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Les réponses que nous apportons aux questions que vous pouvez vous poser sont issues de notre expérience. Nous souhaitons ainsi vous apporter des éléments d’information susceptibles d’éclairer votre analyse.
N’hésitez pas à nous faire connaître les sujets qui ne seraient pas traités, nous compléterons alors cette rubrique !
Vous l’aurez compris à la lecture de ce site, nous sommes favorables à la vaccination, mais à condition qu’elle puisse se pratiquer en sécurité et que les choix de politique vaccinale soient faits en toute transparence. Nous espérons aussi que vous partagerez avec nous l’urgence qu’il y a à agir.
Nous sommes donc à votre disposition pour vous fournir tout complément d’information, participer à tout débat sur le sujet ou organiser tout témoignage que vous souhaiteriez diffuser.
Où puis-je trouver l’espace presse sur votre site ? Qui contacter ?
Vous pouvez accéder à la rubrique « Actualités » de notre site de campagne Pour des vaccins sans aluminium, et en particulier aux communiqués de presse. Vous pouvez aussi télécharger des photos.
N’hésitez pas à contacter Didier Lambert si vous souhaitez d’autres renseignements.
Quels sont les vaccins obligatoires pour les enfants ?
Depuis le 1er janvier 2018, onze vaccinations sont obligatoires (contre trois précédemment), sauf contre-indication médicale reconnue.
la diphtérie
le tétanos
la polio
la coqueluche
l’haemophilius influenzae B
l’hépatite B
le méningocoque C
le pneumocoque
les oreillons
la rougeole
la rubéole
La justification doit être fournie lors de l’admission dans toute école, garderie, colonie de vacances ou autre collectivité d’enfants.
Le calendrier vaccinal officiel est le suivant (à noter : seul le vaccin ROR ne contient pas d’aluminium) :
Quels sont les textes de loi qui régissent les vaccinations obligatoires pour les enfants ?
Réponse : Code de la santé publique : articles L3111-4 à L3111-11
Code de la santé publique : articles R3111-1 à R3111-5
Où puis-je trouver les dernières recherches publiées ? Existe-t-il un résumé des résultats des recherches ?
Vous pouvez consulter l’état des connaissances scientifiques ainsi que les principales publications (versions françaises ou anglaises).
La publication de Gherardi et al. de 2019 fait la synthèse des recherches sur le lien entre adjuvant aluminique et myofasciite à macrophages : Myalgia and chronic fatigue syndrome following immunization: macrophagic myofasciitis and animal studies support linkage to aluminum adjuvant persistency and diffusion in the immune system (Gherardi et al. 2019 – V° Française).
Concernant « l’affaire » du vaccin contre l’hépatite B, pensez-vous que les pathologies dont on a parlé (Sclérose en plaques, Maladie de Charcot…) pourraient être liées à l’aluminium ?
Tout d’abord, nous vous conseillons de lire la publication du Dr Le Houezec : « Evolution de la sclérose en plaques en France depuis le début de la vaccination contre l’hépatite B ».
Ensuite, sur la question du lien avec l’adjuvant aluminium : oui, cela est possible. Seules des recherches poussées permettront de le savoir. C’est l’un des enjeux de cette campagne (Pour des vaccins sans aluminium) que nous menons.
Combien de personnes sont atteintes de myofasciite à macrophages en France ?
Près de 600 personnes sont officiellement diagnostiquées en France, mais en réalité 200 000 personnes sont susceptibles d’être atteintes d’une myofasciite à macrophages (MFM).
Deux raisons à cet écart impressionnant :
Nous n’avons cessé de demander à l’ANSM qu’elle passe à une pharmacovigilance active, c’est-à-dire qu’elle informe officiellement les médecins de ce diagnostic possible devant le tableau de symptômes tel que mentionné, avec recommandation de biopsie pour détection d’une possible MFM. Une demande rejetée par l’Agence du Médicament, ce qui nous autorise à parler de “faillite de la pharmacovigilance”.
Existe-t-il une alternative aux sels d’aluminium ?
Oui, le phosphate de calcium est une alternative aux sels d’aluminium. C’est un adjuvant reconnu, efficace, ayant fait la preuve de son innocuité (calcium et phosphate sont des composants de notre organisme) et ne présentant pas les effets délétères largement démontrés des sels d’aluminium. Il dispose de toutes les autorisations administratives nécessaires.
