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Les réponses que nous apportons aux questions que vous pouvez vous poser sont issues de notre expérience. Nous souhaitons ainsi vous apporter des éléments d’information susceptibles d’éclairer votre analyse.
N’hésitez pas à nous faire connaître les sujets qui ne seraient pas traités, nous compléterons alors cette rubrique !
Vous l’aurez compris à la lecture de ce site, nous sommes favorables à la vaccination, mais à condition qu’elle puisse se pratiquer en sécurité et que les choix de politique vaccinale soient faits en toute transparence. Nous espérons aussi que vous partagerez avec nous l’urgence qu’il y a à agir.
Nous sommes donc à votre disposition pour vous fournir tout complément d’information, participer à tout débat sur le sujet ou organiser tout témoignage que vous souhaiteriez diffuser.
Où puis-je trouver l’espace presse sur votre site ? Qui contacter ?
Vous pouvez trouver le dossier de presse, un logo téléchargeable ainsi que des photos dans l’espace presse, rubrique « Actualités » de ce site.
N’hésitez pas à contacter Didier Lambert si vous souhaitez d’autres renseignements.
Quels sont les vaccins obligatoires pour les enfants ?
Les vaccinations contre la diphtérie, le tétanos et la polio sont obligatoires, sauf contre-indication médicale reconnue.
La justification doit être fournie lors de l’admission dans toute école, garderie, colonie de vacances ou autre collectivité d’enfants.
Malheureusement, il n’existe actuellement plus de vaccins correspondant à la primo-vaccination obligatoire (le DTP a été retiré de la commercialisation en 2008).
Quels sont les textes de loi qui régissent les vaccinations obligatoires pour les enfants ?
Code de la santé publique : articles L3111-4 à L3111-11
Code de la santé publique : articles R3111-1 à R3111-5
http://vosdroits.service-public.fr/particuliers/F704.xhtml
J’ai entendu dire qu’il y avait la possibilité de n’avoir que les vaccins obligatoires D+T+P, mais en 2 injections simultanées. Qu’en est-il ?
Vous parlez de l’annonce officielle comme quoi le fabricant (Sanofi Pasteur) mettait à disposition un kit « DTVax + Imovax polio » pour les personnes ne souhaitant pas injecter de valences supplémentaires.
Le DTVax (Diphtérie + Tétanos) n’est pas disponible par le circuit de distribution habituel, il a disparu du Vidal et de la base de données publique des médicaments. Et il n’est disponible qu’en de très faibles quantités. Drôle de manière de mettre à disposition du public le seul produit sensé répondre à une obligation officielle de santé publique !
De plus, le DTVax contient non seulement de l’aluminium, mais aussi du Thiomersal (composé contenant du mercure). Or l’Agence Européenne d’Evaluation des Médicaments (EMEA) a demandé en juillet 1999 aux industriels de travailler au retrait du thiomersal utilisé comme conservateur dans les vaccins. De son côté, l’Afssaps a demandé en juillet 2000 aux laboratoires de retirer au cours des prochains mois le thiomersal des vaccins concernés.
Donc, proposer ce « kit » en remplacement du DTPolio, ce n’est vraiment pas une réponse à la hauteur du problème.
Vous réclamez le retour du DT Polio Mérieux. Mais il a été suspendu en juin 2008 parce qu‘il était à l’origine d‘une augmentation importante d’effets indésirables en particulier de type allergique !
Jusqu’en juin 2008, il existait effectivement un vaccin DTP sans aluminium : le DTPolio Mérieux. Il n’est plus commercialisé suite à « une hausse importante d’effets indésirables ».
Or, cette hausse n’existe pas, les données ont été falsifiées pour inquiéter les autorités sanitaires et que celles-ci ne s’opposent pas au retrait de ce vaccin.
Nous avons porté plainte pour faux, usage de faux et escroquerie.
