Aluminium et vaccins : lettre d’E3M au président de l’Académie de pharmacie

Monsieur le Président,

Vous avez accompli un vrai travail de concertation pour l’élaboration de votre rapport « les adjuvants aluminiques : le point en 2016 ». En particulier, contrairement à vos collègues de l’Académie de médecine (2012) ou du Haut Conseil de Santé Publique (2013), vous avez rencontré les chercheurs de l’unité INSERM qui travaillent sur la problématique aluminium – myofasciite à macrophages, et vous avez aussi auditionné notre association.

Nous nous félicitons de cette approche très nouvelle dans le domaine de la vaccination !

Bien que rien ne vous y oblige, il aurait été intéressant que vous nous soumettiez la version finale de votre rapport avant publication, car cela aurait évité de graves erreurs qui influencent probablement votre sentence finale : « aucun lien de causalité n’a pu être établi, à ce jour, entre notre pathologie et les adjuvants aluminiques ».
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Annonce officielle : il existe une alternative à l’aluminium !

Hier, samedi 2 avril, nous étions invités à un débat ayant pour thème « Vaccination: entre déficience des stocks et défiance du grand public », dans le cadre du salon Pharmagora réunissant chaque année de nombreux pharmaciens et journalistes.

Le Professeur Floret, président du Comité technique des vaccinations (organisme officiel chargé d’élaborer la stratégie vaccinale), a fait une déclaration essentielle :

« Le phosphate de calcium [composant naturel de l’organisme] représente une alternative à l’aluminium utilisé comme adjuvant dans les vaccins ».

C’est la première fois que le président d’un tel organisme, qui a pour mission de conseiller le gouvernement sur sa politique vaccinale, reconnait l’existence d’un adjuvant pouvant remplacer l’aluminium. Il confirme ce que nous avançons depuis des années.
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Débat sur les vaccins : nous ne voulons pas d’une démocratie en trompe l’oeil

Lancées depuis 2001, les actions en faveur de vaccins sans aluminium reçoivent un écho de plus en plus important. Des élus se mobilisent, mais aussi des journalistes, des chercheurs, des citoyens et bien sûr des malades victimes de l’aluminium vaccinal. Les preuves de la toxicité de l’aluminium sont reconnues par tous les travaux menés jusque là, même par l’Académie de médecine. Il n’est plus possible aujourd’hui d’ignorer cette volonté largement exprimée : nous voulons des vaccins sans aluminium.

Face à cette détermination, la Ministre de la Santé a décidé la tenue d’un grand débat sur la vaccination au cours de cette année 2016. Or nous sommes en mars et nous ne savons toujours pas comment sera organisée cette concertation. Sept parlementaires de tous bords politiques ont interpellé la ministre sur les modalités de mise en oeuvre du débat. Ils n’ont reçu aucune réponse. Nous devons nous assurer de la grande transparence de ce débat et de la prise en compte des propositions d’acteurs de la société civile.

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L’aluminium, vers des millions de victimes?

Par Gwenola Le Dref

L’aluminium occupe de plus en plus le devant de la scène médiatique, notamment à cause de sa présence dans de nombreux vaccins. Il fait l’objet d’un nombre croissant d’études scientifiques mais aussi d’alertes citoyennes. Mais quels sont précisément les fondements de ces mises en garde ?

L’aluminium a été reconnu neurotoxique par l’académie de médecine dans un rapport du groupe de travail intitulé “Les adjuvants vaccinaux : quelle actualité en 2012 ?”. L’INVS (Institut Nationale de Veille Sanitaire) indiquait dans son rapport de 2003 que “l’aluminium est un neurotoxique connu”. Pourtant, on continue de l’utiliser tant dans l’alimentation, les cosmétiques que les produits pharmaceutiques comme les vaccins.
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La réponse des victimes du vaccin Hépatite B au non-lieu de la justice

Le REVAHB (association des victimes du vaccin Hépatite B) a publié le 17 mars un communiqué de presse pour réagir à l’ordonnance de non-lieu rendue dans le dossier pénal de la vaccination anti-hépatite B. Nous en reproduisons ici une partie.

« Les victimes du vaccin hépatite B et leur famille ne se faisaient guère d’illusions sur une justice qui, depuis l’affaire du sang contaminé, règle régulièrement toutes les plaintes par un non-lieu ou une relaxe.

Les conséquences en sont graves car l’impunité récurrente des responsables les encourage à recommencer.
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Exposition au mercure et à l’aluminium pendant le développement de l’enfant : quels impacts ?