Pour des questions de Santé Publique, et en application stricte du principe de précaution, il est possible maintenant de transformer (dans des délais courts) des vaccins adsorbés sur hydroxyde d’aluminium en vaccins adsorbés sur phosphate de calcium.
Pourquoi les fabricants n’ont-ils pas recours au phosphate de calcium ?
Le Pr Relyveld a été chargé par l’Institut Pasteur, dans les années 1970, de trouver un adjuvant alternatif à l’aluminium, dont on commençait à découvrir la toxicité. Il fut l’inventeur des vaccins sur phosphate de calcium, qui devinrent les uniques vaccins fabriqués et commercialisés par l’Institut Pasteur dans le monde entier (de 1974 à 1986). Mais la branche production de l’Institut Pasteur a été achetée par l’Institut Mérieux en 1984. Les chaînes de fabrication des vaccins sur phosphate de calcium ont été fermées en 1986. Comme le reconnut le Dr Marc Girard (directeur scientifique de Pasteur Vaccins – fruit de la fusion Pasteur / Mérieux) : « Avec l’arrivée de Mérieux, si vous voulez, les choses sont devenues beaucoup plus professionnelles. (…) C’était des industriels, c’est là où dans un souci de rationalisation l’Institut Mérieux a dit « écoutez, on laisse tomber le phosphate de calcium, tout le monde fait de l’hydroxyde d’aluminium. (…) Dans une industrie, c’est toujours plus compliqué d’avoir différents produits qu’il faut mélanger, pas mélanger, éviter de mélanger, etc. C’est plus simple d’avoir une ligne unique. » (Aluminium, notre poison quotidien – documentaire de Valérie Rouvière – France 5, 24/01/2012).
Depuis cette date, aucun fabricant de vaccins accepte de développer des vaccins sur phosphate de calcium. Par crainte que cela soit vécu comme une reconnaissance de la toxicité de l’adjuvant aluminium, avec de nombreux procès à la clé ? De leur côté, les autorités sanitaires restent passives et attendent que le scandale éclate…
Avant le passage à 11 vaccins obligatoires en 2018, vous réclamiez le retour du DT Polio Mérieux. Mais il a été suspendu en juin 2008 parce qu‘il était à l’origine d‘une augmentation importante d’effets indésirables en particulier de type allergique !
Jusqu’en juin 2008, il existait effectivement un vaccin DTP sans aluminium : le DTPolio Mérieux. Selon Sanofi et l’Agence du Médicament, il n’est plus commercialisé suite à « une hausse importante de déclarations d’effets indésirables ».
Selon E3M, cette hausse n’existe pas, les données ont été manipulées par Sanofi pour inquiéter les autorités sanitaires et que celles-ci ne s’opposent pas au retrait de ce vaccin.
Nous avons porté plainte pour faux, usage de faux et escroquerie.
Toute l’histoire est expliquée dans le dossier spécifique que nous avons publié début 2014: « Suspension du DTPolio Mérieux par Sanofi Pasteur, le 12 juin 2008 : Une décision sanitaire obtenue grâce à des données falsifiées »
En quoi consiste la fraude de Sanofi que vous dénoncez dans cette plainte pénale déposée en 2014 ? Les effets indésirables du DTPolio ne justifiaient-ils pas sa suspension ?
E3M a déposé une plainte contre X en mars 2014 pour atteinte à l’intégrité de la personne, mise en danger de la personne/ risques causés à autrui, faux et usage de faux, escroquerie.
Tout vaccin a des effets indésirables, il suffit de se rapporter aux notices pour en avoir confirmation. Ils sont plus ou moins fréquents, et plus ou moins graves. La balance bénéfices – risques est LE critère permettant de décider si tel ou tel vaccin doit être mis (ou maintenu) sur le marché. En ce qui concerne le risque, le ratio d’effets indésirables rapporté aux services de pharmacovigilance ou au fabricant sert de référence. Le ratio d’effets indésirables est le résultat d’une division opérée entre un numérateur (le nombre d’effets indésirables) et un dénominateur (le nombre de doses vendues). Il suffit ainsi de modifier l’un des paramètres pour faire varier le ratio des effets indésirables.
