Questions – Réponses

L’ALUMINIUM UN NEUROTOXIQUE DANS LES VACCINS

L’aluminium utilisé dans les vaccins est ce qu’on appelle un « adjuvant ».
Les adjuvants sont utilisés pour stimuler la réponse immunitaire et accroître le niveau d’anticorps dans l’organisme. Pour résumer, ils rendent les vaccins plus efficaces. Le principe de l’utilisation d’adjuvants est découvert par Ramón (Institut Pasteur en 1925).¹
Le choix des sels d’aluminium, dès 1926 (Glenny – Welcome, devenu GSK)², est fait sur des critères d’efficacité.
La Food and Drug Administration (agence américaine des produits alimentaires et médicamenteux) écrit en2002:«Le seuil de 15 mg d’alun ou de 0,85 mg d’aluminium par dose a été sélectionné empiriquement à partir des données qui ont démontré que cette quantité d’aluminium renforçait l’antigénicité³ et l’efficacité du vaccin. » 4

1 – Congrès international sur l’histoire de la vaccinologie, Relyveld, 1995
2 – GlaxoSmithKline
3 – « L’antigénicité est le fait pour une substance d’être reconnue par le système immunitaire »
4 – Aluminum salts in vaccines – US perspective, Baylor-Norman-W, FDA, 2002

OUI

Dès le début des années 1970, des alertes sur l’aluminium vaccinal sont lancées (il serait l’un des facteurs à l’origine du développement des maladies allergiques). Pour cette raison, l’Institut Pasteur remplace dans ses vaccins les sels d’aluminium par le phosphate de calcium, composant naturel de l’orga- nisme. Le 21 août 1987, la Food and Drug Administration présente un rapport sur les questions de sécurité concernant les composés d’aluminium utilisé dans les extraits allergéniques.

Le texte est explicite : « L’augmentation signalée des cas d’Alzheimer et de sclérose latérale amyotrophique endémiques peut être en relation avec un empoisonnement par une lente accumulation d’aluminium. (…)

Certains vaccins adsorbés sur aluminium (…) sont donnés comme mettant la vie en danger et ajoutent à cette charge. »¹

En 2003, l’Institut national de veille sanitaire (INVS) publie un rapport et affirme que « de nombreuses études montrent à présent que l’aluminium peut être toxique pour les plantes, les animaux et l’homme. »


¹ – Report on safety considerations for the aluminium component of alum-precipitated allergenic extracts, 21 août 1987, Allergenic Products advisory committee, from the june 25-26 1987, committee meeting.

NON

L’aluminium a été utilisé dans les vaccins avant que la communauté médicale ait eu la preuve de son caractère inoffensif. Il n’a jamais fait l’objet d’étude de toxicité en tant que composant spécifique. Jusqu’à très récemment, par exemple, la commu- nauté médicale partait du postulat que l’aluminium était excrété de l’organisme par les urines dans les 2 à 3 semaines suivant l’injection. Mais cette affirma- tion n’a fait l’objet d’aucune étude¹ et il a été démontré que l’aluminium migre dans l’organisme pour s’accumuler dans certains organes comme le foie, la rate et même le cerveau.²

En 2002, Nathalie Garçon, responsable des adjuvants pour le laboratoire GSK (GlaxoSmithKline), admet que « le seul adjuvant autorisé pour la consomma- tion humaine [l’aluminium] est le plus empirique. Personne ne sait comment il fonctionne, personne ne connaît sa biodistribution. »

Elle rajoute ensuite : « Je crois que si l’alum arrivait maintenant, il ne serait pas accepté. »11

L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) le reconnaît aussi en 2004 : « L’innocuité des adjuvants est un domaine important et négligé. Dans la mesure où les adjuvants ont leurs propres propriétés pharmacologiques, susceptibles de modifier l’immunogénicité et la sécurité des vaccins, l’évaluation de leur innocuité est indispensable. »

Le Pr Philippe Even est médecin et ex-président de l’Institut Necker.
À la question : « Connait-on le fonction- nement des adjuvants des vaccins ? », il répond : « C’est complètement empi- rique. Ça ne repose sur aucune base scientifique. »


¹ – 2007 – Robert W. SEARS, pédiatre nord-américain réputé, auteur de plusieurs livres de pédiatrie (cité par Virginie Belle) 10 – Gherardi, 2013
² – Virginie Belle, in Quand l’aluminium nous empoisonne, Éditions Max Milo 2010

OUI

Un tiers des vaccins sont fabriqués sans adjuvant (Rougeole-Oreillons-Rubéole, fièvre jaune, la plupart des vaccins contre la grippe…). Les deux tiers restants utilisent l’aluminium comme adjuvant, notamment les vaccins pluri- valents, c’est-à-dire contre plusieurs maladies à la fois (vaccins contre l’hépa- tite B ou A, contre le tétanos, la polio, la diphtérie, la coqueluche, l’haemophilus influenzae b…) .¹

Durant 47 ans (de 1961 à 2008) a existé un vaccin sans aluminium : le DTPolio Mérieux. Mais le 12 juin 2008, sa commercialisation a été suspendue par le fabricant (Sanofi Pasteur) pour « hausse importante d’effets indésirables. »

Or cette hausse a été inventée de toutes pièces. Elle a été conçue pour forcer la main aux autorités sanitaires, afin qu’elles ne s’opposent pas à la dispari- tion de ce vaccin peu cher, donc moins rentable que celui qui le remplacera par la suite.