Toute l’histoire est expliquée dans notre dossier spécifique : « Suspension du DTPolio Mérieux par Sanofi Pasteur, le 12 juin 2008 : Une décision sanitaire obtenue grâce à des données falsifiées »
Y a-t-il un moyen d’éviter ou d’atténuer les effets de l’aluminium ?
Selon la vaccination que vous envisagez, vous pouvez demander à votre médecin qu’il vous prescrive un dosage d’anticorps, de façon à vérifier l’état réel de votre couverture vaccinale. Si vous êtes toujours immunisé, un rappel n’est peut-être pas nécessaire ! Vous éviterez ainsi une dose d’aluminium non nécessaire. Attention, le dosage d’anticorps contre la diphtérie n’est pas pris en charge par la sécurité sociale.
Nous vous conseillons aussi de lire la publication du Pr Chris Exley. Ce dernier est surnommé par ses pairs « Monsieur Aluminium ». Ses travaux montrent tout l’intérêt qu’il y aurait à boire des eaux chargées en silice, car la silice (sous cette forme) est un chélateur de l’aluminium. Il est sans doute très judicieux de boire beaucoup de cette eau notamment lorsque l’on reçoit une vaccination aluminique. Le taux de silice est marqué sur les étiquettes des bouteilles.
Il convient aussi d’être extrêmement prudent si des membres de votre famille sont atteints de maladie auto-immunes (voir notre réponse à la question « Qu’entend-on par « contre-indication » à une vaccination ? », ainsi que les travaux du Pr Shoenfeld, disponibles sur ce site).
Nous attirons votre attention sur la qualité de la barrière hématoencéphalique (BHE), qui sépare le cerveau du sang, et qui protège le cerveau des substances étrangères. En effet, les travaux menés par l’équipe INSERM des Pr Gherardi et Authier (disponibles sur ce site) révèlent la capacité de l’aluminium vaccinal à migrer dans l’organisme et à s’accumuler dans le cerveau, notamment en cas de fragilité de la BHE. Or, celle-ci est très perméable jusqu’aux 2 ans de l’enfant (cours 2ème année de médecine). De plus, l’intégrité de la BHE est souvent altérée au cours de maladies du système nerveux central : maladies neurodégénératives, tumeurs primaires ou métastatiques, infections virales ou bactériennes, sclérose en plaques, accident vasculaire cérébral (Leçon de Philippe Sansonetti, Collège de France).
Le Dr Daniel Scimeca (Président de la Fédération Française d’Homéopathie) apporte ce conseil (via le site Passeport Santé):
Une solution possible est de drainer chaque vaccination par quelques granules homéopathiques utilisées systématiquement avant et après.
Prendre « thuya 9CH, 5 granules le matin et Silicea 9CH, 5 granules le soir, les cinq jours qui précédent et les 5 jours qui suivent chaque vaccin ».
Il complète ainsi pour les vaccins contenant de l’aluminium : « on pourra y adjoindre une préparation sur une durée de deux semaines avant le vaccin. On prendra alumina 4CH (médicament homéopathique préparé à partir d’aluminium dilué et dynamisé) 5 granules le matin et Bauxite 4CH (le minerai d’aluminium), 5 granules le soir, durant les deux semaines qui précèdent ».
Où puis-je trouver les dernières recherches publiées ? Existe-t-il un résumé des résultats des recherches ?
Vous pouvez consulter l’état des connaissances scientifiques ainsi que les principales publications (versions françaises ou anglaises).
Concernant « l’affaire » du vaccin contre l’hépatite B, pensez-vous que les pathologies dont on a parlé (Sclérose en plaques, Maladie de Charcot…) pourraient être liées à l’aluminium ?
Tout d’abord, nous vous conseillons de lire la publication du Dr Le Houezec : « Evolution de la sclérose en plaques en France depuis le début de la vaccination contre l’hépatite B ».
Ensuite, sur la question du lien avec l’aluminium : oui, cela est possible. Seules des recherches poussées permettront de le savoir. C’est l’un des enjeux de cette campagne que nous lançons.
