CONTACTEZ DIDIER !
president@asso-e3m.fr
Les réponses que nous apportons aux questions que vous pouvez vous poser sont issues de notre expérience. Nous souhaitons ainsi vous apporter des éléments d’information susceptibles d’éclairer vos réflexions et vos décisions.
N’hésitez pas à nous faire connaître les sujets qui ne seraient pas traités, nous compléterons alors cette rubrique !
Vous exercez un mandat confié par vos concitoyens. Et vous souhaitez que ceux-ci puissent être vaccinés, mais en sécurité.
La lecture de ce site vous aura (nous l’espérons !) permis de saisir l’urgence qu’il y a à agir. Notre souhait : que tous ceux qui le souhaitent puissent s’approprier ce combat que nous portons depuis 14 ans maintenant.
Nous sommes à votre disposition, tant pour vous apporter de l’information que pour participer avec vous à cette mobilisation que nous appelons de nos vœux. Contactez-moi pour agir ensemble !
Nous, responsables politiques, avons une responsabilité forte sur le plan de la santé publique. Vous remettez en cause l’adjuvant aluminique. Mais si nous devions le retirer des vaccins, que mettre à la place ?
De nombreux adjuvants ont été (ou sont) testés. Mais les résultats ne sont pour l’instant pas convaincants. Ainsi, certains vaccins contre la grippe H1N1 avaient du squalène comme adjuvant, et ils ont déclenché de graves crises de narcolepsie.
Par contre, le phosphate de calcium semble présenter toutes les garanties d’un bon adjuvant. De plus, c’est un composant naturel de l’organisme. L’Institut Pasteur l’a d’ailleurs utilisé (à la place de l’aluminium) de 1974 à 1986, à la satisfaction générale (voir notre dossier spécial à ce sujet).
Il est considéré comme « un adjuvant biodégradable, ce qui représente un grand avantage sur les sels d’aluminium, voire un adjuvant idéal », selon des études récentes menées dans différents pays (USA, Allemagne, Iran, …). (Bulletin scientifique E3M de mai 2020, Bulletin scientifique E3M de janvier 2021).
Lorsque l‘on est un élu de la république, lorsque l’on est un parlementaire, nous devons prendre des décisions de politique sanitaire et pour cela nous nous appuyons sur l’avis et les conseils d‘organismes tels que le Haut Conseil de Santé Publique (HCSP) ou l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament (ANSM). Or, celles-ci estiment qu’il n‘y a pas de problème avec l’aluminium vaccinal. Pourquoi voudriez-vous que nous allions contre leur avis ?
Ces avis sont anciens. Ils n’ont donc pas pu intégrer les découvertes les plus récentes, et en particulier celles qui sont présentées dans la publication de Gherardi et al. de 2019, qui fait la synthèse des recherches sur le lien entre adjuvant aluminique et myofasciite à macrophages : Myalgia and chronic fatigue syndrome following immunization: macrophagic myofasciitis and animal studies support linkage to aluminum adjuvant persistency and diffusion in the immune system (Gherardi et al. 2019 – V° Française).
Ces travaux ont été menés grâce à un financement de l’ANSM (2013-2017). Depuis 2019, aucun organisme officiel français n’a contesté les résultats obtenus, en particulier cette affirmation des chercheurs : “Nous présentons des preuves épidémiologiques, cliniques et expérimentales comme quoi l’EM/SFC constitue un type majeur d’effet indésirable des vaccins, en particulier ceux contenant des adjuvants aluminiques particulaires peu dégradables” (NB : la myofasciite à macrophages – MFM – est un syndrome de fatigue chronique – EM/SFC – d’origine toxique).
Votre discours nuit à la politique sanitaire de notre pays. Vous avez mené de nombreuses actions, comme par exemple une grève de la faim devant le ministère de la santé. Ne pensez-vous pas qu‘il serait temps d’arrêter ces manifestations qui alimentent la perte de confiance des Français dans la politique vaccinale ?
Nous ne sommes pas anti-vaccinaux !
