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Les réponses que nous apportons aux questions que vous pouvez vous poser sont issues de notre expérience. Nous souhaitons ainsi vous apporter des éléments d’information susceptibles d’éclairer votre analyse.
N’hésitez pas à nous faire connaître les sujets qui ne seraient pas traités, nous compléterons alors cette rubrique !
Vous l’aurez compris à la lecture de ce site, nous sommes favorables à la vaccination, mais à condition qu’elle puisse se pratiquer en sécurité et que les choix de politique vaccinale soient faits en toute transparence. Nous espérons aussi que vous partagerez avec nous l’urgence qu’il y a à agir.
Nous sommes donc à votre disposition pour vous fournir tout complément d’information, participer à tout débat sur le sujet ou organiser tout témoignage que vous souhaiteriez diffuser.
Où puis-je trouver l’espace presse sur votre site ? Qui contacter ?
Vous pouvez trouver le dossier de presse, un logo téléchargeable ainsi que des photos dans l’espace presse, rubrique « Actualités » de ce site.
N’hésitez pas à contacter Didier Lambert si vous souhaitez d’autres renseignements.
Quels sont les vaccins obligatoires pour les enfants ?
Depuis le 1er janvier 2018, onze vaccinations sont obligatoires (contre trois précédemment), sauf contre-indication médicale reconnue.
la diphtérie
le tétanos
la polio
la coqueluche
l’haemophilius influenzae B
l’hépatite B
le méningocoque C
le pneumocoque
les oreillons
la rougeole
la rubéole
La justification doit être fournie lors de l’admission dans toute école, garderie, colonie de vacances ou autre collectivité d’enfants.
Le calendrier vaccinal officiel est le suivant (à noter : seul le vaccin ROR ne contient pas d’aluminium) :
Quels sont les textes de loi qui régissent les vaccinations obligatoires pour les enfants ?
Réponse : Code de la santé publique : articles L3111-4 à L3111-11
Code de la santé publique : articles R3111-1 à R3111-5
Avant le passage à 11 vaccins obligatoires en 2018, vous réclamiez le retour du DT Polio Mérieux. Mais il a été suspendu en juin 2008 parce qu‘il était à l’origine d‘une augmentation importante d’effets indésirables en particulier de type allergique !
Jusqu’en juin 2008, il existait effectivement un vaccin DTP sans aluminium : le DTPolio Mérieux. Il n’est plus commercialisé suite à « une hausse importante d’effets indésirables ».
Or, cette hausse n’existe pas, les données ont été falsifiées pour inquiéter les autorités sanitaires et que celles-ci ne s’opposent pas au retrait de ce vaccin.
Nous avons porté plainte pour faux, usage de faux et escroquerie.
La chambre de l’instruction de la Cour d’appel de Paris a confirmé l’ordonnance de non-lieu.
E3M déplore cette décision et a annoncé son intention de se pourvoir en cassation.
Toute l’histoire est expliquée dans notre dossier spécifique : « Suspension du DTPolio Mérieux par Sanofi Pasteur, le 12 juin 2008 : Une décision sanitaire obtenue grâce à des données falsifiées »
Y a-t-il un moyen d’éviter ou d’atténuer les effets de l’aluminium ?
Selon la vaccination que vous envisagez, vous pouvez demander à votre médecin qu’il vous prescrive un dosage d’anticorps, de façon à vérifier l’état réel de votre couverture vaccinale. Si vous êtes toujours immunisé, un rappel n’est peut-être pas nécessaire ! Vous éviterez ainsi une dose d’aluminium non nécessaire. Attention, le dosage d’anticorps contre la diphtérie n’est pas pris en charge par la sécurité sociale.
