Valeurs vertes – De l’aluminium retrouvé en grande quantité dans le cerveau de personnes atteintes d’autisme

Relai de la lettre ouverte de l’association E3M au Président de la République Française et au Président de la Commission Européenne

Messieurs les Présidents,

Le 27 novembre 2017, l’association E3M (Entraide aux malades de myofasciite à macrophages) organisait un colloque au Palais du Luxembourg à Paris, en présence de chercheurs de différents pays : L’aluminium dans notre vie quotidienne, état des connaissances scientifiques internationales.

Lors de ce colloque, le Pr Christopher Exley, spécialiste internationalement reconnu de la toxicité de l’aluminium, a fait part de ses derniers travaux sur l’aluminium et l’autisme (voir sa publication et son interview).

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Paris Match – Cancer du sein, autisme… L’aluminium sera-t-il un jour mis en cause comme l’amiante ?

Par Vanessa Boy-Landry

Présent dans notre environnement, l’aluminium est-il toxique? Alimentation, produits cosmétiques, médicaments, vaccins… Quelles sont les conséquences de l’influence de ce métal sur notre santé? « On ne lui reconnaît aucun rôle biologique : la seule fonction de l’aluminium, dans le corps humain, est une fonction toxique », expliquait ce matin à Paris le Pr Christopher Exley (Angleterre) en préambule d’une table ronde scientifique devant un public attentif. Surnommé « Monsieur Aluminium »  par ses collègues chercheurs, ce professeur en chimie bioinorganique était aujourd’hui convié, avec d’autres, à faire le point sur les études les plus récentes qui mettent en cause l’aluminium dans la survenue de pathologies graves telles que cancer, maladie d’Alzheimer, autisme, maladies inflammatoires chroniques…

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Paris Match – Vaccins obligatoires : ces médecins généralistes qui s’y opposent

Un collectif de médecins généralistes qui vaccinent leurs patients s’opposent au passage de 3 à 11 vaccins obligatoires pour les nourrissons. Ils nous expliquent en quoi cette mesure qui s’appliquera à partir du 1er juin 2018, est inutile, voire dangereuse pour la santé et les droits des patients.

Comment ça se passe, en France,  quand des médecins généralistes expriment leur opposition au passage de 3 à 11 vaccins obligatoires pour les nourrissons ? Les médecins qui « jettent le trouble » au sujet des vaccins « qui sauvent des vies » pourront être poursuivis « s’ils n’adoptent pas une attitude conforme aux données de la science ou s’ils mettent en danger les patients ». Telle est la mise en garde du Dr Patrick Bouet, président du Conseil national de l’ordre des médecins (CNOM), quand « Le généraliste », un magazine destiné aux professionnels, lui demande si les médecins peuvent exprimer ouvertement leur opposition à l’extension de l’obligation vaccinale. « Quelles que soient  les convictions personnelles d’un professionnel, il se doit de protéger ceux qui l’entourent. Il n’y a pas de débat». Des propos fermes, même menaçants, dans cette interview du 8 novembre, dont on ne saisit pas clairement s’ils s’adressent aux « anti-vaccins » ou aux « anti-obligation vaccinale ».

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Alternative santé – Aluminium dans les vaccins : 13 ans d’alertes et de dénis

Une étude scientifique, dont les résultats ont été révélés au grand public par Le Parisien, montre que l’aluminium des vaccins peut migrer dans le cerveau, avec des conséquences potentiellement désastreuses pour la santé. Au lieu d’en tirer les conséquences, l’Agence de sécurité du médicament et la ministre de la Santé s’entêtent à nier les risques, y compris récemment devant la représentation nationale le 27 octobre dernier lors des débats sur l’obligation vaccinale. Alors que les preuves s’accumulent et qu’une alternative existe, les autorités sanitaires s’enferment dans le déni, au détriment des victimes de la myofasciite à macrophages, nouvelle maladie invalidante entraînée par l’aluminium des vaccins. Pour combien de temps encore ?

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Colibris – Vaccins : oui mais… sans aluminium !

L’aluminium est omniprésent dans l’eau, l’alimentation, les produits de beauté, les déodorants… Et, depuis 1926, dans la majorité des vaccins en tant qu’adjuvant. Destiné à les rendre plus efficaces, il se révèle être pourtant neurotoxique.