Il semble qu’il y ait très peu de cas de myofasciite à macrophages en France, comment l’expliquez-vous ?
Il n’existe pas de données précises sur le nombre de personnes atteintes de myofasciite à macrophages, par défaillance du système de pharmacovigilance.
Sur les médicaments en général, seulement 1 à 10% des effets indésirables font l’objet de déclarations par les professionnels de santé. Dans le domaine de la vaccination, ce chiffre est sans doute encore moins important.
L’Agence du médicament n’a jamais informé le corps médical des risques de survenue de myofasciite à macrophages (par exemple) après une vaccination contenant de l’aluminium. Ces effets indésirables survenant quelques mois ou années après la vaccination, comment un médecin pourrait-il les diagnostiquer sans avoir auparavant été informé de cette possibilité ?
Selon l’Agence du médicament, quelques 450 cas seraient répertoriés. Plus de 1000 selon E3M.
Mais la réalité est toute autre. L’hôpital Henri Mondor est un centre national de référence sur les maladies neuromusculaires. Il accueille à ce titre des personnes atteintes du Syndrome de Fatigue Chronique (SFC), autrement dénommé Encéphalomyélite Myalgique (EM-SFC). Ce syndrome touche 2 % de la population occidentale, ce qui représente près de 1,2 million de personnes en France. Près de 30 % des personnes atteintes d’EM-SFC consultant à l’hôpital H. Mondor, lorsqu’elles sont à jour de leur vaccination, seraient atteintes de MFM. Ce chiffre très important ne peut bien sûr être utilisé tel quel pour une projection sur l’ensemble du territoire, dans la mesure où il émane d’un centre spécialisé dans la MFM (biais de renommée). Mais cela donne un ordre de grandeur : des milliers de personnes pourraient être atteintes de myofasciite à macrophages.
Que pensez-vous des critiques formulées à l’encontre des chercheurs français qui ont découvert la myofasciite ?
Quelles critiques ? Celles de membres du Comité Technique des Vaccinations ? Ou d’animateurs du « réseau Infovac » ? Nous vous conseillons de lire notre dossier sur les conflits d’intérêts, il pourrait éclairer les raisons qui motivent ces « experts » de la vaccination.
Comme le dit le Pr Luc Montagnier : « Ce sont souvent les adjuvants qui créent ces problèmes de réactions anormales aux vaccins. (…) J’enrage de voir que ce problème est totalement nié pour des intérêts pharmaceutiques, des intérêts politiques. »
Pour notre part, nous préférons retenir l’attitude des éminents spécialistes internationaux, les Pr Shoenfeld (Israël) et Exley (G.B.). Découvrez sur ce site leurs compétences, et vous comprendrez que les travaux des Pr Gherardi et Authier sont reconnus par leurs pairs au niveau international (difficile d’être prophète dans son pays !).
La myofasciite à macrophages est soupçonnée d’être une maladie purement franco-française, y a-t-il des malades dans d’autres pays et lesquels ?
La myofasciite à macrophages, découverte en France, commence à être maintenant identifiée dans plusieurs pays étrangers. Par exemple, une cohorte de 17 personnes atteintes de MFM est suivie dans le nord du Portugal.
Que pensez-vous de la position des autorités sanitaires françaises et comment l’expliquez-vous ?
Toute personne honnête ne peut que constater l’existence d’alertes sérieuses sur les risques sanitaires liés à l‘utilisation d’aluminium comme adjuvant vaccinal. Les éléments présentés dans cette campagne « pour des vaccins sans aluminium » en atteste, ainsi que, par exemple, le colloque organisé par L’Office Parlementaire d’Évaluation des Choix Scientifiques et Technologiques, le 22 Mai 2014.
Bien sûr, ces alertes peuvent être contestées, c’est le propre de toute démarche scientifique. Mais dans la mesure où elles sont portées par des scientifiques aux qualités professionnelles indiscutables, elles doivent être l’objet d’une vraie attention. Or, ce n’est pas le cas aujourd’hui.