Nous vous conseillons aussi de lire la publication du Pr Chris Exley. Ce dernier est surnommé par ses pairs « Monsieur Aluminium ». Ses travaux montrent tout l’intérêt qu’il y aurait à boire des eaux chargées en silice, car la silice (sous cette forme) est un chélateur de l’aluminium. Il est sans doute très judicieux de boire beaucoup de cette eau notamment lorsque l’on reçoit une vaccination aluminique. Le taux de silice est marqué sur les étiquettes des bouteilles.
Il convient aussi d’être extrêmement prudent si des membres de votre famille sont atteints de maladie auto-immunes (voir notre réponse à la question « Qu’entend-on par « contre-indication » à une vaccination ? », ainsi que les travaux du Pr Shoenfeld, disponibles sur ce site).
Nous attirons votre attention sur la qualité de la barrière hématoencéphalique (BHE), qui sépare le cerveau du sang, et qui protège le cerveau des substances étrangères. En effet, les travaux menés par l’équipe INSERM des Pr Gherardi et Authier (disponibles sur ce site) révèlent la capacité de l’aluminium vaccinal à migrer dans l’organisme et à s’accumuler dans le cerveau, notamment en cas de fragilité de la BHE. Or, celle-ci est très perméable jusqu’aux 2 ans de l’enfant (cours 2ème année de médecine). De plus, l’intégrité de la BHE est souvent altérée au cours de maladies du système nerveux central : maladies neurodégénératives, tumeurs primaires ou métastatiques, infections virales ou bactériennes, sclérose en plaques, accident vasculaire cérébral (Leçon de Philippe Sansonetti, Collège de France).
Le Dr Daniel Scimeca (Président de la Fédération Française d’Homéopathie) apporte ce conseil (via le site Passeport Santé):
Une solution possible est de drainer chaque vaccination par quelques granules homéopathiques utilisées systématiquement avant et après.
Prendre « thuya 9CH, 5 granules le matin et Silicea 9CH, 5 granules le soir, les cinq jours qui précédent et les 5 jours qui suivent chaque vaccin ».
Il complète ainsi pour les vaccins contenant de l’aluminium : « on pourra y adjoindre une préparation sur une durée de deux semaines avant le vaccin. On prendra alumina 4CH (médicament homéopathique préparé à partir d’aluminium dilué et dynamisé) 5 granules le matin et Bauxite 4CH (le minerai d’aluminium), 5 granules le soir, durant les deux semaines qui précèdent ».
Où puis-je trouver les dernières recherches publiées ? Existe-t-il un résumé des résultats des recherches ?
Vous pouvez consulter l’état des connaissances scientifiques ainsi que les principales publications (versions françaises ou anglaises).
Concernant « l’affaire » du vaccin contre l’hépatite B, pensez-vous que les pathologies dont on a parlé (Sclérose en plaques, Maladie de Charcot…) pourraient être liées à l’aluminium ?
Tout d’abord, nous vous conseillons de lire la publication du Dr Le Houezec : « Evolution de la sclérose en plaques en France depuis le début de la vaccination contre l’hépatite B ».
Ensuite, sur la question du lien avec l’aluminium : oui, cela est possible. Seules des recherches poussées permettront de le savoir. C’est l’un des enjeux de cette campagne que nous lançons.
Combien de personnes sont atteintes de myofasciite à macrophages en France ?
Près de 600 personnes sont officiellement diagnostiquées en France, mais en réalité 200 000 personnes sont susceptibles d’être atteintes d’une myofasciite à macrophages (MFM).
Un écart impressionnant! Comment l’expliquer?
Explication du chiffre de 200 000 : le service expert sur les maladies neuromusculaires de l’hôpital Henri Mondor (Créteil) reçoit (entre autres) des patients atteints d’un syndrome de fatigue chronique (SFC). Le SFC concerne, en France et selon les sources, entre 0.5 et 2% de la population. Prenons 1%, cela donne 680000 personnes. Il s’avère qu’1/3 des patients ayant eu une biopsie musculaire ont en fait une MFM, d’où ce nombre de +/- 200 000. Ce chiffre est à pondérer, dans la mesure où l’hôpital Henri Mondor est réputé pour la MFM, il existe donc un « biais de recrutement »). Néanmoins, le nombre de malades se chiffre en dizaines de milliers.
