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dominique.le.houezec@freesbee.
Les réponses que nous apportons aux questions que vous pouvez vous poser sont issues de notre expérience. Nous souhaitons ainsi vous apporter des éléments d’information susceptibles d’éclairer vos choix.
Nos conseils ne sont en aucun cas des prescriptions médicales, car rien ne peut remplacer l’indispensable relation de confiance entre le patient et son médecin.
N’hésitez pas à nous faire connaître les sujets qui ne seraient pas traités, nous compléterons alors cette rubrique !
Il existe actuellement dans notre pays une méfiance grandissante du public et même des professionnels de santé envers la politique vaccinale du Ministère de la Santé. Après les excès reconnus des campagnes vaccinales contre l’hépatite B et la grippe H1N1, il est devenu impossible de se procurer un vaccin DTPolio sans adjuvant à base d’aluminium.
Depuis quelques mois, une pénurie chronique de certains vaccins pour nourrissons rend quasiment obligatoire le recours à un produit contenant la valence de l’hépatite B. Nous avons le sentiment que les laboratoires producteurs ont réussi à devenir les décideurs du geste vaccinal au mépris du libre choix des vaccinations que chacun d’entre nous souhaite pour lui-même ou ses enfants. L’hyper-sensibilité de certaines personnes à l’aluminium doit pouvoir faire remettre en circulation un vaccin DTPolio sans cet adjuvant. Ce qui était possible il y a peu de temps doit pouvoir être techniquement reconduit. Il ne nous manque qu’une réelle volonté politique.
Si, comme moi, vous souhaitez soutenir ce combat, contactez-moi !
Quelles peuvent être les conséquences d’une accumulation d’aluminium dans le cerveau ?
Nous savons déjà que la myofasciite à macrophages est liée à cette présence d’aluminium dans le cerveau.
Mais ce n’est certainement pas la seule conséquence !
D’autres pathologies pourraient aussi être concernées. Par exemple la sclérose en plaques, la maladie de Charcot (sclérose latérale amyotrophique)… Il est même possible que l’aluminium joue un rôle dans l’augmentation exponentielle des troubles autistiques ou de l’hyperactivité.
C’est bien pour cela que nous disons : « pas de politique de l’autruche », il est urgent que les recherches se développent afin que l’on comprenne l’impact de cette accumulation d’aluminium dans notre organisme.
Où puis-je trouver les dernières recherches publiées ? Existe-t-il un résumé des résultats des recherches ?
Vous pouvez consulter l’état des connaissances scientifiques ainsi que les principales publications (versions françaises ou anglaises).
Y a-t-il un moyen d’éviter ou d’atténuer les effets de l’aluminium ?
Selon la vaccination que vous envisagez, vous pouvez demander à votre médecin qu’il vous prescrive un dosage d’anticorps, de façon à vérifier l’état réel de votre couverture vaccinale. Si vous êtes toujours immunisé, un rappel n’est peut-être pas nécessaire ! Vous éviterez ainsi une dose d’aluminium non nécessaire. Attention, le dosage d’anticorps contre la diphtérie n’est pas pris en charge par la sécurité sociale.
Nous vous conseillons aussi de lire la publication du Pr Chris Exley. Ce dernier est surnommé par ses pairs « Monsieur Aluminium ». Ses travaux montrent tout l’intérêt qu’il y aurait à boire des eaux chargées en silice, car la silice (sous cette forme) est un chélateur de l’aluminium. Il est sans doute très judicieux de boire beaucoup de cette eau notamment lorsque l’on reçoit une vaccination aluminique. Le taux de silice est marqué sur les étiquettes des bouteilles. Vous pouvez aussi consulter notre tableau récapitulatif des eaux chargées en silice.
Il convient aussi d’être extrêmement prudent si des membres de votre famille sont atteints de maladie auto-immunes (voir notre réponse à la question « Qu’entend-on par « contre-indication » à une vaccination ? », ainsi que les travaux du Pr Shoenfeld, disponibles sur ce site).