E3M a porté plainte le 16 janvier 2014, pour Faux, usage de faux, escroquerie, atteinte à l’intégrité de la personne, mise en danger de la personne/risques causés à autrui. ²

Par contre, il est intéressant de savoir que les vaccins pour chats ne contien- nent plus d’aluminium !
En effet, face au développement du « sarcome félin », imputé à l’utilisation d’aluminium dans les vaccins, Mérial, filiale de Sanofi pour les produits vétérinaires, a retiré cet adjuvant de ses vaccins. Mérial en fait d’ailleurs un argument de vente :

« Les vaccins félins de la gamme PUREVAX sont purs – Ils ne contiennent pas d’adjuvants chimiques ayant le potentiel de provoquer des réactions locales ou allergiques. » ³


A l’heure d’Internet, il est illusoire de penser que les connaissances restent confinées à un petit nombre de personnes initiées. La population se détourne déjà de la vaccination, malgré les campagnes de communication régulières en sa faveur.

Comment s’étonner de cette baisse de confiance, alors que les autorités sanitaires ont choisi l’opacité et non la transparence ?

Les réactions aux conclusions tronquées (voir question n°18) du comité d’orientation du débat sur la vaccination, lancé en 2016 par la ministre de la Santé le prouvent :

les citoyens sont informés et ils attendent des autorités sanitaires de la transparence et une prise en compte des alertes.

Remettre sur le marché des vaccins sans aluminium témoignerait au contraire d’une attention à l’égard des préoccupations des citoyens.

La population ne souhaite pas cesser de se vacciner mais elle veut le faire en sécurité, avec des vaccins sans alumi- nium (en témoignent plusieurs pétitions rassemblant des milliers voire un million de signatures).

L’Académie de médecine reconnaît que l’aluminium vaccinal peut atteindre le cerveau : « La concentration d’Al26 va en décroissant : rein > rate > foie > cœur > ganglions > cerveau. » ¹

Une équipe française est à la pointe des recherches sur la toxicité de l’aluminium vaccinal. Il s’agit de l’Unité INSERM des Pr Gherardi et Authier (Hôpital Henri Mondor, Créteil).

Depuis les années 1990, ils mènent des recherches pour comprendre les mécanismes de toxicité de cet adjuvant, son fonctionnement et les maladies qui y sont associées (à partir de l’une d’entre elles, la myofasciite à macrophages – voir question n°8).

Les travaux les plus récents, publiés en 2015 et 2016, démontrent que l’aluminium perdure de nombreux mois au site d’injection puis migre dans l’organisme (principalement dans les cellules immunitaires) et s’accumule dans le cerveau, les ganglions lymphatiques et la rate.

Ces travaux sont repris par le Pr Shoen- feld (Israël), référence mondiale dans le domaine de l’auto-immunité. Celui-ci inclut la myofasciite à macrophages dans son « syndrome des adjuvants – ASIA. » ²

Les recherches scientifiques internationales mettant en cause l’aluminium vaccinal sont probantes. Certains chercheurs en ont témoigné à l’occasion d’un colloque à l’Assemblée Nationale le 22 mai 2014.³

Les publications de ces travaux paraissent dans des revues à comité de lecture réputées. De nouvelles découvertes sont régulièrement publiées, y compris maintenant en Amérique du Nord, en Israël, en Chine ou encore au Portugal.


Selon le Pr Exley (GB), spécialiste international de la toxicité de l’aluminium, de nombreuses pathologies¹ pourraient avoir cet adjuvant comme facteur (ou co-facteur) déclenchant : maladie d’Alzheimer ou de Parkinson, maladie de Crohn, sarcoïdose, myofasciite à macrophages…

Pour le Dr Stéphanie Seneff, chercheur au MIT (Massachusetts Institute of Technology), il existe aussi une forte probabilité de lien entre l’aluminium et les troubles du spectre autistique : « Nos résultats montrent une forte probabilité de lien entre l’autisme et l’aluminium utilisé dans les vaccins. (…)

La fatigue, la douleur et la mort sont associées de façon significative aux vaccins contenant de l’aluminium. »² De nouvelles recherches sont devenues aujourd’hui absolument indispensables pour faire toute la lumière sur cette question.

Le Pr Montagnier, prix Nobel de Médecine, écrit en 2012 : « Ce sont souvent les adjuvants qui créent ces problèmes de réactions anormales aux vaccins. (…) J’enrage de voir que ce problème est totalement nié pour des intérêts pharmaceutiques, des intérêts politiques. » ³


¹www.herbalix.com/assets/Exley-Chapter-Al-and-Med.pdf
²www.mdpi.com/1099-4300/14/11/2227
³ – Interview du Pr Luc Montagnier, médecin, virologue, prix Nobel de Médecine, sur RCF le 2 mai 2012

C’est une maladie induite par les sels d’aluminium contenus dans les vaccins, dont le lien a été attesté par plusieurs scientifiques internationaux.

Elle se caractérise notamment par des douleurs musculaires et articulaires importantes, un épuisement chronique et des troubles cognitifs qui attestent d’une lésion organique du cerveau. C’est une maladie très invalidante, car près de 80% des personnes qui en sont atteintes doivent cesser toute activité professionnelle.

La majorité des personnes atteintes de myofasciite à macrophages doivent renoncer à toute vie sociale, car l’épuisement rend impossibles toutes sorties ou soirées entre amis. Des jeunes qui débutent leurs études doivent brutalement les interrompre, se fermant tout avenir et devenant « adultes handicapés. » ¹

Le premier cas a été découvert en 1993 par la Dr Michelle Coquet, responsable du service d’anapathologie du CHU de Bordeaux.