Le DTPolio (sans adjuvant) ne déroge pas à cette règle. Les effets indésirables connus du DTPolio sont d’ordre allergique (dont très rarement des chocs anaphylactiques), ce qui est le cas de nombreux vaccins (Tetravac par exemple). Tout vaccinateur le sait et dispose du traitement permettant d’y faire face. Le nombre d’effets indésirables du DTPolio est de l’ordre de 3 pour 100 000 doses sur la période 2003 – 2007 (source Sanofi). Le dossier de l’instruction montre que les effets indésirables du DTPolio sont de faible durée (2 jours au plus), et qu’ils ne génèrent aucune séquelle.
Le ratio mentionné par Sanofi pour faire disparaître le vaccin (10,7 effets indésirables pour 100000 doses) est faux. Il a d’ailleurs été revu à la baisse (7,5) lorsque le juriste de Sanofi a été auditionné par la juge d’instruction. En réalité, les données en provenance même de Sanofi (et transmises à E3M par l’Agence du Médicament, l’AFSSAPS à l’époque) montrent que le ratio est resté stable. Nous avons apporté les preuves à la juge, qui n’en a pas tenu compte.
Les pièces de l’instruction ont aussi montré que le ratio d’effets indésirables entre DTPolio et Revaxis est identique. Par contre, le Revaxis génère d’une part des effets indésirables de type allergiques, mais aussi d’autres effets d’apparition plus tardive et d’une durée plus importante. Il présente un ratio d’effets indésirables graves 2 fois plus important que le DTPolio (0,60 vs 0,30) : syndrome de Guillain-Barré, encéphalite limbique, lymphadénopathie, lymphangite, polyradiculonévrite, neuropathie, etc… De plus, 17% de l’ensemble de ces effets indésirables génèrent des séquelles graves (dont un décès). La juge d’instruction n’en a pas tenu compte.
La juge a estimé par ailleurs qu’il y avait prescription, ce que nous contestons.
La juge ayant signifié un non-lieu en novembre 2021, E3M a fait appel. L’audience de la Chambre d’Instruction s’est tenue le 12 octobre 2022. Le délibéré a été rendu le 25 janvier 2023, le non-lieu a été confirmé.
E3M, après avoir consulté des experts dans le domaine juridique et médical, a décidé de déposer un pourvoi en cassation.
Ne pensez-vous pas que vos actions renforcent le sentiment “Antivax” ?
E3M est reconnue comme une association crédible, dont les arguments sont basés sur des données scientifiques, ce qui explique que son président ait été nommé en septembre 2019 au Comité scientifique permanent de l’ANSM sur la pharmacovigilance.
E3M est convaincue que la méfiance vis-à-vis de la vaccination sera levée si toute la transparence est faite sur les effets indésirables, et donc sur la balance bénéfice – risques. L’obligation vaccinale dessert la politique de Santé Publique, les jurys de la “concertation citoyenne sur la vaccination” l’ont clairement exprimé. Il convient de convaincre, et non de contraindre, et de proposer des vaccins plus sûrs et adaptés au profil et aux besoins de la population.
A notre demande, l’institut BVA a réalisé du 8 au 12 juillet 2017 un sondage auprès d’un échantillon représentatif de la population française (1001 parents d’enfants de 0 à 15 ans). Voici les résultats :
Si des vaccins sans aluminium étaient remis à disposition de la population, la couverture vaccinale pourrait donc, selon notre sondage, atteindre 93,7%. Ce chiffre serait alors très proche de l’objectif de 95% souhaité par les autorités sanitaires.
Pour en savoir plus sur ce sondage BVA : Source
La myofasciite à macrophages serait une lubie franco-française, selon certains leaders d’opinion. Qu’en pensez-vous ?