Nous attirons votre attention sur la qualité de la barrière hématoencéphalique (BHE), qui sépare le cerveau du sang, et qui protège le cerveau des substances étrangères. En effet, les travaux menés par l’équipe INSERM des Pr Gherardi et Authier (disponibles sur ce site) révèlent la capacité de l’aluminium vaccinal à migrer dans l’organisme et à s’accumuler dans le cerveau, notamment en cas de fragilité de la BHE. Or, celle-ci est très perméable jusqu’aux 2 ans de l’enfant (cours 2ème année de médecine). De plus, l’intégrité de la BHE est souvent altérée au cours de maladies du système nerveux central : maladies neurodégénératives, tumeurs primaires ou métastatiques, infections virales ou bactériennes, sclérose en plaques, accident vasculaire cérébral (Leçon de Philippe Sansonetti, Collège de France).
Le Dr Daniel Scimeca (Président de la Fédération Française d’Homéopathie) apporte ce conseil (via le site Passeport Santé):
Une solution possible est de drainer chaque vaccination par quelques granules homéopathiques utilisées systématiquement avant et après.
Prendre « thuya 9CH, 5 granules le matin et Silicea 9CH, 5 granules le soir, les cinq jours qui précédent et les 5 jours qui suivent chaque vaccin ».
Il complète ainsi pour les vaccins contenant de l’aluminium : « on pourra y adjoindre une préparation sur une durée de deux semaines avant le vaccin. On prendra alumina 4CH (médicament homéopathique préparé à partir d’aluminium dilué et dynamisé) 5 granules le matin et Bauxite 4CH (le minerai d’aluminium), 5 granules le soir, durant les deux semaines qui précèdent ».
Existe-t-il d’autres adjuvants qui pourraient remplacer l’aluminium ?
De nombreux adjuvants ont été (ou sont) testés. Mais les résultats ne sont pour l’instant pas convaincants. Ainsi, certains vaccins contre la grippe H1N1 avaient du squalène comme adjuvant, et ils ont déclenché de graves crises de narcolepsie.
Par contre, le phosphate de calcium semble présenter toutes les garanties d’un bon adjuvant. De plus, c’est un composant naturel de l’organisme. L’Institut Pasteur l’a d’ailleurs utilisé (à la place de l’aluminium) de 1974 à 1986, à la satisfaction générale (voir notre dossier spécial).
Quels sont les textes de loi qui régissent les vaccinations obligatoires pour les enfants ?
Code de la santé publique : articles L3111-4 à L3111-11
Code de la santé publique : articles R3111-1 à R3111-5
http://vosdroits.service-public.fr/particuliers/F704.xhtml
Je suis infirmière et je dois faire mon rappel du vaccin contre l’hépatite B. Que me conseillez-vous ?
Nous l’avons toujours dit, nous sommes favorables à la vaccination.
Tout d’abord, vérifiez votre immunité par un dosage d’anticorps. Si votre taux d’anticorps est faible, c’est alors à vous, avec votre médecin, d’évaluer votre balance bénéfices-risques personnelle.
En termes de bénéfices : si vous travaillez dans un service hospitalier, il est indéniable que vous devez être protégée contre l’hépatite B.
En termes de risques : existe-t-il dans votre famille des cas de maladies auto-immunes ? Si oui, méfiance…
Vous le voyez, notre réponse ne peut être « noire ou blanche »… Ce serait beaucoup plus simple si le vaccin contre l’hépatite B était fabriqué par exemple avec un adjuvant tel que le phosphate de calcium…
Notre réponse serait bien sûr similaire si vous aviez exercé une autre profession médicale ou paramédicale !
Vous réclamez le retour du DT Polio Mérieux. Mais il a été suspendu en juin 2008 parce qu‘il était à l’origine d‘une augmentation importante d’effets indésirables en particulier de type allergique !