Parler d’un métal toxique entrant dans la composition des vaccins ne veut pas dire que l’on est contre la vaccination ! Nous ne disons pas aux familles de ne pas vacciner leurs enfants, nous les alertons simplement sur la toxicité de l’aluminium.
Notre objectif est que chaque citoyen puisse bénéficier d’une offre vaccinale sécurisée. Et par cette campagne, nous invitons chacun à se mobiliser de manière responsable « pour des vaccins sans aluminium ». Et nous rappelons sans relâche que l’Institut Pasteur a montré le chemin en retirant l’aluminium de ses produits dès 1974…
Les vrais irresponsables, ce sont ceux qui freinent toute évolution pour des intérêts qui ne sont pas ceux de la Santé Publique.
Vous avez demandé à ce que le régime d’indemnisation des victimes des accidents vaccinaux soit revu. Pouvez-vous nous en expliquer les raisons ?
Actuellement, les procédures d’indemnisation des préjudices générés par la vaccination sont très hétérogènes, et varient selon des critères qui ne garantissent pas l’égalité de traitement entre les citoyens :
→ S’il s’agit d’une vaccination obligatoire (en application du code de la Santé Publique ; par exemple vaccination contre l’Hépatite B pour le personnel médical) : le dossier est instruit par l’ONIAM (Office National d’Indemnisation des Accidents Médicaux), quelle que soit la date de la vaccination.
→ S’il s’agit d’une vaccination imposée par son employeur, mais ne figurant pas sur la liste des vaccinations « obligatoires » (par exemple : vaccination contre l’hépatite B d’un éboueur de la Ville de Paris confronté au ramassage de seringues usagées),
Ou d’une vaccination recommandée (par exemple, contre le tétanos, ou l’Hépatite B, ou le papillomavirus, ainsi que le conseillent très fortement les autorités sanitaires),
Alors le dépôt de dossier se fait auprès de la CCI (Commission de Conciliation et d’Indemnisation), à condition que la vaccination incriminée ait été effectuée après le 5 septembre 2001.
→ Si l’on a reçu une vaccination imposée par son employeur ou une vaccination recommandée avant le 5 septembre 2001, aucune procédure d’indemnisation n’est possible.
Il est ici question de politique vaccinale, ce qui nous amène à formuler ces deux remarques :
→ Est-ce une bonne politique celle qui laisse de côté une partie de ses citoyens ? Peut-on parler de politique vaccinale, sans appliquer un principe de solidarité vis-à-vis des victimes de cette politique, que les effets indésirables soient inéluctables (tout médicament a des effets indésirables) ou largement évitables (les alertes sur l’aluminium sont anciennes, comme nous l’avons vu) ?
→ On ne peut considérer le vaccin comme « un médicament comme les autres ». Les autorités sanitaires ont une politique volontariste vis-à-vis de la vaccination qui n’existe pour aucun autre médicament. Le vaccin ne soigne pas, mais prévient d’une éventuelle maladie future, et surtout il s’inscrit dans une démarche de santé publique comme l’indique clairement la ministre de la santé : « La vaccination est un acte solidaire et citoyen. Chacun d’entre nous porte une responsabilité de santé publique. Chacun d’entre nous est un maillon de la chaîne de transmission. Se vacciner, c’est se protéger et c’est aussi protéger les autres, et en particulier les plus fragiles ».
Dès lors, la justification d’un traitement différent entre « vaccination obligatoire » et « vaccination recommandée » pour l’indemnisation du préjudice n’est plus judicieuse. C’est d’ailleurs ce que préconise la Cour des Comptes dans son rapport du 20 février 2013 portant sur la politique vaccinale de la France : « La Cour formule donc les recommandations suivantes : (…) 3. Aligner les régimes d’indemnisation des vaccinations obligatoires et recommandées à condition que les dommages puissent être strictement imputés à la vaccination ».
Le combat contre l‘aluminium utilisé comme adjuvant dans les vaccins a-t-il une couleur politique particulière ? En effet, de nombreux élus écologistes soutiennent votre action. L’aluminium est-il de droite ?