L’exposition au mercure et à l’aluminium pendant le développement de l’enfant : quels impacts neurologiques et immunologiques ?

Une publication de G Dorea – Brésil

Durant la grossesse, l’enfant est déjà exposé à l’aluminium et au mercure, les métaux assimilés par la mère par voie orale ou vaccinale étant transmis directement à l’enfant. Même après la naissance, l’enfant continue d’assimiler ces métaux lourds via le lait maternel qui en contient naturellement. Les alternatives utilisées par les mères sont les préparations de lait de vache ou de soja disponibles en magasin. Or, il s’avère qu’en plus de la concentration initiale de métaux dans le lait, il faut y ajouter la concentration de métaux dans l’eau utilisée pour préparer ces laits. Ainsi, les préparations contiennent plus de métaux lourds que le lait maternel.
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Dangerosité de l’aluminium dans les vaccins : de nombreux parlementaires questionnent la Ministre de la Santé

Depuis 2010, 250 parlementaires, sensibilisés par E3M, ont posé des questions écrites ou orales aux ministres de la Santé successifs. Leur volonté : interpeller l’exécutif sur la dangerosité de l’adjuvant aluminium contenu dans les vaccins.

La dernière question a été posée, le 25 février 2016, par le sénateur Michel Le Scouarnec. Il interroge la Ministre de la santé sur une potentielle « Interdiction de l’utilisation de l’aluminium comme adjuvant dans les vaccins ». Il reprend les résultats des dernières études menées par les Pr Gherardi et Authier (grâce à un financement public) pour attester du caractère toxique de cet adjuvant.
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Le scandale des effets secondaires (Irène Frachon)

Le Dr Irène Frachon, lanceuse d’alerte dans le scandale du Mediator publie une vaste enquête sur le circuit de mise au point et d’autorisation des médicaments. Un appel à assainir un système où autorités sanitaires et lobby pharmaceutique sont trop imbriqués.

Effets secondaires : le Scandale français, c’est le titre du nouveau livre d’Irène Frachon, cette pneumologue au CHU de Brest qui a lancé l’alerte débouchant sur le scandale du Mediator de Servier. Avec le journaliste Jean-Christophe Brisard et l’avocat Antoine Béguin, elle signe une vaste enquête à paraître jeudi 10 mars 2016 qui, en analysant nombre des scandales sanitaires de ces 50 dernières années, tente de décrire les conditions nécessaires à une meilleure information des patients quant aux effets secondaires de leur traitement.
Surtout, elle pointe le problème majeur du puissant lobby de l’industrie pharmaceutique dont l’influence lui permettrait d’être protégé à la fois par les experts médicaux et le système juridique. Ainsi, par exemple, Jean-Christophe Brisard souligne-t-il qu’en 2013, « le Conseil économique et social européen se déclarait inquiet de voir que 85 % du budget de pharmacovigilance de l’Agence européenne des médicaments est financé par les labos ».

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« Il y a une certaine omerta concernant les victimes de médicaments » (Clotilde Cadu)

Auteure de « Effets indésirables, victimes des médicaments », la journaliste Clotilde Cadu évoque le « déni » dont souffrent les victimes.

Près de 150.000 personnes hospitalisées après la prise de médicaments. « Les chiffres (qui remontent à plusieurs années) sont déjà effrayants et il est possible que la réalité le soit encore plus. » Dans son ouvrage Effets indésirables, victimes des médicaments*, la journaliste Clotilde Cadu lève le voile sur une réalité assez effrayante.

« Dans les 13.000 ou 18.000 morts constatées après la prise de médicaments, il y a un certain nombre de décès qui sont, hélas, inévitables, mais il semblerait selon les estimations de plusieurs chercheurs sur ces questions-là qu’un tiers soit évitable », relève la journaliste de Marianne. « Soit parce que le médicament n’avait pas d’efficacité ou qu’il provoquait plus d’effets indésirables que de bénéfices, ou qu’il a été mal prescrit, ou trop longtemps ou en dehors des indications. Un tiers évitable, ça fait pas loin de 6.000 personnes. »

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Les victimes de la pharmacovigilance française

Le 23 février 2016, la pharmacovigilance était de nouveau sur la sellette au Ministère de la Santé, pour manquement grave d’informations sur les effets indésirables de la Dépakine. Il y a 5 ans, les mêmes reproches étaient portés, ils concernaient le Mediator. Dans quelques mois, un constat identique sera fait sur les déficiences de la pharmacovigilance vis-à-vis de l’aluminium utilisé comme adjuvant vaccinal…
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