Pour la myofasciite à macrophages, il n’existe pas de données précises sur le nombre de personnes malades, par défaillance du système de pharmaco- vigilance (remontée des effets indésirables).

Sur les médicaments en général, seulement 1 à 10% des effets secondaires font l’objet de déclarations par les professionnels de santé. Dans le domaine de la vaccination, ce chiffre est sans doute encore moins important, car à aucun moment l’Agence du médicament n’a informé le corps médical des risques de survenue de myofasciite à macrophages (par exemple) après une vaccination contenant de l’aluminium. Ces effets indésirables survenant quelques mois ou années après la vaccination, comment un médecin pourrait-il les diagnostiquer sans avoir auparavant été informé de cette possibilité ? Selon l’Agence du médicament, quelques 450 cas seraient répertoriés. Plus de 1000 selon notre association E3M.

Mais la réalité est toute autre. L’hôpital Henri Mondor est un centre national de référence des maladies neuromusculaires. Il accueille à ce titre des personnes atteintes du syndrome de fatigue chronique (SFC).
Ce syndrome touche 2% de la population occidentale, soit près de 1,2 million de personnes en France.

Près de 30% des personnes atteintes de SFC consultant à l’hôpital Henri Mondor, lorsqu’elles sont à jour de leur vaccination, seraient atteintes de myofasciite à macrophages.

Ce chiffre très important ne peut bien sûr être utilisé tel quel pour une projection sur l’ensemble du territoire, dans la mesure où il émane d’un centre spécialisé dans la myofasciite à macrophages. Mais cela donne un ordre de grandeur : des centaines de milliers de personnes pourraient être atteintes de myofasciite à macrophages.

Concernant les autres pathologies possiblement induites par l’aluminium vaccinal, nous n’avons pas de chiffres précis à ce jour (là encore, des recherches et un système adéquat de pharmacovigilance sont indispensables)

OUI

Entre 1993 et 1998, une importante découverte a lieu : les sels d’aluminium utilisés comme adjuvants vaccinaux, censés être éliminés en 2 à 3 semaines de l’organisme, peuvent en fait demeurer des années au site d’injection des vaccins. Cette biopersistance anormale serait-elle à l’origine des symptômes ressentis par un nombre croissant d’individus chez qui cet aluminium est retrouvé ?

L’Afssaps (Agence du médicament, actuellement ANSM) lance en 2003 une étude, menée par le service de pharmacologie de l’université de Bordeaux. Cette étude confirme les symptômes (douleurs musculaires et articulaires importantes, épuisement chronique ; les troubles cognitifs seront identifiés plus tard) et note que ces symptômes ont été précédés par des injections de vaccins avec aluminium.

Pour en déduire un lien de causalité, les chercheurs de Bordeaux précisent qu’une seconde étude serait nécessaire. Cette étude ne verra jamais le jour, car le Conseil Scientifique de l’Afssaps du 5 mai 2004 décidera qu’il n’y a pas lieu de remettre en cause le « bénéfice-risque » des vaccins avec aluminium.

Cet avis, contraire aux conclusions de l’étude de 2003 et fondé sur aucun critère objectif, sera qualifié par le député Gérard Bapt de « pourri de conflits d’intérêts. »

Cette décision inacceptable de la part d’un organisme censé protéger la population bloquera pour dix ans toute perspective de compréhension du rôle de l’aluminium dans la survenue de diverses pathologies et toute prise en charge des malades.

Après la grève de la faim menée par les militants d’E3M en 2012 et 2013 (voir question 16), un financement de 150 000€ a été accordé par l’ANSM à l’équipe INSERM des Pr Gherardi et Authier. Le résultat des travaux menés est sans appel :

« Nous présentons des preuves épidémiologiques, cliniques et expérimentales comme quoi l’EM/SFC constitue un type majeur d’effet indésirable des vaccins (…). Au lieu d’être rapidement solubilisées dans l’espace extracellulaire, les particules d’aluminium injectées sont rapidement capturées par les cellules immunitaires et transportées vers des organes distants et le cerveau où elles provoquent une réponse inflammatoire et exercent une neurotoxicité à faible dose sur le long terme. » (Version originaleVersion française).

OUI

L’aluminium pourrait être remplacé par le phosphate de calcium (utilisé durant 40 ans), qui est un composant naturel de l’organisme. Dès 1974, l’Institut Pasteur a d’ailleurs généralisé l’usage du phosphate de calcium face au nombre croissant de publications attirant l’attention sur certains risques liés aux sels d’aluminium. Ce nouvel adjuvant était très efficace et utilisé à la satisfaction générale (voir notre dossier spécial phosphate de calcium). Mais en 1985, la branche vaccins de l’Institut Pasteur fut rachetée par l’Institut Mérieux, donnant naissance à Pasteur Vaccins. L’Institut Mérieux arrêta la production de vaccins à base de phosphate de calcium.

L’utilisation de l’hydroxyde d’aluminium fut généralisée, par souci d’harmonisation de la production vaccinale française (autrement dit par souci de rentabilité) et afin d’être plus compétitif sur les marchés étrangers.

« Cela ne vaut pas la peine de se pencher sur le phosphate de calcium, alors que l’aluminium est universellement accepté », expliquait le Dr Roumiantzeff, directeur médical de Mérieux, le 4 novembre 1986, dans Le Matin Belge.

Les chercheurs de l’Institut Pasteur ont alors alerté les pouvoirs publics.

