20 minutes – Gard : Neuf cas d’une tumeur rare détectés dans le berceau de l’aluminium
La plateforme de chimie de Salindres, classée Seveso seuil haut, suscite localement de vives inquiétudes sanitaires et environnementales depuis des décennies.
La plateforme de chimie de Salindres, classée Seveso seuil haut, suscite localement de vives inquiétudes sanitaires et environnementales depuis des décennies.
Le plan «Investir pour l’hôpital» du gouvernement est insuffisant. Un collectif d’associations de malades, de professionnels et d’usagers demande un changement de modèle, d’urgence.
La cour administrative d’appel de Nantes a annulé, mardi 26 novembre, l’indemnisation d’une infirmière du CHU de Caen, qui a développé une grave maladie auto-immune, en 2009. Elle dit avoir été contaminée par un vaccin, neuf ans après l’injection.
L’Agence nationale pour la recherche (ANR) vient d’annoncer qu’elle apporte son financement afin de poursuivre les travaux de recherche sur l’aluminium utilisé dans les vaccins. Cette avancée historique s’inscrit dans la continuité d’une forte mobilisation citoyenne.
On ne présente plus cet ancien chef de service du département de Pathologie au CHU Henri-Mondor. Neurologue, inlassable pourfendeur de la toxicité neurologique et immunitaire des adjuvants contenant de l’aluminium. Le concept de Myofasciite à Macrophages c’est lui, magistralement détaillé dans son dernier livre.
Quinze professionnels de santé s’opposent à la récente campagne en faveur de la vaccination des filles et des garçons contre le papillomavirus. Dénonçant l’influence de l’industrie pharmaceutique sur la promotion des vaccins anti-HPV, ils appellent les pouvoirs publics à y résister et demandent un moratoire.
Fréquence mistral – De l’aluminium dans les vaccins… Parlons-en !
La question de la vaccination ne fait jamais l’unanimité ; on l’a encore vérifié en 2018 avec l’instauration à pas forcé de 11 vaccins.
Mais il est d’autres problèmes plus sournois comme la présence d’aluminium qui peut avoir des effets négatifs.
C’est le premier sujet que veut aborder une toute nouvelle association créée à l’initiative de deux médecins les docteurs Gueymard et Forrat. Le 9 mars, elles invitent deux personnalités reconnues pour évoquer la présence de ces adjuvants dans les doses vaccinales.
Une institution indépendante de l’industrie pharmaceutique a récemment blanchi les vaccins recommandés pour prévenir le cancer du col de l’utérus, controversés depuis dix ans. Des voix qui contestent solidement l’efficacité de cette vaccination mettent aujourd’hui leurs données à la disposition du public et des médias.
Le 10 janvier, Didier Lambert, porte-parole de la campagne Pour des vaccins sans aluminium a publié une tribune sur Reporterre. Le « grand débat national » voulu par l’exécutif devrait commencer le 15 janvier. Didier Lambert prend l’exemple de la « concertation nationale » sur l’obligation vaccinale de 2016 pour dire sa méfiance envers ce processus.
C’est sans précédent : la chambre disciplinaire du Conseil de l’ordre des médecins a émis un avertissement à l’encontre d’un expert pour ne pas avoir mentionné ses liens d’intérêts avec les fabricants de vaccins lors de ses interventions dans les médias. Cet expert, le pédiatre Robert Cohen, qui coordonne le réseau Infovac, une association qui propose informations et conseils sur les vaccinations, avait ainsi omis avoir perçu de plusieurs laboratoires 57 730 euros depuis 2012. Ces laboratoires sont, en premier lieu, les producteurs de vaccins Pfizer, MSD, GSK et Sanofi, selon EurosForDocs, qui reprend les données de la base Transparence Santé.