Explication de l’écart : la faillite totale de la pharmacovigilance (PV), qui reste une PV passive. Les médecins, lorsqu’ils reçoivent une personne avec douleurs musculo-articulaires et fatigue permanente (puis troubles cognitifs) ne vont pas penser à la responsabilité possible d’un vaccin aluminique reçu plusieurs mois ou années auparavant. Ce chiffre de 600 personnes diagnostiquées n’a été atteint que lorsqu’E3M s’est lancé dans des actions de communication, ce qui a permis de commencer à informer le public, qui a alors pu se faire diagnostiquer.
Nous n’avons cessé de demander à l’ANSM qu’elle passe à une pharmacovigilance active, c’est-à-dire qu’elle informe officiellement les médecins de ce diagnostic possible devant le tableau de symptômes tel que mentionné, avec recommandation de biopsie pour détection d’une possible MFM. Une demande rejetée par l’Agence du Médicament, ce qui nous autorise à parler de “faillite de la pharmacovigilance”.
Existe t-il une alternative aux sels d’aluminium?
Oui, le phosphate de calcium est une alternative aux sels d’aluminium. C’est un adjuvant reconnu, efficace, ayant fait la preuve de son innocuité (calcium et phosphate sont des composants de notre organisme) et ne présentant pas les effets délétères largement démontrés des sels d’aluminium. Il dispose de toutes les autorisations administratives nécessaires.
Pour des questions de Santé Publique, et en application stricte du principe de précaution, il est possible maintenant de transformer (dans des délais courts) des vaccins adsorbés sur hydroxyde d’aluminium en vaccins adsorbés sur phosphate de calcium.
Cela est notamment le cas des vaccins contre la diphtérie, le tétanos, la polio et la coqueluche, qui ont tous existé avec le phosphate de calcium comme adjuvant de 1974 à 1986.
Récemment, plusieurs équipes de recherche ont publié leurs travaux sur l’utilisation de phosphate de calcium nanoparticulaire (CaP NP). Il est actuellement testé comme adjuvant de vaccins contre le virus H5N1 (USA), contre l’hépatite B (Allemagne, Chine), contre le VIH (Allemagne, USA), contre la brucellose (Institut Pasteur Téhéran). Il est considéré par ces chercheurs comme un adjuvant biodégradable, ce qui représente un grand avantage sur les sels d’aluminium, voire un adjuvant idéal.
Plus de détails dans nos bulletins scientifiques : juin 2021 et mai 2020.
La myofasciite à macrophages est soupçonnée d’être une maladie purement franco-française, y a-t-il des malades dans d’autres pays et lesquels ?
La myofasciite à macrophages, découverte en France, commence à être maintenant identifiée dans plusieurs pays étrangers. Par exemple, une cohorte de 17 personnes atteintes de MFM est suivie dans le nord du Portugal.
Que pensez-vous de la position des autorités sanitaires françaises et comment l’expliquez-vous ?
Toute personne honnête ne peut que constater l’existence d’alertes sérieuses sur les risques sanitaires liés à l‘utilisation d’aluminium comme adjuvant vaccinal. Les éléments présentés dans cette campagne « pour des vaccins sans aluminium » en atteste, ainsi que, par exemple, le colloque organisé par L’Office Parlementaire d’Évaluation des Choix Scientifiques et Technologiques, le 22 Mai 2014.
Bien sûr, ces alertes peuvent être contestées, c’est le propre de toute démarche scientifique. Mais dans la mesure où elles sont portées par des scientifiques aux qualités professionnelles indiscutables, elles doivent être l’objet d’une vraie attention. Or, ce n’est pas le cas aujourd’hui.