Nous avons décidé en 2011 de sensibiliser l’ensemble des parlementaires à cette question de la sécurité vaccinale, en lien avec les effets délétères de l’adjuvant aluminique.
Cela a permis une prise de conscience des membres du Groupe d’Etude sur la Vaccination de l’Assemblée Nationale, qui a ensuite demandé, dans son rapport de 2012, la mise en place d’un moratoire sur l’aluminium vaccinal. Les députés membres de ce groupe de travail représentaient toutes les sensibilités politiques.
En juillet 2013, 6 parlementaires (Europe Ecologie, Parti Communiste, Parti Socialiste, radical de Gauche, Centristes) ont lancé un appel en faveur de la remise à disposition du DTPolio sans aluminium. 84 autres parlementaires les ont rejoint, de toute sensibilité politique.
Plus de 250 questions écrites ou orales ont été posées aux Ministres de la Santé depuis l’été 2011. Des questions émanant de tous les bancs du Parlement.
Mais il est vrai que l’ensemble du mouvement EELV s’est engagé en faveur de vaccins sans aluminium, et que tous ses députés et sénateurs ont signé ces appels.
Nous attendons les autres partis !
Des députés de toutes tendances politiques ont demandé en 2012 un moratoire sur l‘utilisation de l’aluminium comme adjuvant dans les vaccins. Pourquoi cette demande n’a-t-elle pas été prise en compte ?
Cette demande de moratoire présentée par les députés du Groupe d’Etudes sur la Vaccination de l’Assemblée Nationale a été effectuée après l’audition de plus de 100 personnes et organismes ! Elle était donc très réfléchie.
Mais elle s’est trouvée confrontée à une opposition farouche des « experts » de la vaccination.
Et la Ministre de la Santé n’a pas donné suite à la demande des députés.
Le 22 mai 2014, l‘Office Parlementaire d’Évaluation des Choix Scientifiques et Technologiques (OPECST) a organisé un débat auquel vous avez participé à l‘Assemblée Nationale. Les positions du Haut Conseil de Santé Publique par exemple d’un côté, ou de chercheurs très renommés comme le Pr Shoenfeld ou le Pr Exley qui soutiennent les travaux des Pr Gherardi et Authier de l’autre, sont des positions très opposées. Qu’en est-il ressorti ?
Ces débats sont accessibles en ligne sur le site de l’OPECST.
Les positions des uns et des autres sont clairement exposées, et la qualité des intervenants ne peut être mise en cause.
Les auteurs du rapport de l’OPECST demandent que la recherche publique sur les conséquences de l’accumulation d’aluminium dans le cerveau lors de toute injection de vaccins contenant cet adjuvant, soit financée de manière importante, et rapidement.
Je suis un parlementaire de la république, et je suis interpellé par mes électeurs sur la question de la vaccination contre le papillomavirus (HPV). Quelle est votre position ?
Le 28 février 2023, le président de la République a annoncé le déploiement d’une campagne de vaccination contre les papillomavirus (HPV) pour tous les élèves de 5ème sur le territoire national. A cette même occasion, le président a par ailleurs exprimé sa volonté que, plus généralement, tous les enfants de 11 à 14 ans soient vaccinés contre le HPV.
Or, et sans être pour autant opposé au principe général de la vaccination, E3M est opposée à cette campagne, pour les raisons suivantes :
NB : l’ANSM mentionne dans son rapport que le Gardasil 9 présente le même profit de sécurité que le Gardasil 4.
Pourquoi recevoir
Alors que
Pour disposer de tous les éléments qui nous amènent à cette prise de position, vous pouvez consulter notre page dédiée à la vaccination HPV.
Je suis un élu local, et mes concitoyens me questionnent régulièrement sur cette question de l’aluminium dans les vaccins. Je sens bien leur inquiétude. Que puis-je faire pour agir ?
Peut-être pouvez-vous exprimer publiquement votre soutien à nos actions, par exemple en relayant nos communiqués auprès des habitants de votre ville ou de votre département ?
Nous sommes aussi à votre écoute pour étudier avec vous la manière d’avancer plus vite et plus loin.
president@asso-e3m.fr