Nous avons droit au contraire à une levée de boucliers de la part des experts ou responsables d’agence sanitaire, et à une démission des autorités publiques. Très clairement, il est interdit d’émettre des doutes sur cet adjuvant, ce qui est en totale contradiction avec l’esprit scientifique, qui ne peut considérer les connaissances comme des dogmes inébranlables.
Ceci est inacceptable sur le plan scientifique, éthique, et politique.
Nous pensons que cette attitude est induite par une peur importante : la mise en cause de l’adjuvant pourrait entraîner la mise en cause du principe même de la vaccination, avec deux conséquences :
– Une baisse de la couverture vaccinale,
– Une baisse de la production pour les entreprises.
Notre dossier sur les conflits d’intérêts approfondit ces questions.
La pétition du Pr Joyeux a fait beaucoup parlé d’elle. Quelle est votre position concernant cette démarche ?
Vous le savez peut-être, nous avons lancé une pétition pour le retour du DTPolio sans aluminium en 2013. Et elle est d’ailleurs toujours active, n’hésitez pas à la signer !
Nous avons donc été étonnés de ne pas avoir été contactés par le Pr Joyeux et l’IPSN (Institut pour la Protection de la Santé Naturelle), malgré nos envois de mél, car nous avons développé une « expertise citoyenne » certaine sur ces sujets, que nous suivons depuis plus de 10 ans ! Cela aurait d’ailleurs certainement permis que leur pétition ne contienne pas un si grand nombre d’inexactitudes ou d’erreurs scientifiques.
Mais sur le fond, le nombre important de signataires (de la pétition du Pr Joyeux, mais aussi de la nôtre) montre bien que la population française est de plus en plus consciente du problème posé par la présence d’aluminium dans les vaccins, et nous nous en réjouissons.
Vous avez mené beaucoup d’actions depuis quelques années, avez-vous l’impression que vos revendications avancent ?
Oui, nous avons mené beaucoup d’actions depuis 2001, date de création de notre association. Souvent dans l’ombre, lorsqu’il s’agissait dans les années 2000 de soutenir la recherche avec nos propres moyens (80 000€ de dons citoyens ont ainsi pu bénéficier à la recherche).
Nous sommes passés depuis fin 2012 à une phase plus visible lorsque nous avons compris que, sans un engagement total de notre part, le couvercle allait se refermer sur la marmite bouillonnante d’aluminium.
Nous pensons que toutes ces années portent leur fruit. La question de l’aluminium utilisé comme adjuvant dans les vaccins n’est-elle pas maintenant au cœur d’un débat important dans notre société ?
Pour autant, nous sommes persuadés qu’il ne faut pas en rester là. Nous devons non seulement susciter le débat, mais aussi faire en sorte que des décisions fortes soient prises. Et c’est pour cela que nous lançons cette grande campagne « pour des vaccins sans aluminium ».
La ministre de la santé a annoncé l’organisation d’un débat sur la vaccination à l’automne 2015. Qu’en pensez-vous et allez-vous y participer ?
Par principe, nous sommes favorables aux débats ! Nous y participerons donc.
A condition bien sûr que les règles du débat respectent ces deux principes :
– Transparence,
– Egalité de traitement entre les participants au débat.
Avez-vous fait des propositions dans le cadre de la loi santé ou auprès de Sandrine Hurel ?
Oui, nous avons rencontré les rapporteurs de la loi de santé à l’Assemblée Nationale, et nous leur avons fait part de nos attentes. Celles-ci ont aussi été transmises aux sénateurs.
Et nous avons rencontré Madame Hurel, à qui nous avons remis ce mémoire.
president@asso-e3m.fr / 06 72 41 20 21
• Pour toute question sur la campagne ou si vous désirez agir:
contact@vaccinssansaluminium.org
• Pour toute question sur l’association E3M et la myofasciite à macrophages:
contact@asso-e3m.fr / 06 15 82 03 47
(de 11h à 13h et de 14h à 18h, du lundi au vendredi)