L’ANSM – Une agence sanitaire qui se moque des Français

Le 29 avril 2024, l’ANSM (Agence Nationale de sécurité du Médicament) publiait un communiqué sur la campagne vaccinale contre les HPV : « les données recueillies après la première dose confirment le profil de sécurité du vaccin Gardasil 9 ».

Beaucoup se contentent de croire la parole officielle et rassurante de l’ANSM.

Les journalistes indépendants, eux, s’informent auprès d’autres sources, cherchent des avis complémentaires voire divergents, car il s’agit de la santé de la population, et plus particulièrement de celle de nos enfants. C’est à ces journalistes que nous nous adressons.

Le 19 octobre 2023, les associations E3M et REVAV ont adressé un courrier à l’ANSM dans lequel elles exprimaient leur inquiétude au sujet de la campagne de vaccination contre le HPV et de l’utilisation du Gardasil. L’Agence a mis 6 mois pour répondre. Et quelle réponse ! L’ANSM s’est en effet contentée de développements génériques (similaires aux éléments de langage du gouvernement diffusés pour soutenir la campagne déployée dans les collèges), sans se donner la peine de répondre aux questions précises soulevées dans le courrier (Courrier E3M/REVAVRéponse de l’ANSM).

Nous avons exprimé notre indignation dans un courriel envoyé le 06 mai 2024 à la Directrice Générale de l’ANSM : 

Bonjour Madame Ratignier Carbonneil,

J’accuse réception de votre courrier (non daté) envoyé par voie électronique le 30 avril 2024, il est censé répondre à celui que nous vous avons adressé en date du 19 octobre 2023.

Sauf que l’ANSM ne s’exprime que par des généralités sur la vaccination HPV et ne répond en aucun point aux questions légitimes soulevées par nos associations. Aucune réponse n’est apportée aux questions précises que nous vous avons posées, alors même qu’elles traitent de sujets essentiels pour la santé de nos concitoyens. Et de penser notamment à l’alerte lancée par le Docteur Lee et le Professeur Belec quant à la contamination du Gardasil par des fragments d’ADN du HPV scotchés sur l’adjuvant, alerte qui s’ajoute bien entendu à celle concernant le recours à un adjuvant aluminique non évalué par la communauté scientifique indépendante de l’industrie. Tous ces éléments sont d’autant plus préoccupants que, comme vous le savez, les adjuvants aluminiques migrent dans l’organisme et peuvent atteindre le cerveau…

En 20 ans de relations avec l’Agence du médicament (Afssaps puis Ansm), je n’ai jamais vu un tel mépris pour une association de victimes de produits de santé, qui plus est agréée par le ministère de la Santé comme représentante des usagers de la santé.

Aussi, je vous prie de bien vouloir nous apporter des réponses dignes d’une agence de santé aux questions soulevées par nos associations.

Pour faire valoir ce que de droit, 

Didier LambertPrésident E3M

Car nous avons des raisons d’être inquiets… Lire la suite ici.

En 2012, le Dr Lee alertait sur la présence d’ADN du HPV dans le Gardasil. Alors que la notice du Gardasil stipule que « Gardasil est un vaccin adjuvé quadrivalent recombinant non-infectieux préparé à partir de pseudo-particules virales (VLP pour Virus Like Particles) hautement purifiées de la principale protéine L1 de la capside des HPV de types 6, 11, 16 et 18. Les VLP ne contiennent pas d’ADN viral, elles ne peuvent pas infecter les cellules, se multiplier, ni provoquer de maladie » (RCP, chap. 5.1), le Dr Lee affirmait le contraire, précisant même que « ces fragments d’ADN se révèlent être solidement liés aux particules insolubles d’adjuvant AAHS » (Lee 2012, v° originale, v° française).

