E3M reste fidèle à ses principes :
Sortir de l’émotionnel et du dogme, se baser sur la science, la raison et le bon sens
Notre article consécutif à la conférence de presse du Président Trump a suscité une double réaction chez deux de nos sympathisants. C’est peu étant donné le sujet, mais nous pensons que leur questionnement est possiblement partagé par d’autres membres de notre réseau. Aussi c’est l’occasion pour E3M d’expliquer son positionnement, sur les deux domaines abordés par la critique : « comment pouvez-vous soutenir Trump » et « d’accord, l’aluminium est un problème, mais ce n’est pas le seul ».
« Comment pouvez-vous soutenir Trump ? »
Nous avons réagi dans le domaine qui est le nôtre, celui des adjuvants aluminiques.
En effet, nous soutenons une décision qui pourrait être prise par l’administration américaine, il ne s’agit donc pas d’un soutien à la personne du Président des États-Unis d’Amérique.
Notre réaction serait exactement la même si la décision de retirer les adjuvants aluminiques des vaccins avait été annoncée, alors qu’ils en avaient la possibilité au cours de leur mandat, par Barack Obama, Joe Biden, François Hollande, Emmanuel Macron ou tout autre responsable politique de quelque pays que ce soit. Nous sommes très vigilants à ne pas nous positionner en fonction de l’orientation politique des décideurs.
Nous sommes intervenus par le passé auprès de tous les partis politiques français et de tous les candidats à la présidentielle, quelle que soit leur couleur politique.
Le candidat François Hollande et Marisol Touraine, sa future ministre de la Santé, se sont engagés en 2012 à financer la recherche sur les adjuvants à base d’aluminium et à faire en sorte que les Français puissent avoir accès à des vaccins sans aluminium. Ils n’ont pas respecté leur promesse. Et depuis 2018, la plupart des politiques et des médias font l’autruche sur ce sujet de santé publique pourtant majeur, malgré les alertes (citoyennes et scientifiques). Pour le dire autrement, ils sont complices des drames générés par les adjuvants aluminium.
Nous sommes, à l’origine, une association de victimes de l’aluminium vaccinal et cette cause passe pour nous avant toute autre considération, car nous avons en priorité la volonté de préserver les enfants. Alors oui, nous nous réjouissons de ce qui se passe outre-atlantique sur ce sujet des adjuvants aluminiques, d’autant que les décisions prises par les agences sanitaires nord-américaines (FDA, CDC, NIH) sont en général suivies par les agences européennes, avec quelques temps de retard. S’il se confirme, le retrait du mercure et de l’aluminium de tout vaccin serait une avancée majeure.
Concernant Robert F. Kennedy Jr
Nous nous sommes réjouis de sa nomination comme secrétaire d’État à la Santé, car nous connaissons ses positions sur les adjuvants à base d’aluminium. Nous connaissons aussi son parcours, les combats qu’il a engagés et gagnés dans le domaine des produits phytosanitaires (contre Monsanto). Et s’il est monté au créneau sur la question vaccinale, c’est à la demande de familles d’enfants autistes.
Il est traité d’antivax par “ les tenants du système ”. Mais il n’a jamais annoncé qu’il allait interdire toute vaccination, il a même dit le contraire !
- Il veut que les adjuvants à base d’aluminium et le mercure soient retirés des vaccins
- Il veut s’assurer de l’innocuité et de l’efficacité des vaccins
- il veut laisser le choix aux gens concernés (le fameux consentement libre et éclairé)
E3M est résolument favorable à ces trois axes de sa politique de santé publique.
Robert F. Kennedy Jr est quelqu’un de dangereux pour l’industrie pharmaceutique.
Nous avons à plusieurs reprises expliqué ce qu’était la fabrique du doute (Proctor, à l’origine du concept d’agnotologie – l’étude de la production de l’ignorance), ou la fabrique du mensonge (Foucart). Ils montrent par exemple comment sont organisées les campagnes visant à dénigrer les gens qui dérangent… Le Pr Gherardi a aussi été traité d’antivax, alors qu’il ne cesse de dire qu’il est favorable au principe de la vaccination.
Même qualificatif pour E3M d’ailleurs, alors même que nous avons co-financé (avec une mutuelle) une étude pour nous assurer que le phosphate de calcium pouvait remplacer l’aluminium comme adjuvant vaccinal. Discréditer le messager est plus facile à faire que de répondre au message par des arguments étayés.
Parmi ceux qui agitent le spectre des “ antivax ”, on retrouve les “ experts ” d’Infovac, réseau d’influence auprès des pédiatres et de nombreux médecins généralistes. Vous ne serez pas étonnés de découvrir leurs liens d’intérêts majeurs avec l’industrie pharmaceutique, une enveloppe qui pèse près de 18 000 000 d’euros sur les 5 dernières années (voir notre dossier et notre article France Culture complice de désinformation qui montre comment s’exerce la désinformation en matière vaccinale, sous la houlette d’Infovac).
La France est le premier pays au monde à avoir alerté sur les risques sanitaires liés à l’utilisation d’adjuvants aluminiques (unité INSERM du Pr Gherardi, depuis 1998) et l’association E3M est la seule organisation dans le monde à se mobiliser exclusivement sur ce sujet (depuis 2001).
Alors oui, nous nous félicitons qu’un gouvernement se décide enfin à prendre en compte ces alertes et décide de retirer cet aluminium des vaccins, sachant qu’il existe une alternative avec le phosphate de calcium, comme nous l’avons démontré depuis plus de 10 ans, en nous appuyant sur les travaux du Pr Relyveld (Institut Pasteur).
Notre engagement est citoyen, il est et restera basé sur la science.
« L’aluminium n’est pas le seul produit toxique dans les vaccins »
E3M a été créée en 2001 par Christelle Dupont, et mise sur les bons rails par Patricia et Georges Baslé. Sophie Chevry, puis notre équipe actuelle, leur ont succédé. Tous, nous avons fait le choix qu’E3M soit d’une part centrée sur l’adjuvant aluminique, et d’autre part basée sur la science pour appuyer son plaidoyer.
Cela ne veut pas dire qu’il n’y a pas d’autres ingrédients toxiques, simplement nous restons dans notre domaine de compétence, et nous essayons d’être le plus efficace possible.
À chacun d’agir dans son domaine. Pour nous, association de victimes des adjuvants à base d’aluminium, notre combat vise à ce que ce produit neurotoxique soit retiré le plus vite possible de tous les vaccins, notamment ceux injectés aux enfants ou adolescents (ils contiennent tous de l’aluminium, à l’exception du ROR – Rougeole Oreillons Rubéole).
Nous avons fait le choix de ne pas nous disperser.
- Soutenir la recherche
- Agir en justice
- Rechercher l’indemnisation du préjudice pour les victimes
- Informer le plus grand nombre sur la toxicité des adjuvants à base d’aluminium,
- est une tâche qui nous mobilise pleinement (et il y a déjà énormément à faire).
Mais nous sommes aussi profondément solidaires des victimes d’autres produits (le mercure par exemple), ou d’autres vaccinations (contre le Covid par ex.), et nous l’avons exprimé à maintes reprises.
Nous profitons de cet article pour vous lancer un appel.
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