Des cas de myofasciite à macrophages ont été publiés en France, en Angleterre, en Allemagne, en Irlande, en Italie, en Espagne, au Portugal, aux USA, en Australie, au Brésil, en Israël et en Arabie Saoudite. La myofasciite à macrophages est une lésion histologique spécifique qui ne peut être identifiée que par la biopsie d’un muscle préalablement injecté par un vaccin aluminique. La grande majorité des cas publiés hors de France sont des cas pédiatriques. La raison en est que les vaccins comme les biopsies musculaires sont effectués, chez l’enfant, au niveau de la cuisse dans tous les pays. Chez l’adulte en revanche, les vaccinations et les biopsies musculaires sont effectuées dans le muscle deltoïde en France, alors que dans la plupart des autres pays la vaccination est réalisée dans le deltoïde et la biopsie dans le quadriceps. Il est donc impossible pour ces pays de disposer de grandes séries de patients adultes porteurs de myofasciite à macrophages, et donc de publier sur une pathologie qui n’est observée qu’exceptionnellement, lorsque la biopsie est effectuée dans le deltoïde au lieu du quadriceps (ou parfois du biceps).
Pourtant, un autre pays que la France réalise fréquemment les biopsies musculaires dans le deltoïde : le Portugal. Une équipe de rhumatologues de Coïmbra a publié en juin 2014 la première série étrangère de myofasciite à macrophages, rapportant 16 patients adultes en tous points comparables aux patients français.
Les mêmes observations histologiques et cliniques sont donc faites en France et hors de France quand les biopsies musculaires sont réalisées chez l’adulte dans le muscle deltoïde.
Que répondez-vous au fait que l’aluminium soit massivement utilisé depuis 100 ans et a déjà fait ses preuves ?
L’aluminium a été utilisé comme adjuvant vaccinal sur des critères uniquement d’efficacité. Ce produit étant toxique, il était censé être éliminé par voie urinaire dans les 2 à 3 semaines après l’injection.
Les premières alertes ont été mentionnées par la Food and Drug Administration (FDA) en 1987. Au sujet des traitements contre les allergies, la FDA s’alarme :
En 2008, un atelier sur les adjuvants organisé par la FDA montre de nouvelles inquiétudes :
Puis ce sont les travaux menés par l’équipe INSERM des Pr Gherardi et Authier qui apportent de nombreuses réponses. Comme le précise le Pr Floret, ancien président du Comité Technique des Vaccinations : “ on ne connaissait pas grand-chose avant les travaux de Gherardi “:
Un chercheur britannique aurait retrouvé de l’aluminium dans des échantillons de cerveaux de personnes atteintes d’autisme, après leur décès. Avez-vous des précisions à ce sujet ?
Lors du colloque organisé par E3M au Sénat en octobre, le professeur Christopher Exley (professeur de chimie bioinorganique à l’université de Keele et spécialiste de l’aluminium) a exposé le fruit de ses dernières recherches : lui et son équipe ont découvert des inclusions d’aluminium, à des doses extraordinairement élevées et dans 100% des tissus cervicaux de personnes décédées ayant présenté divers troubles du spectre autistique (TSA) qu’il a pu étudier.
« Cela ne prouve pas que l’aluminium cause l’autisme, mais cela signifie que l’aluminium joue très probablement un rôle dans la maladie. » a-t-il expliqué.
Une interview du Pr Christopher Exley a été réalisée lors de ce colloque. Elle est diffusée sur Crowdbunker, dans la mesure où Youtube a censuré cette vidéo. https://crowdbunker.com/v/DKdxah9kMq
Que pensez-vous de la position des autorités sanitaires françaises et comment l’expliquez-vous ?
Toute personne honnête ne peut que constater l’existence d’alertes sérieuses sur les risques sanitaires liés à l‘utilisation d’aluminium comme adjuvant vaccinal. Les éléments présentés dans cette campagne « pour des vaccins sans aluminium » en attestent, ainsi que, par exemple, le colloque organisé par L’Office Parlementaire d’Évaluation des Choix Scientifiques et Technologiques, le 22 Mai 2014.
Bien sûr, ces alertes peuvent être contestées, c’est le propre de toute démarche scientifique. Mais dans la mesure où elles sont portées par des scientifiques aux qualités professionnelles indiscutables, elles doivent être l’objet d’une vraie attention. Or, ce n’est pas le cas aujourd’hui.
Nous avons droit au contraire à une levée de boucliers de la part des experts ou responsables d’agence sanitaire, et à une démission des autorités publiques. Très clairement, il est interdit d’émettre des doutes sur cet adjuvant, ce qui est en totale contradiction avec l’esprit scientifique, qui ne peut considérer les connaissances comme des dogmes inébranlables.
Ceci est inacceptable sur le plan scientifique, éthique, et politique.
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