Le 22 mai 2014, le Pr Belec (HEGP, France) confirmait cette contamination lors du colloque de l’OPECST consacré aux adjuvants vaccinaux : « On peut quantifier de façon assez grossière entre 200 et 400 fragments d’ADN L1 du HPV par ampoule de Gardasil. (…) on trouve de l’ADN L1 dans un vaccin où l’on ne devrait pas en trouver. (…) Il faut absolument continuer les recherches sur ce sujet. (…) les interactions entre des résidus d’ADN L1 du HPV et l’hydroxy-phosphate d’aluminium pourraient éventuellement être associées à des phénomènes pathologiques, probablement complexes et non univoques. » (Rapport p. 60 et 61).

L’inquiétude du Pr Belec est d’autant plus justifiée que plus personne ne peut ignorer le fait que les adjuvants aluminiques migrent dans l’organisme et peuvent pénétrer le cerveau (Flarend et al. 1997, Académie de médecine 2012, Khan et al. 2013, Eidi et al. 2015, Crépeaux et al. 2015 – voir Gherardi et al. 2015 et Masson et al. 2022 pour revues complètes). 

Nous savons par des scientifiques danois que l’adjuvant du Gardasil (le sulfate d’hydroxyphosphate d’aluminium – AAHS) n’a pas été approuvé correctement par l’Agence Européenne du Médicament : « Merck pourrait avoir obtenu l’autorisation pour l’AAHS sans avoir suivi les recommandations requises pour les nouveaux adjuvants », notamment en nommant « placebo » un comparateur qui contenait, lui aussi, l’adjuvant AAHS.  Ils notent en particulier que « le fabricant de l’AAHS semble avoir empêché la réalisation d’études indépendantes sur l’AAHS, bien que des experts de la caractérisation des adjuvants à base d’aluminium aient émis l’hypothèse que l’inclusion de groupements sulfate augmenterait l’acidité au point d’injection, ce qui entraînerait probablement une toxicité accrue concomitante. » Ils concluent par ces mots : « À la lumière de nos observations, l’équilibre entre les avantages et les inconvénients du vaccin nécessiterait une réévaluation. » (Petersen 2020, v° originale, v° française)

Avec le Gardasil, cela pourrait donc être un terrible “effet kiss cool”… Le cerveau de nos jeunes enfants devrait faire face non seulement à la toxicité d’un adjuvant aluminique récemment développé par Merck (et toujours sous secret industriel), mais aussi à la présence d’un ADN étranger, celui du papillomavirus. 

On ne peut qu’être inquiet, d’autant plus que :  

  • On a retrouvé des particules de l’antigène vaccinal HPV 16 dans la paroi de vaisseaux sanguins et dans le parenchyme cérébral de deux jeunes filles décédées de mort subite peu de temps après une vaccination par le Gardasil (Tomljenovic et Shaw 2012).
  • Contrairement aux propos rassurants diffusés par l’ANSM, son rapport sur le Gardasil (2006 – 2020) mentionne 846 effets indésirables graves (dont 4 décès). Parmi ces 846 effets graves, 115 atteintes démyélinisantes (dont 47 à 53 scléroses en plaques, 12 Syndrome de Guillain Barré ou Syndrome de Miller-Fisher, 4 encéphalomyélites aiguës disséminées) et 19 cas de myofasciite à macrophages / fibromyalgie /syndrome de fatigue chronique. Et il ne s’agit là que de cas notifiés et confirmés médicalement, donc sans prise en compte de la sous-déclaration majeure des effets indésirables, de l’ordre de 90 à 99 % (Begaud 2002, Hazell 2006, réseau ces centres régionaux de pharmacovigilance CRPV 2006 – confirmé par une thèse de doctorat de 2019).

Nous avons saisi la justice en référé, et le Conseil d’État, dans son arrêt du 9 février 2024, a rejeté notre demande de moratoire, suivant en tout point la position du ministère de la Santé (voir notre article). Mais ni l’un ni l’autre n’ont répondu à notre alerte sur le double risque « adjuvant aluminique + ADN du HPV » dans le cerveau de nos enfants ou petits-enfants.

L’ANSM refuse elle aussi de répondre à cette question. 

Que recouvre ce silence ? 

