Aluminium et vaccins : les victimes demandent réparation

Vendredi 29 mai 2015 à 10h

Hôtel Campanile – 28 av du Gal De Gaulle – Bagnolet

La myofasciite à macrophages, maladie neuromusculaire induite par les sels d’aluminium contenus dans de nombreux vaccins, a un impact important sur la vie des personnes qui en sont atteintes. La vie sociale et familiale est profondément perturbée par les douleurs, les troubles cognitifs, l’épuisement (qui empêche généralement de sortir, aller au cinéma, recevoir ses amis…). Le maintien d’une activité professionnelle est dans la plupart des situations impossible, avec comme conséquence des ressources financières souvent très réduites.

Ce préjudice mérite compensation, car ces personnes n’ont fait que respecter les textes de loi qui imposaient telle ou telle vaccination, ou suivre les recommandations des autorités de santé. Une indemnisation ne leur rendra pas la qualité de vie initiale. Mais elle leur permettra au moins de vivre dignement…

Orianne, en 1ère année de médecine, a dû arrêter ses études universitaires suite à une vaccination contre le papillomavirus (Gardasil) ;

Stanley, en 1ère S, est maintenant déscolarisé, après avoir reçu un DTPolio avec aluminium (Revaxis);

Florence, aide-soignante, ne peut plus travailler : elle a été vaccinée contre l’Hépatite B (Engerix);

Tous les trois vont témoigner de leur parcours et expliquer pourquoi, avec 40 autres victimes de l’aluminium vaccinal, ils déposent un dossier d’indemnisation,

En présence de leurs avocats, Me François Jégu (Rouen), Me Denise Pombieilh (Pau), Me Cédric De Romanet et Me François Lafforgue (Paris et Marseille).

Et de Danièle, femme de militaire. Pour suivre son mari en mission à l’étranger, elle a été vaccinée contre les hépatites A et B. Son état de santé est très détérioré, mais elle n’a droit à aucune indemnisation, car elle ne rentre pas dans les bonnes cases…

N’est-il pas temps de faire preuve de solidarité et de prendre en compte toutes les victimes, quelles que soient les raisons pour lesquelles elles ont été vaccinées ?

N’est-il pas temps, pour éviter de nouvelles victimes, de mettre en œuvre le principe de précaution avec la remise à disposition de vaccins sans aluminium (notamment le DTPolio®)?

A l’issue de la Conférence de Presse, les dossiers de demande d’indemnisation seront remis à l’ONIAM, 36 av du Gal De Gaulle – Bagnolet

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