Le Dr Louis Lery, de l’Institut Pasteur, écrit le 29 septembre 1987 une lettre adressée à la sous-direction des affaires scientifiques du ministère des Affaires sociales : « Les publications portant sur les effets toxiques ou les effets indésirables de l’aluminium et de l’hydroxyde d’alumine sont de plus en plus nombreuses, d’année en année. Cet élément pousse ainsi à préférer des produits adjuvantés avec un autre sel minéral comme le calcium, composant habituel de notre économie générale. » ¹

Le professeur Floret, ancien président du Comité Technique des Vaccinations (organisme ayant pour mission de conseiller le gouvernement sur sa politique vaccinale en France) a d’ailleurs admis en avril 2016 que le phosphate de calcium était une alternative aux sels d’aluminium.²

La même année, paraissait une Etude de la littérature (co-financée par E3M et la Mutuelle Familiale), dont la conclusion était sans équivoque : « Le phosphate de calcium est un composé naturel présent dans l’organisme ayant déjà été utilisé comme adjuvant vaccinal. Les données disponibles chez l’Homme laissent percevoir une bonne capacité du phosphate de calcium à produire une réponse immunitaire efficace (parfois plus qu’avec les sels d’alun après le rappel) avec les antigènes de la diphtérie, du tétanos, de la poliomyélite et de la coqueluche. Aucune étude à notre connaissance ne rapportant d’effet indésirable lors de son utilisation dans les conditions prévues, aucune raison ne semble justifier la mise à l’écart de cet adjuvant dans la vaccination humaine pour les antigènes cités. »³

Ces dernières années, plusieurs publications montrent que des équipes de recherche avancent sur la piste du phosphate de calcium nanoparticulaire (CaP NP). Il est actuellement testé comme adjuvant de vaccins contre le virus H5N1 (USA), contre l’hépatite B (Allemagne, Chine), contre le VIH (Allemagne, USA), contre la brucellose (Institut Pasteur Téhéran). Il est considéré par ces chercheurs comme un adjuvant biodégradable, ce qui représente un grand avantage sur les sels d’aluminium, voire un adjuvant idéal.


¹ – Virginie Belle, Quand l’aluminium nous empoisonne, Éd. Max Milo, 2010
²www.vaccinssansaluminium.org/alternative-aluminium
³ – Calcium phosphate: a substitute for aluminum adjuvants? – Masson JD & al. in Expert Rev Vaccines

OUI, contrairement aux affirmations du Ministère dans ses réponses aux nombreuses questions écrites de parlementaires. Cet adjuvant est fiable, efficace et il présente toutes les garanties de sécurité, puisqu’il est un composant naturel de l’organisme humain.

Cet adjuvant pourrait être rapidement réutilisé dans les vaccins où il a déjà été intégré par l’Institut Pasteur, à savoir les vaccins contre diphtérie, tétanos, polio et coqueluche.

Pour les autres vaccinations, il convient de mener des études plus approfondies. Nicolas Ferry, directeur vaccin de l’ANSM, s’engage en avril 2016 dans un courrier électronique adressé à E3M : « S’agissant d’un adjuvant qui a déjà été largement utilisé, la validation de la qualité et les données pré-cliniques ne devrait pas soulever de problème particulier si le fabricant est un établissement pharmaceutique déjà habitué à fabriquer ce genre de produit. »

OUI

Les résultats des dernières recherches ouvrent de nombreuses perspectives qu’il conviendrait d’explorer au plus vite, par exemple sur les thématiques suivantes :

– Quelles autres pathologies pourraient être déclenchées par l’aluminium vaccinal ?
– Quel est « l’effet cocktail » des multi-vaccinations aluminiques, notamment chez le jeune enfant dont la barrière hémato-encéphalique n’est pas complètement formée ?

– Quel rôle joue la génétique ?

– Quelles méthodes autres que la biopsie serait-il possible de développer pour diagnostiquer plus facilement la myofasciite à macrophages ?

– Comment éliminer l’aluminium des zones où il est stocké (cerveau, rate, foie, lymphe…) ?

De manière plus générale, la compréhension de la survenue de la myofasciite à macrophages aiderait à mieux appréhender de nombreuses autres pathologies auto-immunes possiblement induites par les sels d’aluminium (ou d’autres métaux lourds).

OUI

Depuis 14 ans, de nombreux courriers sont envoyés par notre association E3M à l’Afssaps-ANSM (Agence du Médicament), au Ministère de la Santé et à la Présidence de la République. Des réunions se sont tenues à plusieurs reprises à l’Afssaps/ANSM.

En 2007, E3M et le Pr Gherardi ont été reçus par un membre du cabinet de la Ministre de la Santé. En 2012, aussi, à plusieurs reprises.

E3M a aussi rencontré plusieurs fois le Directeur Général de la Santé. Plusieurs livres ont été écrits sur le sujet de l’aluminium dans les vaccins : en 2010, Virginie Belle, journaliste, écrit Quand l’aluminium nous empoisonne aux éditions Max Milo.

En 2016 c’est au tour du Pr Romain Gherardi, neuropathologiste à l’Hôpital Henri Mondor (Créteil) de signer l’ouvrage Toxic Story. Deux ou trois vérités embarrassantes sur les adjuvants des vaccins aux éditions Actes Sud. Nous avons nous-même écrit plus de 70 articles durant les dix-huit derniers mois, publié depuis quatre ans plus d’une centaine de vidéos traitant du sujet et liées à notre combat.

