Loi de santé : protéger la population n’est pas à l’ordre du jour

Hier soir, 28 septembre, deux amendements étaient soumis au vote des sénateurs. Ils visaient, grâce à la remise à disposition de vaccins sans aluminium (DTPolio), à protéger les enfants entrant en collectivité des effets délétères de cet adjuvant.

Ils ont été rejetés. La Ministre de la Santé justifie ainsi sa position : « Pour l’heure, aucun élément ne permet d’étayer les inquiétudes que vous exprimez ». Il s’agit d’une contre-vérité inacceptable, tout comme la seule affirmation rassurante répétée comme un leitmotiv : cela fait 90 ans que l’on utilise l’aluminium comme adjuvant, et ceci sans problème.

Cet acte de foi ne résiste pas à une analyse sérieuse des alertes portées par des scientifiques de plusieurs pays. Celles-ci sont à la disposition de tous par la campagne que nous venons de lancer pour des vaccins sans aluminium.

Nous injectons régulièrement à toute la population et particulièrement à nos enfants et petits-enfants un adjuvant dangereux. Celui-ci migre dans l’organisme selon un processus qui est de mieux en mieux cerné, et en partie s’accumule dans le cerveau. Du fait de la forte neurotoxicité de cet aluminium, les risques sont majeurs pour nos enfants. Nul ne peut maintenant l’ignorer.

Face aux positions dogmatiques, nous présentons des faits, des publications scientifiques sérieuses.

Face au déni, nous opposons la lucidité et le courage.

Nous remercions profondément les sénatrices, sénateurs et député-e-s, qui, inlassablement, depuis plusieurs années, cherchent à convaincre leurs collègues. Nous rappelons que 90 d’entre eux ont lancé dès 2013 un appel public en faveur de la remise à disposition d’un DTPolio sans aluminium. Ils ne sont toujours pas entendus. Car le principe de précaution ne s’applique pas lorsque l’on parle de vaccination, cela se voit bien dans les propos échangés au Sénat.

Cette loi de santé représentait portant une double opportunité :
– Prendre d’urgence des décisions visant à protéger nos enfants et petits-enfants,
– Montrer ainsi à tous les français que les responsables politiques entendaient leur très forte demande, et préparer ainsi le retour de la confiance dans l’acte vaccinal.

Par manque de lucidité et de courage, les décisions ont été reportées dans l’attente des résultats d’une « étude sur les adjuvants aluminiques » demandée à l’Agence nationale de sécurité du médicament, qui seront connus en 2017.

Ces questions seront bien sûr au cœur du débat sur la vaccination des prochaines semaines, piloté par Sandrine Hurel.

Nous affirmons ici notre entière disponibilité à y participer, pleinement et totalement, y compris dans les modalités de son organisation. Car nous sommes des victimes de cet aluminium vaccinal, et nous voulons épargner aux autres les vies brisées que nous connaissons.

Si le gouvernement entend mener un vrai débat, il doit s’en donner les moyens, et notamment entendre les lanceurs d’alerte non seulement français mais aussi internationaux tels le Pr Shoenfeld, spécialiste incontestable des maladies auto-immunes, et auteur de cette nouvelle approche du « syndrome auto-immunitaire/inflammatoire des adjuvants » ou le Pr Exley, qualifié de Monsieur Aluminium par ses pairs.

Un second aspect ne peut être ignoré : ce vaccin DTPolio sans aluminium existait, sa commercialisation a été suspendue en 2008 suite à une « augmentation importante de cas d’allergies ». Cette affirmation est fausse, nous avons apporté la preuve de la falsification des données par le fabricant. Cela n’émeut guère le gouvernement qui n’a diligenté aucune enquête. Cela est, pour nous, profondément choquant, et nous inquiète au plus haut point sur l’état de notre démocratie.

CONTACTS PRESSE

Didier Lambert, Porte-parole de la campagne – 06 72 41 20 21
Yves Ketterer, Coordinateur de la campagne – 06 65 08 32 91

Site internet : www.vaccinssansaluminium.org
Email : contact@vaccinssansaluminium.org

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