Jusqu’en juin 2008, il existait effectivement un vaccin DTP sans aluminium : le DTPolio Mérieux. Il n’est plus commercialisé suite à « une hausse importante d’effets indésirables ».
Or, cette hausse n’existe pas, les données ont été falsifiées pour inquiéter les autorités sanitaires et que celles-ci ne s’opposent pas au retrait de ce vaccin.
Nous avons porté plainte pour faux, usage de faux et escroquerie.
Toute l’histoire est expliquée dans notre dossier spécifique : « Suspension du DTPolio Mérieux par Sanofi Pasteur, le 12 juin 2008 : Une décision sanitaire obtenue grâce à des données falsifiées »
Quels sont les symptômes de la myofasciite à macrophages ?
La myofasciite à macrophages (MFM) a été découverte en 1993 par la Dr Michelle Coquet, responsable du service d’anapathologie du CHU de Bordeaux.
Il s’agit d’une maladie neuromusculaire qui se manifeste par :
– Un épuisement chronique,
– Des myalgies chroniques (d’une durée supérieure à 6 mois) souvent aggravées par l’effort, avec une fatigabilité musculaire invalidante,
– Des douleurs articulaires (d’une durée supérieure à 6 mois) touchant principalement les grosses articulations périphériques,
– Des perturbations neurocognitives (atteinte de la mémoire visuelle, de la mémoire de travail et de l’écoute dichotique) qui attestent d’une lésion organique du cerveau,
– Un dysfonctionnement général des grandes fonctions (digestives, respiratoires, thermo-régulatrices, etc.) par altération du système immunitaire.
Il s’agit d’une pathologie invalidante, les personnes atteintes par la MFM voient leur vie profondément affectée. 78 % d’entre elles doivent cesser toute activité professionnelle, 18 % sont à temps partiel, seuls 4% continuent (avec de grandes difficultés) à travailler à plein temps. Des jeunes qui débutent leurs études doivent brutalement les interrompre, se fermant tout avenir et devenant « adulte handicapé ».
Il semble qu’il y ait très peu de cas de myofasciite en France, comment l’expliquez-vous ?
Il n’existe pas de données précises sur le nombre de personnes atteintes de myofasciite à macrophages, par défaillance du système de pharmacovigilance.
Sur les médicaments en général, seulement 1 à 10% des effets indésirables font l’objet de déclarations par les professionnels de santé. Dans le domaine de la vaccination, ce chiffre est sans doute encore moins important.
L’Agence du médicament n’a jamais informé le corps médical des risques de survenue de myofasciite à macrophages (par exemple) après une vaccination contenant de l’aluminium. Ces effets indésirables survenant quelques mois ou années après la vaccination, comment un médecin pourrait-il les diagnostiquer sans avoir auparavant été informé de cette possibilité ?
Selon l’Agence du médicament, quelques 450 cas seraient répertoriés. Plus de 1000 selon E3M.
Mais la réalité est toute autre. L’hôpital Henri Mondor est un centre national de référence sur les maladies neuromusculaires. Il accueille à ce titre des personnes atteintes du Syndrome de Fatigue Chronique (SFC), autrement dénommé Encéphalomyélite Myalgique (EM-SFC). Ce syndrome touche 2 % de la population occidentale, ce qui représente près de 1,2 million de personnes en France. Près de 30 % des personnes atteintes d’EM-SFC consultant à l’hôpital H. Mondor, lorsqu’elles sont à jour de leur vaccination, seraient atteintes de MFM. Ce chiffre très important ne peut bien sûr être utilisé tel quel pour une projection sur l’ensemble du territoire, dans la mesure où il émane d’un centre spécialisé dans la MFM (biais de renommée). Mais cela donne un ordre de grandeur : des milliers de personnes pourraient être atteintes de myofasciite à macrophages.