En décembre 2010, le directeur de l’Afs- saps écrit, à propos des travaux des Pr Gherardi et Authier (INSERM – Hôpital H. Mondor Créteil) :

« [Ils] montrent en effet qu’une translocation au niveau cérébral de particules injectées au niveau musculaire, via les macrophages, est possible. Par ailleurs, les résultats relatifs à l’implication d’un polymorphisme [génétique] sont encourageants et permettront peut- être à terme d’identifier une sous-po- pulation à risque chez laquelle la vaccination aluminique devrait être évitée. » Depuis septembre 2011, de nombreux parlementaires interpellent les Ministres sur les questions de sécurité liées à l’aluminium vaccinal (253 parlementaires à ce jour).

Le Groupe d’Études Vaccination de l’Assemblée Nationale, composé en grande majorité de députés membres du corps médical de toutes tendances politiques, a demandé en 2012 la mise en place d’un moratoire sur l’utilisation de l’aluminium vaccinal.

La ministre de la Santé Roselyne Bachelot reconnaît à l’Assemblée Nationale en 2010, à propos de cas de sclérose en plaques, que « le rôle des sels d’aluminium pourrait être incriminé sous le bénéfice d’études complémentaires. » Lors de la campagne présidentielle de 2012, François Hollande prend position : « Les maladies rares font clairement partie des orientations stratégiques qui doivent être données à notre recherche clinique et fondamentale. L’exemple de la myofasciite à macrophages démontre, s’il le fallait, la nécessité de faire progresser nos connaissances. (…) Je veillerai à ce que tous les travaux scientifiques soient pris en compte pour déterminer la dangerosité des produits de santé et à ce que le doute profite au patient. »

Marisol Touraine, ministre de la Santé, s’est elle aussi clairement exprimée en 2012 : « De nombreuses études ont ainsi alerté sur le possible potentiel cancérigène et perturbateur endocrinien des sels d’aluminium. (…) La nature des adjuvants utilisés dans leur fabrication doit faire l’objet d’une attention particulière et doit être communiquée aux familles afin qu’elles soient pleinement informées. Elles doivent également avoir le choix de faire procéder aux vaccinations obligatoires par des vaccins sans sel d’aluminium, d’autant plus que cela était le cas jusqu’en 2008. »

E3M a été reçue le 7 septembre 2012 par un membre du cabinet de Marisol Touraine en présence des professeurs Gherardi et Authier. L’association a présenté ses demandes habituelles : la recherche menée à l’hôpital Henri Mondor doit disposer immédiatement d’un financement approprié ; le DT Polio sans aluminium doit être remis à disposition du public dans les plus brefs délais. Dans la mesure où une volonté politique claire était affichée et sachant que l’ANSM (agence du médicament) disposait d’un budget dédié au financement de la recherche¹, tout était donc réuni pour que la sécurité vaccinale soit reconnue comme une priorité majeure bénéficiant des financements appropriés.

Or, le 9 septembre 2012, les Pr Gherardi et Authier recevaient un courrier de l’ANSM les informant qu’aucun financement ne leur était accordé. L’agence du médicament avait fait le choix de maintenir le couvercle sur la marmite bouillonnante des questions de sécurité vaccinale liées à la présence d’aluminium dans les vaccins.

E3M a réagi avec force à cette annonce (voir question 16).


¹ – La réforme de l’Agence du Médicament, suite à l’affaire du Mediator, a « transformé » l’AFSSAPS en ANSM. Parmi les changements mis en œuvre : la mise en place d’un budget dédié à la recherche.

Jusqu’en 2012, l’association E3M s’est principalement occupée d’accompagner les malades de myofasciite à macrophages sur les plans administratif, juridique et moral. Lorsque les Pr Gherardi et Authier ont reçu la lettre de l’ANSM, E3M a choisi de mener d’autres formes d’actions plus militantes.

Elle a donc écrit une lettre ouverte à la ministre de la Santé et a organisé une conférence de presse avec des scientifiques français, anglais, canadien et israélien.

En novembre 2012, comme la situation n’évoluait toujours pas et que les autorités continuaient à faire la sourde oreille, E3M a lancé une grève de la faim « tournante ». Certains malades sont restés trois semaines sans se nourrir, pour témoigner de l’urgence à agir. Elle s’est achevée juste avant Noël, car, suite à d’âpres négociations avec le Ministère de la Santé, il a été obtenu un accord de financement réparti sur 3 ans à hauteur de 150 000€ pour la recherche menée par l’unité INSERM de l’Hôpital H. Mondor (Créteil).

Mais en juin 2013 (6 mois plus tard), aucun engagement n’avait alors été respecté. Une nouvelle grève de la faim s’est donc mise en place, cette fois directement devant le Ministère de la Santé.¹

Il a fallu une nouvelle mobilisation pendant plus de deux mois ainsi que l’appui de Laurence Cohen, sénatrice du Val de Marne, membre de la commission des affaires sociales du Sénat et membre du Conseil d’Administration de l’ANSM, pour que les 150 000€ soient effectivement débloqués et attribués à l’équipe des Pr Gherardi et Authier.

Par contre, l’engagement pris par le direc- teur général de la Santé et le directeur de l’ANSM de mettre en place un comité de pilotage qui traiterait de la question globale de l’aluminium, dont la remise à disposition du DTPolio sans aluminium, et en présence d’E3M, est resté lettre morte. Malgré tout, il s’agit là d’une avancée considérable : pour la première fois au monde, un gouvernement a accepté de financer une recherche sur l’utilisation des sels d’aluminium comme adjuvants vaccinaux. Et cela grâce à la mobilisation forte de citoyens et le soutien d’élus.