Aussi, nous avons maintenu notre procédure judiciaire (sur le fond) auprès du tribunal administratif de Paris. Nous attendons de la justice qu’elle oblige les autorités sanitaires soit à produire les informations qu’elles détiennent, soit à reconnaître qu’elles n’ont pas de réponse aux questions posées, ce qui ne manquera pas d’éclairer le tribunal sur la pertinence de notre alerte.

L’ANSM – Une agence sanitaire qui se moque des Français

Le 19 octobre 2023, les associations E3M et REVAV ont adressé un courrier à l’ANSM (Agence Nationale de sécurité du Médicament) dans lequel elles expriment leur inquiétude au sujet de la campagne de vaccination contre le HPV et de l’utilisation du Gardasil. 

L’Agence aura mis 6 mois pour répondre. Et quelle réponse ! 

L’ANSM s’est en effet contentée de développements génériques (similaires aux éléments de langage développés par le gouvernement pour soutenir la campagne déployée dans les collèges), sans se donner la peine de répondre aux questions précises soulevées dans le courrier (courrier E3M-REVAVRéponse de l’ANSM). 

Nous avons exprimé notre indignation dans un courriel envoyé le 06 mai 2024 à la Directrice Générale de l’ANSM : 

Bonjour Madame Ratignier Carbonneil,

J’accuse réception de votre courrier (non daté) envoyé par voie électronique le 30 avril 2024, il est censé répondre à celui que nous vous avons adressé en date du 19 octobre 2023.

Sauf que l’ANSM ne s’exprime que par des généralités sur la vaccination HPV et ne répond en aucun point aux questions légitimes soulevées par nos associations. Aucune réponse n’est apportée aux questions précises que nous vous avons posées, alors même qu’elles traitent de sujets essentiels pour la santé de nos concitoyens. Et de penser notamment à l’alerte lancée par le Docteur Lee et le Professeur Belec quant à la contamination du Gardasil par des fragments d’ADN du HPV scotchés sur l’adjuvant, alerte qui s’ajoute bien entendu à celle concernant le recours à un adjuvant aluminique non évalué par la communauté scientifique indépendante de l’industrie. Tous ces éléments sont d’autant plus préoccupants que, comme vous le savez, les adjuvants aluminiques migrent dans l’organisme et peuvent atteindre le cerveau…

En 20 ans de relations avec l’Agence du médicament (Afssaps puis Ansm), je n’ai jamais vu un tel mépris pour une association de victimes de produits de santé, qui plus est agréée par le ministère de la Santé comme représentante des usagers de la santé.

Aussi, je vous prie de bien vouloir nous apporter des réponses dignes d’une agence de santé aux questions soulevées par nos associations.

Pour faire valoir ce que de droit, 

Didier LambertPrésident E3M

Car nous avons des raisons d’être inquiets…

En 2012, le Dr Lee alertait sur la présence d’ADN du HPV dans le Gardasil. Alors que la notice du Gardasil stipule que « Gardasil est un vaccin adjuvé quadrivalent recombinant non-infectieux préparé à partir de pseudo-particules virales (VLP pour Virus Like Particles) hautement purifiées de la principale protéine L1 de la capside des HPV de types 6, 11, 16 et 18. Les VLP ne contiennent pas d’ADN viral, elles ne peuvent pas infecter les cellules, se multiplier, ni provoquer de maladie » (RCP, chap. 5.1), le Dr Lee affirmait le contraire, précisant même que « ces fragments d’ADN se révèlent être solidement liés aux particules insolubles d’adjuvant AAHS » (Lee 2012, v° originale, v° française).

Le 22 mai 2014, le Pr Belec (HEGP, France) confirmait cette contamination lors du colloque de l’OPECST consacré aux adjuvants vaccinaux : « On peut quantifier de façon assez grossière entre 200 et 400 fragments d’ADN L1 du HPV par ampoule de Gardasil. (…) on trouve de l’ADN L1 dans un vaccin où l’on ne devrait pas en trouver. (…) Il faut absolument continuer les recherches sur ce sujet. (…) les interactions entre des résidus d’ADN L1 du HPV et l’hydroxy-phosphate d’aluminium pourraient éventuellement être associées à des phénomènes pathologiques, probablement complexes et non univoques. » (Rapport p. 60 et 61).