En quoi les symptômes de myofasciite à macrophages sont-ils différents du Syndrome de Fatigue Chronique ou de la fibromyalgie ?
La myofasciite à macrophages pourrait être un syndrome de fatigue chronique dont on connait l’origine : l’aluminium vaccinal. Le symptôme « fatigue » est particulièrement important. Et les troubles cognitifs semblent être très spécifiques (études en cours). Le syndrome de fatigue chronique est reconnu comme une maladie neurologique (G93.3) dans la Classification Internationale des Maladies (CIM).
La fibromyalgie est reconnue comme une maladie musculo-squelettique (M79.7).
Les malades de Myofasciite à Macrophages ne remplissent généralement pas les critères de la fibromyalgie (notamment les points douloureux).
Des études seraient nécessaires afin de préciser les frontières entre ces pathologies parfois proches.
Un(e) de mes patient(e)s pourrait avoir une myofasciite à macrophages, vers quel spécialiste puis-je l’orienter dans notre région ?
Votre question soulève un problème très important qui pénalise profondément les personnes malades, en errance de diagnostic.
Actuellement, seul l’hôpital Henri Mondor (Créteil – APHP) prend complètement en charge les malades de myofasciite à macrophages (service du Pr Authier).
Une demande a été formulée auprès de la coordination nationale des centres de référence des maladies neuromusculaires afin que chaque centre puisse nous indiquer quel médecin prend en charge les personnes atteintes de myofasciite à macrophages (ou susceptibles de l’être). Nous n’avons pas obtenu de réponse…
Le déni des autorités sanitaires vis-à-vis de la myofasciite à macrophages, clairement liée à son origine vaccinale, induit dans ces centres experts un refus de prise en charge. Ou alors une prise en charge partielle « je veux bien m’occuper de vos douleurs musculaires, mais c’est tout. Car le reste n’existe pas » (sous-entendu : problèmes psychosomatiques).
La conséquence de cette attitude insupportable :
– Il est très difficile d’être pris en charge dans nos régions (sauf situations spécifiques liées à un médecin particulièrement consciencieux et courageux)
– Les délais d’attente pour être suivi à l’hôpital Henri Mondor s’allongent démesurément.
Pour nous, le déni des autorités sanitaires s’assimile à de la maltraitance.
Quelle est l’évolution de la myofasciite à macrophages ?
Pour la majorité des personnes, l’état est globalement stationnaire, une fois trouvé « le point d’équilibre » propre à chacun.
En effet, il faut éviter 2 écueils : maintenir à tout prix son activité physique ou intellectuelle au même niveau que précédemment (avec le risque majeur de s’écrouler ensuite) ou cesser toute activité (il est ensuite très difficile de « repartir »).
Certaines personnes ont un état de santé qui se dégrade de manière importante, ou à l’inverse voient leurs symptômes disparaitre, sans que l’on en connaisse encore les raisons.
Les situations les plus difficiles sont celles où des pathologies autres (notamment auto-immunes) sont associées (comme la sclérose en plaques).
Il est bien sûr important (et urgent pour les malades) que la recherche clinique bénéficie de moyens lui permettant d’avancer rapidement dans la compréhension de la pathologie, de ses symptômes et de sa prise en charge.
Quels sont les traitements possibles pour la myofasciite à macrophages ?
A l’heure actuelle, les traitements n’agissent que sur les symptômes (notamment la douleur).
Est-ce que des malades ont fait de la chélation et est-ce que leurs symptômes se sont atténués ?
Des chélations ont été tentées par certaines personnes, avec des résultats contradictoires. Une vraie étude protocolisée serait nécessaire.
Je suis abonné à la revue “Prescrire” réputée pour son indépendance. Elle remet en cause le lien entre la myofasciite et l’aluminium vaccinal. Comment expliquez-vous cela ?