Nous avons droit au contraire à une levée de boucliers de la part des experts ou responsables d’agence sanitaire, et à une démission des autorités publiques. Très clairement, il est interdit d’émettre des doutes sur cet adjuvant, ce qui est en totale contradiction avec l’esprit scientifique, qui ne peut considérer les connaissances comme des dogmes inébranlables.
Ceci est inacceptable sur le plan scientifique, éthique, et politique.
Nous pensons que cette attitude est induite par une peur importante : la mise en cause de l’adjuvant pourrait entraîner la mise en cause du principe même de la vaccination, avec deux conséquences :
– Une baisse de la couverture vaccinale,
– Une baisse de la production pour les entreprises.
Notre dossier sur les conflits d’intérêts approfondit ces questions.
La pétition du Pr Joyeux a fait beaucoup parlé d’elle. Quelle est votre position concernant cette démarche ?
Vous le savez peut-être, nous avons lancé une pétition pour le retour du DTPolio sans aluminium en 2013. Et elle est d’ailleurs toujours active, n’hésitez pas à la signer !
Nous avons donc été étonnés de ne pas avoir été contactés par le Pr Joyeux et l’IPSN (Institut pour la Protection de la Santé Naturelle), malgré nos envois de mél, car nous avons développé une « expertise citoyenne » certaine sur ces sujets, que nous suivons depuis plus de 10 ans ! Cela aurait d’ailleurs certainement permis que leur pétition ne contienne pas un si grand nombre d’inexactitudes ou d’erreurs scientifiques.
Mais sur le fond, le nombre important de signataires (de la pétition du Pr Joyeux, mais aussi de la nôtre) montre bien que la population française est de plus en plus consciente du problème posé par la présence d’aluminium dans les vaccins, et nous nous en réjouissons.
Vous avez mené beaucoup d’actions depuis quelques années, avez-vous l’impression que vos revendications avancent ?
Oui, nous avons mené beaucoup d’actions depuis 2001, date de création de notre association. Souvent dans l’ombre, lorsqu’il s’agissait dans les années 2000 de soutenir la recherche avec nos propres moyens (80 000€ de dons citoyens ont ainsi pu bénéficier à la recherche).
Nous sommes passés depuis fin 2012 à une phase plus visible lorsque nous avons compris que, sans un engagement total de notre part, le couvercle allait se refermer sur la marmite bouillonnante d’aluminium.
Nous pensons que toutes ces années portent leur fruit. La question de l’aluminium utilisé comme adjuvant dans les vaccins n’est-elle pas maintenant au cœur d’un débat important dans notre société ?
Pour autant, nous sommes persuadés qu’il ne faut pas en rester là. Nous devons non seulement susciter le débat, mais aussi faire en sorte que des décisions fortes soient prises. Et c’est pour cela que nous lançons cette grande campagne « pour des vaccins sans aluminium ».
La ministre de la santé a annoncé l’organisation d’un débat sur la vaccination à l’automne 2015. Qu’en pensez-vous et allez-vous y participer ?
Par principe, nous sommes favorables aux débats ! Nous y participerons donc.
A condition bien sûr que les règles du débat respectent ces deux principes :
– Transparence,
– Egalité de traitement entre les participants au débat.
Avez-vous fait des propositions dans le cadre de la loi santé ou auprès de Sandrine Hurel ?
Oui, nous avons rencontré les rapporteurs de la loi de santé à l’Assemblée Nationale, et nous leur avons fait part de nos attentes. Celles-ci ont aussi été transmises aux sénateurs.
Et nous avons rencontré Madame Hurel, à qui nous avons remis ce mémoire.
president@asso-e3m.fr / 06 72 41 20 21
• Pour toute question sur la campagne ou si vous désirez agir:
contact@vaccinssansaluminium.org
• Pour toute question sur l’association E3M et la myofasciite à macrophages:
contact@asso-e3m.fr / 06 15 82 03 47
(de 11h à 13h et de 14h à 18h, du lundi au vendredi)