L’inquiétude du Pr Belec est d’autant plus justifiée que plus personne ne peut ignorer le fait que les adjuvants aluminiques migrent dans l’organisme et peuvent pénétrer le cerveau (Flarend et al. 1997, Académie de médecine 2012, Khan et al. 2013, Eidi et al. 2015, Crépeaux et al. 2015 – voir Gherardi et al. 2015 et Masson et al. 2022 pour revues complètes). 

Nous savons par des scientifiques danois que l’adjuvant du Gardasil (le sulfate d’hydroxyphosphate d’aluminium – AAHS) n’a pas été approuvé correctement par l’Agence Européenne du Médicament : « Merck pourrait avoir obtenu l’autorisation pour l’AAHS sans avoir suivi les recommandations requises pour les nouveaux adjuvants », notamment en nommant « placebo » un comparateur qui contenait, lui aussi, l’adjuvant AAHS.  Ils notent en particulier que « le fabricant de l’AAHS semble avoir empêché la réalisation d’études indépendantes sur l’AAHS, bien que des experts de la caractérisation des adjuvants à base d’aluminium aient émis l’hypothèse que l’inclusion de groupements sulfate augmenterait l’acidité au point d’injection, ce qui entraînerait probablement une toxicité accrue concomitante. » Ils concluent par ces mots : « À la lumière de nos observations, l’équilibre entre les avantages et les inconvénients du vaccin nécessiterait une réévaluation. » (Petersen 2020, v° originale, v° française)

Avec le Gardasil, cela pourrait donc être un terrible “effet kiss cool”… Le cerveau de nos jeunes enfants devrait faire face non seulement à la toxicité d’un adjuvant aluminique récemment développé par Merck (et toujours sous secret industriel), mais aussi à la présence d’un ADN étranger, celui du papillomavirus. 

On ne peut qu’être inquiet, d’autant plus que :  

  • On a retrouvé des particules de l’antigène vaccinal HPV 16 dans la paroi de vaisseaux sanguins et dans le parenchyme cérébral de deux jeunes filles décédées de mort subite peu de temps après une vaccination par le Gardasil (Tomljenovic et Shaw 2012).
  • Contrairement aux propos rassurants diffusés par l’ANSM, son rapport sur le Gardasil (2006 – 2020) mentionne 846 effets indésirables graves (dont 4 décès). Parmi ces 846 effets graves, 115 atteintes démyélinisantes (dont 47 à 53 scléroses en plaques, 12 Syndrome de Guillain Barré ou Syndrome de Miller-Fisher, 4 encéphalomyélites aiguës disséminées) et 19 cas de myofasciite à macrophages / fibromyalgie /syndrome de fatigue chronique. Et il ne s’agit là que de cas notifiés et confirmés médicalement, donc sans prise en compte de la sous-déclaration majeure des effets indésirables, de l’ordre de 90 à 99 % (Begaud 2002, Hazell 2006, réseau ces centres régionaux de pharmacovigilance CRPV 2006 – confirmé par une thèse de doctorat de 2019).

Nous avons saisi la justice en référé, et le Conseil d’État, dans son arrêt du 9 février 2024, a rejeté notre demande de moratoire, suivant en tout point la position du ministère de la Santé (voir notre article). Mais ni l’un ni l’autre n’ont répondu à notre alerte sur le double risque « adjuvant aluminique + ADN du HPV » dans le cerveau de nos enfants ou petits-enfants.

L’ANSM refuse elle aussi de répondre à cette question. 

Que recouvre ce silence ? 

Aussi, nous avons maintenu notre procédure judiciaire (sur le fond) auprès du tribunal administratif de Paris. Nous attendons de la justice qu’elle oblige les autorités sanitaires soit à produire les informations qu’elles détiennent, soit à reconnaître qu’elles n’ont pas de réponse aux questions posées, ce qui ne manquera pas d’éclairer le tribunal sur la pertinence de notre alerte.