Adjuvant aluminique et asthme : une étude condamnable

Autisme et vaccination : la fin d’un mythe

– Le système immunitaire est bien plus complexe et méconnu que ce que le grand public croit.
– Les systèmes immunitaires et nerveux (entre autres) sont interconnectés : les mêmes molécules conditionnent les deux systèmes.
– Une très solide littérature démontre qu’activer de façon précoce le système immunitaire peut troubler le développement cérébral et nerveux du nourrisson.
– L’intensité, la durée et la fréquence des activations immunitaires sont des facteurs de risque, le tout en fonction du stade de développement du nourrisson.
– La vaccination a pour but d’activer le système immunitaire : pratiquée pendant la grossesse ou au début de la vie, elle peut impacter le développement neurologique du nourrisson (en particulier chez les garçons).
– Les adjuvants aluminiques sont conçus pour booster les vaccins et activent de manière répétée, plus fortement et plus durablement le système immunitaire. Ils sont donc un facteur supplémentaire de trouble, de façon immédiate ou retardée.

[Désintox] L’aluminium dans les vaccins est-il dangereux ? Non, selon Check News…

Le journal Libération a lancé le site Check News pour « aider les Français à se faire leur opinion ». « Place aux faits » est-il dit dans la présentation… Mardi 2 janvier, une grande question d’actualité est posée : l’aluminium dans les vaccins est-il dangereux ? Check News répond de manière très convenue : absence de nuisibilité. Comme il n’est pas possible de contester sur le site l’argumentaire élaboré par Check News, nous diffusons ce communiqué de désintox.

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[Désintox] L’agence du médicament doit mettre à jour ses données sur la myofasciite à macrophages

Mardi 2 janvier 2018, France Info a diffusé ces propos tenus par l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament (ANSM) :

« Il y a très très peu de patients qui font état de myofasciite à macrophages* à la suite d’un vaccin. Nous n’avons aucun signalement depuis 2015. Au long cours, on en a eu assez peu : moins de 10 cas diagnostiqués depuis 2006. »

Cette information de l’ANSM est fausse.

Parmi les adhérents de l’association E3M, 89 personnes ont été diagnostiquées entre 2006 et 2017 (certificat de biopsie faisant foi). Le chiffre réel est bien supérieur, la totalité des malades n’adhérant pas à l’association.

Les chiffres émanant du centre de référence sur la myofasciite à macrophages (Pr Authier – hôpital Henri Mondor, Créteil) font état, pour ce seul centre, de 213 cas positifs entre le 01 janvier 2006 et le 31 décembre 2017.

Ces données ne représentent que la partie émergée de l’iceberg.

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Extension de l’obligation vaccinale : réponse à cinq fausses informations

Ces dernières semaines, de fausses informations ont été répandues tant dans la presse que devant la représentation nationale autour du projet d’extension de l’obligation vaccinale. La ministre de la santé ainsi que le rapporteur général pour le PLFSS (projet de loi de financement de la sécurité sociale) à l’Assemblée Nationale ont diffusé des données erronées.

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Désintox : la toxicité de l’aluminium vaccinal ne serait pas prouvée ! (LCP)

Flagrant délit de mensonge du Pr Odile LAUNAY (Vice-présidente du Comité Technique des Vaccinations) sur LCP

Samedi 31 octobre, La Chaîne Parlementaire a rediffusé l’émission « État de santé » intitulée : « Vaccins : retrouver la confiance » (disponible en replay).
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L’étude de l’ANSM sur la vaccination contre le HPV est partielle

Vaccination contre le papillomavirus : l’agence du médicament veut rassurer l’opinion mais son étude est partielle et ses conclusions partiales

L’ANSM a diffusé un communiqué le 14 septembre 2015 sur les résultats de l’étude réalisée conjointement par l’ANSM et l’Assurance Maladie qui « montrent que la vaccination contre les infections à papillomavirus humains (HPV) par Gardasil ou Cervarix n’entraîne pas d’augmentation du risque global de survenue de maladies auto-immunes » (…) mis à part une « augmentation du risque de syndrome de Guillain-Barré » aux « conséquences limitées (1 à 2 cas pour 100 000 filles vaccinées) ». L’ANSM en déduit que « les bénéfices attendus de cette vaccination en termes de santé publique restent bien plus importants que les risques auxquels elle peut exposer les jeunes filles. »

Cette étude suscite de la part de l’association E3M de fortes critiques.
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