En parallèle, E3M mène et accompagne de nombreuses autres actions :
– Accompagnement administratif, juridique et moral des malades de myofasciite à macrophages,

– Soutien financier à la recherche,

– Pétition citoyenne qui a récolté plus de 100 000 signatures (www.change.org/vaccinsansaluminium) et qui a été remise au Ministère de la Santé,

– Pétition signée par près de 450 médecins,

– Appel de 90 élus de toutes tendances politiques pour la remise à disposition d’un DTPolio sans aluminium. Cet appel a été initié par Michèle Rivasi (députée européenne EELV), Laurence Cohen (sénatrice PC), Corinne Lepage (députée européenne ADLE), Jean Lassalle (député N.I.), Philippe Madrelle (sénateur PS), Alain Tourret (député PRG),

– Colloque à l’Assemblée Nationale en mai 2014,

– Lancement de la campagne citoyenne « Pour des vaccins sans aluminium » en septembre 2015,

– Organisation de l’événement national « Pour des vaccins sans aluminium : 7 jour agir », du 15 au 22 octobre 2016,

– Co-production du documentaire L’aluminium, les vaccins et les 2 lapins…, réalisé par Marie-Ange Poyet (2016).


OUI

À la lecture de ce document, chacun peut se rendre compte que la question des liens entre l’industrie pharmaceutique et l’agence du médicament se pose.

Celle-ci a régulièrement bloqué toute remise en cause de la sécurité d’utilisation des vaccins, notamment en ce qui concerne la présence d’aluminium.¹ Une autre attitude est particulièrement grave : les autorités sanitaires s’inclinent devant la puissance de l’industrie pharmaceutique qui oriente les choix de politique vaccinale.

Une plainte au pénal a été déposée pour Faux, usage de faux et escroquerie, atteinte à l’intégrité de la personne, mise en danger de la personne/risques causés à autrui, suite à la disparition du DTPolio sans aluminium.²

Le Conseil d’État a, pour sa part, établi une jurisprudence claire et solide depuis novembre 2012.

À ce jour (2022), douze arrêts du Conseil d’État confirment le lien entre myofasciite à macrophages et vaccins aluminiques.³


¹ – Ceci est notre domaine de compétence. Cela ne signifie pas qu’il n’y a pas d’autres difficultés, comme par exemple la présence de 300 à 400 fragments d’ADN dans chaque ampoule de Gardasil, scotchés sur l’aluminium… voir notre dossier spécifique sur le Gardasil).
² – Voir notre «dossier noir de la disparition du DT Polio Mérieux»
³ – ° 345411 du 22.03.2013; n° 347459 du 30.12.2013 ; n° 362488 du 30.12.2013 ; n° 368150 du 11.04.2014 ; n° 366470 du 23.07.2014 ; n° 369478 du 22.07.2015 ; n° 369479 du 22.07.2015 ; n° 387694 du 11.05.2016 ; n° CE 384612 du 30.12.2016 ; n° 419329 du 13.02.2020 ; n° 437875 du 29.09.2021.

41% des Français sont méfiants vis-à-vis de la vaccination (et les dangers de l’aluminium sont au cœur de cette « hésitation vaccinale »). Pour trouver les moyens de redonner confiance à la population, la ministre de la Santé a annoncé, en janvier 2016, l’ouverture d’un grand débat national sur la vaccination.

E3M a joué le jeu de cette concertation, en rencontrant les jurys citoyens et professionnels de santé, à leur demande. L’association a par ailleurs remis au comité d’organisation un mémoire¹ avec les dix mesures qui lui semblent devoir être prises pour que les français retrouvent confiance dans l’acte vaccinal. Le comité d’orientation du débat, présidé par le Pr Fischer et chargé de « recueillir la parole des citoyens » et de « synthétiser les idées partagées »,² a rendu ses conclusions le 30 novembre 2016.

À l’écoute de ces conclusions, il semble que pour le Pr Fischer, l’aluminium dans les vaccins, ça ne se discute pas, non plus… Plusieurs éléments amènent à cette conclusion :

Alors que les jurys avaient proposé des mesures centrales comme la remise à disposition de vaccins sans aluminium, l’utilisation d’adjuvants comme le phosphate de calcium ou la suppression de tout conflit d’intérêts chez les experts qui conseillent le gouvernement, leur avis sur ces sujets n’a pas été retenu.

« La question qui fâche », celle de l’aluminium vaccinal, a été écartée des conclusions du comité Fischer, au profit de mesures coercitives: élargissement de l’obligation vaccinale à onze pathologies au lieu de trois (dans l’idée de la supprimer plus tard…), multiplication de l’éventail des vaccinateurs et amélioration de la « communication » sur la nécessité de se faire vacciner.

– Les plus de 10 000 contributions sur l’espace participatif de la concertation ont été lues mais ces avis (dont la grande majorité traitait de l’aluminium) n’ont pas été pris en compte.

Le comité d’orientation devait être indépendant. Or plusieurs de ses membres sont en conflit d’intérêt avec l’industrie pharmaceutique³, ce qui a poussé E3M à refuser en juin 2016 d’être auditionnée par ce comité partial. Cette absence d’indépendance dans un comité d’experts chargé de conseiller le gouvernement n’est pas conforme à la loi. Le comité aurait dû respecter la charte de l’expertise (Suite à l’affaire du Mediator et à la demande des parlementaires qui voulaient s’assurer d’une expertise indépendante, une Charte de l’Expertise a été mise en vigueur en 2013).