Nous avons été les premiers surpris par cet article de Prescrire, très partial dans ses références, et s’appuyant notablement sur l’avis du Haut Conseil de Santé Publique (principalement élaboré par le Comité Technique des Vaccinations, dont on connaît les conflits d’intérêts).
Nous leur avons adressé un courrier (cosigné avec nos amis du REVAHB) se terminant par ces mots : « Pourquoi l’esprit critique de Prescrire s’arrête-t-il lorsqu’il est question de sécurité vaccinale ? ». Nous avons demandé à ce qu’il soit publié afin que les lecteurs de Prescrire puissent connaitre les critiques que nous formulons sur cet article.
Malheureusement, à notre connaissance, Prescrire n’a pas joué le jeu de la transparence.
Cela ternit (en tout cas à nos yeux) son image de sérieux et d’indépendance.
Quelle aide votre association peut-elle apporter à mon (ma) patient(e) ?
Nous sommes au départ une association d’ENTRAIDE aux malades de myofasciite à macrophages. Nous vivons tous le même parcours fait d’errance et de maltraitance, et cela crée entre nous une vraie solidarité. Et cette solidarité, nous la mettons au service de ceux qui arrivent dans la maladie, et les aidons à appréhender cette nouvelle vie qui s’annonce.
Il s’agit donc à la fois d’une aide au niveau humain, mais aussi de conseils notamment sur le plan de la maladie, des démarches administratives…
Il existe bien sûr une autre dimension, en tout cas pour l’instant : s’unir ensemble pour que notre maladie soit réellement reconnue, avec un double objectif :
– Tout faire pour qu’il n’y ait pas d’autres victimes,
– Obtenir une vraie reconnaissance de la myofasciite à macrophages (prise en charge, traitements, indemnisations car nos revenus ont chuté de manière très importante…).
Et dans cette perspective, nous inversons aussi la question : et vous, que voulez-vous apporter à l’association ?
Je souhaite apporter ma contribution dans votre combat. Comment puis-je faire ?
Merci beaucoup, nous en sommes ravis.
Dominique a choisi de faire le lien entre tous les professionnels de santé qui veulent agir. Contactez-le !
Venez partager vos idées et vos envies d’action !
Ensemble nous aboutirons plus rapidement à une offre vaccinale plus sure, car sans aluminium.
Votre énergie peut trouver à s’employer, et vos compétences aussi.
Dans un premier temps, vous pouvez :
– Signer et diffuser la pétition des professionnels de santé pour un retour du DTPolio sans aluminium ;
– Signer et diffuser la pétition citoyenne lancée par E3M en 2013, pour le retour du DTPolio sans aluminium ;
– Faire un don pour la recherche, afin de démontrer de manière indiscutable les dangers que fait courir l’aluminium ;
– Utiliser notre « valise pédagogique » pour sensibiliser votre entourage, Interpeller vos syndicats, les élus locaux, départementaux, régionaux et nationaux.
Car c’est l’affaire de tous !
Comment rester informé(e) de l’évolution des recherches ?
Vous pouvez suivre l’actualité de la campagne et bénéficier des toutes dernières informations sur l’état des connaissances en vous abonnant à notre lettre d’information.
J‘ai entendu parler du dosage d’anticorps... Pouvez-vous m’en dire plus ?
Une expérience a en effet été menée en 2014 à l’Hôpital Privé Nord Parisien sur 144 volontaires, pour vérifier leurs taux d’anticorps et déterminer la nécessité ou non de conseiller de nouvelles vaccinations. Cette expérience pourrait être généralisée à plus grande échelle. Pour voir la vidéo, cliquez ici.
dominique.le.houezec@freesbee.
• Pour toute question sur la campagne ou si vous désirez agir:
contact@vaccinssansaluminium.org
• Pour toute question sur l’association E3M et la myofasciite à macrophages:
contact@asso-e3m.fr / 06 15 82 03 47
(de 11h à 13h et de 14h à 18h, du lundi au vendredi)