Aluminium vaccinal : lorsque la censure sévit…

Dans notre bulletin scientifique d’avril 2019, nous avions expliqué la censure dont était victime le Pr Lluis Lujan (lire notre réaction). L’article rédigé par son équipe, intitulé Cognition et comportement chez le mouton vacciné (de manière répétée) avec des vaccins contenant un adjuvant d’aluminium ou avec un adjuvant d’aluminium seul, avait en effet été retiré par l’éditeur.

Ce même article vient d’être accepté par le « Journal of inorganic Biochemistry ». La science indépendante a finalement eu le dernier mot. Cette fois-ci…

Pour contrer les découvertes sur la dangerosité de l’aluminium notamment vaccinal, il existe un autre moyen que la censure : publier de la « mauvaise science », renforçant ainsi « la fabrique du doute », par exemple en omettant volontairement les travaux qui dérangent.

Madame Grangeot-Keros, secrétaire perpétuelle de l’Académie de pharmacie, vient de se livrer à cet exercice. Le résumé de son article se trouve dans notre nouveau bulletin scientifique (page 3), publié en février 2020.

Il est mentionné, dans cette publication très contestable, que « à ce jour, aucun lien ne serait établi entre la toxicité directe de l’aluminium et les vaccins », et « ceux-ci ne sont pas responsables de la Myofasciite à Macrophages ».

Ces deux modes de censure sont profondément scandaleux et révoltants.

Ils peuvent malheureusement se conjuguer pour faire taire toute opposition à la voix officielle. Ainsi, les éditeurs de la revue Médecine et Maladies Infectieuses, qui ont diffusé l’article de Mme Grangeot-Keros, refusent de publier une lettre contestant les fondements même de l’article, car « le ton polémique employé dans cette lettre ne permet pas sa publication » !

Comment ne pas faire le lien avec le fait que cette revue est « L’organe d’expression de la Société de Pathologie Infectieuse de Langue Française (SPILF) » dont une part très importante des financements, hormis les adhésions, proviennent des industriels du vaccin ?

Cette attitude est parfaitement contraire à l’éthique scientifique. Cette lettre, rédigée par des spécialistes internationaux de la toxicité des adjuvants aluminiques, sera sans aucun doute prochainement publiée grâce à un éditeur conscient de sa mission au service d’une science honnête et indépendante. Nous vous la ferons connaître dans notre prochain bulletin.

LA vérité scientifique est un leurre, le débat est une profonde nécessité, notamment entre chercheurs. Nous ne devons pas transiger sur l’honnêteté qui doit prévaloir à ces échanges, il en est de notre responsabilité à tous de condamner ces pratiques inacceptables.

Didier Lambert
Co-président E3M

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