Enfin, plus grave encore, le comité d’orientation a tenté de faire disparaître des éléments gênants du rapport.
7 pages d’échanges en interne commentant un courrier d’E3M qui mentionnait la dangerosité des conflits d’intérêts au sein du comité furent simplement supprimées peu après la publication des annexes du rapport officiel.

Ces 7 pages furent replacées quand une journaliste de l’Agence de Presse Médicale s’en est étonnée, suite à la publication de notre communiqué de presse révélant la manipulation.

Tous ces éléments questionnent la « démocratie sanitaire » dans laquelle nous sommes censés nous trouver. Les conclusions de ce débat étaient- elles donc écrites à l’avance dès le lancement de cette « concertation » ?


¹ – Voir http://www.vaccinssansaluminium.org/wp-content/uploads/2016/09/Concertation-Vaccination-Les-mesures-E3M.pdf
²www.concertation-vaccination.fr
³ – Dépêche APM – Agence de Presse Médicale, 2 décembre 2016

Les travaux menés depuis 20 ans par l’équipe INSERM des Pr Gherardi et Authier (hôpital Henri Mondor – Créteil) sur la MFM (assimilable à l’Encéphalomyélite Myalgique / Syndrome de Fatigue Chronique – EM/SFC) ont fait l’objet d’une publication de synthèse en 2019 : Myalgies et syndrome de fatigue chronique après vaccination : la myofasciite à macrophages et les études animales les relient à la persistance et la diffusion des adjuvants aluminiques dans le système immunitaire (Auto-Immunity Reviews, 2019  – voir la publication en version anglaise et française en annexe ..). Celle-ci apporte les preuves épidémiologiques, cliniques et expérimentales comme quoi l’EM/SFC constitue un type majeur d’effet indésirable des vaccins, en particulier ceux contenant des adjuvants aluminiques particulaires peu dégradables. Il est dorénavant acquis que : 

  • L’aluminium perdure de nombreux mois au site d’injection vaccinale. Simultanément, il migre dans l’organisme, principalement à l’intérieur de cellules immunitaires, et accède aux ganglions lymphatiques régionaux. Les cellules chargées de particules quittent ensuite le système lymphatique pour atteindre la circulation sanguine puis accéder à des organes distants tels que la rate, le foie et le cerveau.
  • Cette migration s’effectue plus ou moins rapidement et plus ou moins intensément selon 3 critères : 
    • le mode d’injection – La migration est plus rapide si l’injection est réalisée en sous-cutané plutôt qu’en intramusculaire ;
    • le profil génétique – la migration est plus ou moins rapide selon certaines prédispositions individuelles, avec une bioaccumulation d’aluminium dans des sites sensibles en plus grande quantité en cas d’altération des mécanismes de l’autophagie (processus de nettoyage de l’organisme qui permet d’éliminer les particules) ; 
    • la concentration – une concentration modérée d’adjuvant aluminique forme des petits agrégats de particules qui migrent plus rapidement dans le cerveau qu’une concentration importante formant de gros agrégats.

La quantité d’aluminium s’accumule dans le cerveau, ainsi que dans les ganglions lymphatiques et la rate, organes du système immunitaire, en fonction des 3 critères ci-dessus. Cette accumulation est hautement contre-indiquée, compte-tenu de la neurotoxicité de l’aluminium. Elle pourrait être à l’origine d’autres pathologies (scléroses en plaques post-vaccinales, encéphalomyélites aigues disséminées, certains cas d’autisme, …), comme l’indiquent les travaux de plusieurs scientifiques (Pr Shaw – Canada, Dr Seneff – MIT, USA).

Des décisions politiques claires doivent maintenant être prises. Les demandes qu’E3M porte depuis de nombreuses années doivent être mises en œuvre au plus vite :

Financement massif de la recherche afin que toute la lumière soit faite sur TOUS les effets indésirables de l’aluminium vaccinal, et que TOUS les malades soient pris correctement en charge. 

Remise à disposition de vaccins avec du phosphate de calcium comme adjuvant,

Moratoire sur le développement et la mise sur le marché de tout nouveau vaccin adjuvanté sur aluminium. Il est en effet illogique de se questionner sur la dangerosité de cet adjuvant (via le financement de la recherche), et de développer simultanément et sans cesse de nouveaux vaccins élaborés avec ce même adjuvant. 

Vous l’avez compris, ce n’est que grâce à la pugnacité d’une mobilisation citoyenne que nous avons pu faire évoluer la situation. Nous avons conscience que notre parole dérange, mais que grâce à elle, la question de l’aluminium vaccinal (et des victimes qui y sont liées) n’est pas tombée dans l’oubli, comme le souhaiteraient nombre de responsables de la question sanitaire. Aujourd’hui plus que jamais, la suite dépend de chacun de nous. Nous avons permis d’avancer consi- dérablement vers un possible retrait de l’aluminium vaccinal. Mais rien n’est acquis et le combat se doit d’être permanent pour être efficace.

