pas de :
– Signer et diffuser la pétition pour un retour du DTPolio sans aluminium, lancée par E3M en 2013 ;
– Faire un don pour la recherche, afin de démontrer de manière indiscutable les dangers que fait courir l’aluminium à nos enfants
– Sensibiliser votre entourage, votre association de parents d’élèves, interpeller vos élus locaux, départementaux, régionaux et nationaux.
Car c’est l’affaire de tous !
Vous réclamez le retour du DT Polio Mérieux. Mais il a été suspendu en juin 2008 parce qu‘il était à l’origine d‘une augmentation importante d’effets indésirables en particulier de type allergique !
Jusqu’en juin 2008, il existait effectivement un vaccin DTP sans aluminium : le DTPolio Mérieux. Il n’est plus commercialisé suite à « une hausse importante d’effets indésirables ».
Or, cette hausse n’existe pas, les données ont été falsifiées pour inquiéter les autorités sanitaires et que celles-ci ne s’opposent pas au retrait de ce vaccin.
Nous avons porté plainte pour faux, usage de faux et escroquerie.
Toute l’histoire est expliquée dans notre dossier spécifique : « Suspension du DTPolio Mérieux par Sanofi Pasteur, le 12 juin 2008 : Une décision sanitaire obtenue grâce à des données falsifiées »
La pétition du Pr Joyeux a fait beaucoup parlé d’elle. Quelle est votre position concernant cette démarche ?
Vous le savez peut-être, nous avons lancé une pétition pour le retour du DTPolio sans aluminium en 2013. Elle est d’ailleurs toujours active, n’hésitez pas à la signer et à la partager !
Nous avons donc été étonnés de ne pas avoir été contactés par le Pr Joyeux et l’Institut pour la Protection de la Santé Naturelle (malgré les mél que nous leur avons écrit ensuite), car nous avons développé une « expertise citoyenne » certaine sur ces sujets, que nous suivons depuis plus de 10 ans ! Cela aurait d’ailleurs certainement permis que leur pétition ne contienne pas un si grand nombre d’inexactitudes ou d’erreurs scientifiques.
Mais sur le fond, le nombre important de signataires (de la pétition du Pr Joyeux, mais aussi de la nôtre) montre bien que la population française est de plus en plus consciente du problème posé par la présence d’aluminium dans les vaccins, et nous nous en réjouissons.
Pourquoi ne parlez-vous que des problèmes de l’aluminium dans les vaccins, alors que des questions se posent également concernant le mercure et d’autres éléments ?
Nous sommes des militants bénévoles, et nous ne pouvons pas maîtriser tous les aspects de « la question vaccinale ».
Notre maladie (la myofasciite à macrophages) nous a amené à connaitre, et progressivement maîtriser, la problématique de l’aluminium vaccinal. Nous nous y tenons, cela suffit grandement à nous occuper !
Bien sûr, cela ne veut pas dire qu’il n’y ait pas d’autres questions qui se posent.
Nous pensons bien sûr au mercure, qui ne devrait maintenant plus exister dans les vaccins français.
Autre exemple, le Dr LEE aux Etats-Unis a montré que dans chaque ampoule de Gardasil, il existait des fragments d’ADN du papillomavirus scotchés sur l’aluminium. Il est donc possible que l’aluminium, en migrant et s’accumulant dans le cerveau, migre avec ce fragment d’ADN, ce qui déclencherait de graves pathologies comme l’EMAD (encéphalomyélite aigüe disséminée).
S’il y avait des problèmes, cela fait longtemps que les autorités sanitaires auraient fait quelque chose !
Les alertes concernant les dangers de l’amiante remontent à 1905, la preuve scientifique de sa cancérogénicité date de 1945, son interdiction a été décidée en 1997 et son retrait de toute fabrication en 2000 !
L’histoire se répète pour l’aluminium vaccinal…
Consultez notre dossier sur les conflits d’intérêts pour en savoir plus.
Vous faites peur aux parents qui ne voudront plus faire vacciner leurs enfants. N’est-ce pas irresponsable ?
Parler d’un métal toxique entrant dans la composition des vaccins ne veut pas dire que l’on est contre la vaccination ! Nous ne disons pas aux familles de ne pas vacciner leurs enfants, nous les alertons simplement sur la toxicité de l’aluminium.
Notre objectif est que chaque citoyen puisse bénéficier d’une offre vaccinale sécurisée. Et par cette campagne, nous invitons chacun à se mobiliser de manière responsable « pour des vaccins sans aluminium ». Et nous rappelons sans relâche que l’Institut Pasteur a montré le chemin en retirant l’aluminium de ses produits dès 1974…
Les vrais irresponsables, ce sont ceux qui freinent toute évolution pour des intérêts qui ne sont pas ceux de la Santé Publique.
Pourquoi les dangers de l’aluminium sont-ils si peu relayés dans les médias ?
Virginie Belle, journaliste, a publié un livre très documenté sur l’aluminium vaccinal en 2010 (« Quand l’aluminium nous empoisonne » – Ed Max Milo). De notre côté, nous sensibilisons les médias depuis de nombreuses années.
Des documentaires ont été diffusés sur France 5 (« Aluminium, notre poison quotidien » de Valérie Rouvière) et Arte (« Planète alu », de Bert Ergartner) qui ont fortement contribué à la sensibilisation du public.
Régulièrement, le sujet est repris par France 3, Le Monde, Le Nouvel Obs, le JDD… comme vous pourrez le voir en parcourant le site (voir aussi notre chaîne Youtube).
Mais il est vrai que nous aimerions en entendre parler de manière plus fréquente ! Car notre vie, celle de nos enfants, est en jeu… Nous sommes d’accord : il existe une certaine frilosité des médias à parler de sécurité vaccinale. Trois raisons possibles :
– La crainte de passer pour des soutiens (ou des chambres d’écho) « aux anti-vaccinalistes »,
– L’influence du poids économique des fabricants de médicaments via leur budget publicitaire,
– Le poids du conformisme.
Continuons donc à nous informer !
Pourquoi les responsables de la Santé Publique ne se préoccupent-ils pas de ce problème de Santé Publique ?
Le vaccin est un produit de santé. Comme tout médicament, il peut générer des effets indésirables. Mais ceux-ci sont difficilement acceptés et reconnus, car il existe un dogme au pays de Pasteur : « on ne critique pas la vaccination ».
L’influence du lobby pharmaceutique intervient aussi dans les décisions publiques. Nous connaissons bien l’omniprésence des liens d’intérêts entre l’industrie, les experts, et de nombreux décideurs.
Tout ceci conduit à une incapacité à prendre en compte les alertes de sécurité sanitaire pesant sur l’aluminium vaccinal, avec comme conséquences :
– Incapacité à prendre en charge les victimes de cet adjuvant,
– Incapacité à protéger la population en appliquant le principe de précaution pourtant inscrit dans la Constitution,
– Développement d’une méfiance de la population à l’encontre de l’acte vaccinal.
D’autres inquiétudes se rajoutent certainement :
– Qui sera jugé responsable ?
– Qui devra indemniser les victimes ?
Alors, chez nos dirigeants, on assiste au jeu de la patate chaude : ce sera au suivant de se débrouiller…
agir@vaccinssansaluminium.org
• Pour toute question sur la campagne ou si vous désirez agir:
contact@vaccinssansaluminium.org
• Pour toute question sur l’association E3M et la myofasciite à macrophages:
contact@asso-e3m.fr / 06 15 82 03 47
(de 11h à 13h et de 14h à 18h, du lundi au vendredi)