L’aluminium est censé être éliminé de l’organisme dans les deux à trois semaines suivant l’injection. Or, les récentes découvertes des Pr Gherardi et Authier (INSERM) contredisent cette croyance : l’aluminium perdure de nombreux mois au site d’injection vaccinale. Simultanément, il migre dans l’organisme et accède à des organes distants tels que la rate, le foie (organes du système lymphatique) et le cerveau, où il s’accumule pour partie.

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Libération – Romain Gherardi, piqûre de rappel

Pro-vaccination, ce chercheur et neurologue fait débat pour avoir alerté sur les risques potentiels liés aux adjuvants dans les vaccins.

On peut en douter, on peut la critiquer, mais avec l’annonce, par la ministre de la Santé, de l’obligation des 11 vaccins chez les nourrissons, le ton a changé, le pas de côté n’est plus autorisé. «Tout est fait pour qu’il n’y ait pas de débats», se lamente le professeur Gherardi, qui ajoute : «Ce qui me choque, c’est l’instrumentalisation du doute. Il n’y a pas de science sans une part de doute. »

Le voilà donc pestiféré. «C’est quelqu’un de sincère, mais il s’est enfermé dans sa logique», note, un brin hautain, le professeur Alain Fischer, lequel a présidé la concertation citoyenne sur la vaccination en 2016. «Dans sa discipline de neuropathologiste, il est bien. Mais il n’est pas sérieux comme scientifique, persifle un professeur d’immunologie d’ordinaire mesuré. La science demande de la rigueur. Aujourd’hui, personne ne veut contrôler ce qu’il fait, car personne n’y croit.» «Vu les réticences des uns et des autres à entrer dans les controverses vaccinales, il est parfois obligé de crier très fort», tempère la journaliste scientifique Lise Barnéoud, laquelle a écrit un livre de référence sur le sujet.

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BFMTV – Une députée LREM juge hâtif le vote sur les vaccins obligatoires

Les débats ont été vifs mais l’Assemblée a voté, vendredi, l’extension de 3 à 11 du nombre de vaccins obligatoires. Rare voix à contre-courant dans son groupe parlementaire, Blandine Brocard, députée LREM, juge que ce vote est précipité.

« Sur un sujet aussi sensible, on ne peut pas se précipiter de la sorte, surtout qu’il n’y a aucune urgence sanitaire qui soit démontrée. Derrière, de la pédagogie doit être faite. On peut très bien imaginer des campagnes télévisées comme il a été fait pour la sécurité routière, ça a très bien fonctionné. Une éducation à vaccination dans les écoles… « 

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Libération (AFP) – Onze vaccins obligatoires : feu vert de l’Assemblée après des débats teintés d’émotion

Porter de trois à onze le nombre de vaccins obligatoires pour les enfants qui naîtront à partir du 1er janvier 2018: l’Assemblée nationale a voté vendredi cette mesure de «santé publique», selon le gouvernement, après de vifs débats et un moment d’émotion.

Ces onze vaccins – coqueluche, rougeole-oreillons-rubéole, hépatite B, bactérie Haemophilus influenzae (source de méningites), pneumocoque, méningocoque C, en plus de la diphtérie, du tétanos et la poliomyélite – seront obligatoires pour les enfants de moins de deux ans, et indispensables pour l’admission en collectivité (crèche, école…), ainsi que le prévoit un article du projet de budget de la Sécu.

Les parents récalcitrants ne seront toutefois pas sanctionnés pour défaut de vaccination.

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Le Point – Vaccins obligatoires : feu vert des députés après un vif débat

La mesure polémique votée en commission devra être revotée dans l’hémicycle. Certains députés estiment toujours qu’elle renforcera la défiance des Français.

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Stratégie nationale de santé : lettre ouverte de France Assos Santé à Mme Agnès Buzyn

France Assos Santé, qui regroupe 77 associations d’usagers du système de santé, adresse ce 17 octobre une lettre ouverte à Madame la Ministre de la Santé et des Solidarités.

Ce courrier déplore que le calendrier d’élaboration de la stratégie nationale de santé ne permette pas la mise en œuvre d’une véritable co-construction, qui constitue pourtant la pierre angulaire de la démocratie sanitaire.

Nous demandons donc à la Ministre de desserrer le calendrier de la concertation pour permettre à l’ensemble des acteurs de la démocratie sanitaire de véritablement contribuer à une stratégie qui détermine les grands axes de la politique de santé dans les cinq ans à venir.

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