Sécurité vaccinale : les USA sur la bonne voie
Le Président Trump et le Secrétaire d’Etat à la Santé Kennedy ont tenu ce lundi (22 septembre 2025) une conférence de presse, au cours de laquelle de nombreux engagements ont été annoncés.
E3M réagit aux propos exprimés dans le domaine qui est le sien : la sécurité vaccinale, et en particulier la neurotoxicité des adjuvants à base d’aluminium.
Continuer la politique de l’autruche ou se décider à agir ?
Face à l’explosion des cas d’autisme et de nombreuses maladies chroniques, il y a deux manières de réagir : fermer ses yeux et ses oreilles en abandonnant les victimes à leur sort, ou chercher à comprendre ce qui peut être à leur origine.
Les causes de ces pathologies sont probablement multiples, et l’agriculture industrielle est logiquement mise en cause du fait de son utilisation de produits toxiques. Les français en sont conscients comme l’a montré l’engouement de la pétition contre la loi Duplomb. Mais des produits de santé sont aussi sur la sellette.
Le gouvernement nord-américain a le courage d’interroger sa politique vaccinale. Cela ne va pas plaire à l’industrie pharmaceutique et à ses relais dans l’opinion publique (voir notre lettre ouverte à France Culture, et les deux rapports associés : Rappel des connaissances scientifiques sur les adjuvants à base d’aluminium et Les liens d’intérêts des experts Infovac).
- Oui, les USA ont raison de vouloir mettre fin à la vaccination dès les premières heures de vie d’un enfant, notamment contre l’Hépatite B (Gallagher et Goodman 2010).
- Oui, aucun vaccin ne doit contenir de produits toxiques, notamment des composés mercuriels ou aluminiques. La dernière publication de l’équipe française experte sur les adjuvants à base d’aluminium démontre d’ailleurs que la détermination de la quantité d’aluminium dans les vaccins ne repose sur aucune donnée de sécurité (Angrand, Gherardi, Crepeaux 2025, version originale – version française).
- Oui, il existe des adjuvants alternatifs, tels la tyrosine microcristalline (Leuthard 2018) ou le phosphate de calcium, considéré comme un “ adjuvant biodégradable ” par certains chercheurs (voir le rapport E3M de 2015 et la publication de Masson et al. de 2017 Calcium phosphate: a substitute for aluminum adjuvants?). Ces alternatives, défendues par E3M depuis plus de 10 ans, se sont vues confirmées par une récente publication (Pérez, Lujan & al, 2025) qui conclue ainsi : “ Ce travail est le premier à démontrer l’efficacité des adjuvants alternatifs biocompatibles dans les vaccins pour les ovins ”.
Pour E3M, l’étape suivante devra cibler ces trois objectifs :
- Déterminer les ravages causés par l’injection de ces composés toxiques
- Trouver les traitements permettant une vraie prise en charge des malades (actuellement abandonnés)
- Indemniser ceux-ci pour le préjudice subi.
Et en France, quelles options ?
- Les autorités sanitaires françaises ont maintenant le choix : soit elles s’arc-boutent sur leurs certitudes contredites par une science indépendante de l’industrie pharmaceutique, soit elles ont la lucidité de s’associer à cette démarche courageuse venue des USA.
- Les journalistes français sont concernés, eux-aussi, par cette nécessaire et inéluctable introspection. Ils se doivent d’appliquer la Charte de déontologie de Munich (“ Respecter la vérité, quelles qu’en puissent être les conséquences pour lui-même, et ce, en raison du droit que le public a de connaître la vérité – Ne jamais confondre le métier de journaliste avec celui du publicitaire ou du propagandiste “).
Il est temps de rappeler que Science sans conscience n’est que ruine de l’âme (Rabelais – 1483-1553).