De nombreuses actions sont possibles simplement, en fonction de vos compétences et disponibilités :
– Transmettre ce livret à un maximum de personnes autour de vous,

– Diffuser l’information via les réseaux sociaux (Facebook, Twitter, Youtube, Odysee, Crowdbunker) ou par mail,

– Questionner vos élus sur ce sujet,

– Organiser une projection du film L’aluminium, les vaccins et les 2 lapins…,

– Lancer un groupe local près de chez vous pour sensibiliser la population en distribuant des tracts par exemple,¹

– Rejoignez notre équipe de rédaction d’articles,

– Apporter vos compétences dans différents domaines (vidéo, communication, traductions [Chinois, Arabe, Hébreu]…),¹

– Et plein d’autres idées que nous pouvons imaginer ensemble !²

Vous trouverez d’autres compléments sur notre site d’information ou sur le site de l’association (www.asso-e3m.fr). Puisque le gouvernement se défile et ne prend pas cette mission en charge, c’est à nous de faire en sorte que la santé humaine prime sur les intérêts industriels et financiers en l’obligeant à changer de positionnement par tous les moyens dont nous pourrons disposer. Chaque jour qui passe, des milliers de doses d’aluminium vaccinal sont inocu- lées dans des corps de nourrissons, d’enfants ou d’adultes, déclenchant une dramatique roulette russe dont nous connaissons les effets désastreux. Cet immense scandale sanitaire peut bientôt éclater au grand jour grâce à notre mobilisation, pour que cesse le plus rapidement possible l’hécatombe. Nous sommes réellement tous concernés. Absolument TOUS !


¹ – Kit à télécharger et formulaire à remplir sur www.vaccinssansaluminium.org/agir
² – Écrivez-nous à contact@vaccinssansaluminium.org !

NON

Comparer la toxicologie de différentes formes d’aluminium et de différents types d’exposition est trompeur et inadéquat, et des expériences sur des animaux de petite taille ont bouleversé les anciens dogmes. 

Au lieu d’être rapidement solubilisées dans l’espace extracellulaire, les particules d’aluminium injectées sont rapidement capturées par les cellules immunitaires et transportées vers des organes distants et le cerveau où elles provoquent une réponse inflammatoire et exercent une neurotoxicité à faible dose sur le long terme. Les observations cliniques et les expériences chez le mouton, un grand animal comme l’humain, ont confirmé à la fois la diffusion systémique et les effets neurotoxiques des adjuvants à l’aluminium.

Il est souvent indiqué que l’alimentation orale en aluminium est supérieure à la quantité d’aluminium injectée avec des vaccins, celle-ci ne pourrait donc causer aucun dommage. Cette affirmation simpliste et scientifiquement aberrante ne tient pas compte des différences marquées du sort de l’aluminium dans les deux situations :

  • Ingestion d’aluminium : en cas de barrière intestinale saine, 99,7% de l’aluminium est éliminé dans les fèces et seulement 0,3% peut traverser la barrière intestinale, sous forme atomique [et se lier à des transporteurs comme la transferrine, l’albumine, et le citrate]. Ensuite, 0,2% est rapidement éliminé dans les urines (Fatemi, 1991; Priest, 1995) et les 0,1% restants sont répartis dans tout le corps. 
  • Injection d’hydroxyde d’aluminium : contrairement à l’ingestion d’aluminium, 100% de la dose adjuvante initiale traverse la barrière naturelle avec l’aiguille et atteint le milieu interne. L’aluminium est sous une forme particulaire peu soluble (Mold 2016). Pas plus de 6% de l’aluminium injecté est éliminé dans les urines après 28 jours (Flarend, 1997), les 94% restants étant capturés avidement par les cellules immunitaires appelées macrophages et transportés vers les organes lymphoïdes éloignés et le cerveau où les particules d’aluminium sont principalement localisées dans les cellules de l’immunité (Khan 2013). 

En conclusion, les toxicologues spécialisés en aluminium savent maintenant que la comparaison des propriétés toxicologiques de différentes formes d’aluminium (solubles et particulaires) administrées par différentes voies (orale et intramusculaire) est incorrecte et, par conséquent, inadmissible (Willhite 2014).

DE NOMBREUX SCIENTIFIQUES DANS LE MONDE TRAVAILLENT DEPUIS DES ANNÉES SUR LA QUESTION DE L’ALUMINIUM VACCINAL

PR. ROMAIN GHERARDI

PR. ROMAIN GHERARDI

Directeur de recherche INSERM à l’Université Paris-Est, chef du service d’Histologie- Embryologie de l’hôpital H. Mondor (Créteil), spécialiste des maladies neuromusculaires.

PR. JÉRÔME AUTHIER

PR. JÉRÔME AUTHIER

Neurologue et coordinateur du centre de Référence des maladies neuromusculaires de l’Hôpital Henri Mondor à Créteil, enseignant à l’Université Paris Est-Créteil.

PR. YEHUDA SHOENFELD

PR. YEHUDA SHOENFELD

Chef du Département de médecine de l’Université de Tel-Aviv depuis 1984, spécialiste des maladies auto-immunes et rédacteur en chef de Autoimmunity Reviews.

LUCIJA TOMLJENOVIC

LUCIJA TOMLJENOVIC

Doctorante en biochimie, chercheur au Neural Dynamics Research Group de l’Université de Colombie-Britannique (Vancouver) et rédactrice en chef adjointe du Journal of Alzheimer’s Disease.

PR. CHRIS SHAW

PR. CHRIS SHAW

Neurologue, Professeur dans le département d’études supérieures en neurosciences, Université de Colombie Britannique (Vancouver, Canada), fondateur et ancien directeur de Neurodyn.

PR. CHRIS EXLEY

PR. CHRIS EXLEY

Professeur de biochimie inorganique au Centre Birchall, Université Keele, Staffordshire (Royaume-Uni) et biologiste, il est surnommé Mr Aluminium par ses pairs.

DR. SIN HANG LEE

DR. SIN HANG LEE

Pathologiste et Directeur du Milford Molecular Laboratory, Milford (Etats-Unis), expert international reconnu dans l’utilisation du séquençage de l’ADN pour les diagnostics moléculaires.