« Ces découvertes ouvrent des perspectives vertigineuses sur la survenue de maladies chroniques » (Toxic story)
Connaissez-vous les origines du nouveau scandale sanitaire, l’aluminium utilisé comme adjuvant dans de nombreux vaccins ? Le Pr Romain Gherardi, neuropathologiste à l’hôpital Henri Mondor de Créteil, en est l’un des acteurs principaux. Le roman Toxic Story. Deux ou trois vérités embarrassantes sur les adjuvants des vaccins, publié aux éditions Actes Sud, retrace cette histoire aux airs de roman policier.
Tous les quinze jours, nous vous proposerons un extrait de cette enquête scientifique, avec l’aimable autorisation des éditions Actes Sud.
Toxic Story. Deux ou trois vérités embarrassantes sur les adjuvants des vaccins (extrait)
PROLOGUE
« L’histoire que j’entreprends de raconter ici n’a pas encore de dénouement. C’est d’ailleurs pourquoi je l’écris, porté par l’espoir d’en hâter la fin. Elle n’a pas de héros mais des protagonistes. Je suis l’un d’eux depuis vingt-deux années, par un de ces concours de circonstances qu’on peut nommer au choix chance ou malchance, hasard ou destin.
C’est l’histoire d’une nouvelle pathologie, devenue peu à peu l’histoire d’une longue traque. Si le coupable court depuis 1926, la première scène de crime n’est photographiée qu’en 1993, et il faudra attendre encore cinq ans avant qu’il soit identifié. En 2016, il circule toujours sans être inquiété alors que la liste de ses victimes ne cesse de s’allonger. Chacun de ses procès, toujours dans l’ombre d’un huis clos, s’est soldé jusqu’à aujourd’hui par un nonlieu. “Faute de preuves”, disent les autorités compétentes. Faute, surtout, de moyens. Car l’État, sidéré par la complexité de l’affaire, demeure en retrait.
Ceci n’est pourtant pas un roman policier. Si cet ouvrage se veut le récit d’une enquête, elle a pour cadre hôpitaux et laboratoires, et la traque qui s’y trouve relatée n’est pas celle d’un homme mais celle de particules cristallines dont la taille dérisoire a longtemps occulté la toxicité. Avant que ne débute cette histoire, j’en ignorais jusqu’à l’existence et l’usage. En apprenant à les connaître, j’ai découvert avec stupeur que ceux qui préconisent leur injection chez l’homme depuis des décennies n’en savaient guère plus que moi. Leur titre officiel d’“adjuvant” incite d’ailleurs à la confiance : l’hydroxyde d’aluminium, pour ne citer que le plus répandu, n’est que l’humble serviteur des vaccins, dont il favorise l’action – à moindres frais pour les laboratoires en charge de leur production. En vertu de quel mécanisme ? Avec quelle destinée après l’injection ? Mystère. Mais à quoi bon se poser la question, après tant d’années de bons et loyaux services sans faux pas apparent ? »
« Depuis 2014, nous avons les preuves scientifiques que le discret “adjuvant”, loin de se dissoudre dans les tissus après avoir fait son office, non seulement persiste longuement dans l’organisme, mais peut migrer dans le cerveau pour n’en plus ressortir.
De sa présence dans le système nerveux, nous avions des indices bien avant de l’y débusquer, à travers les effets neurotoxiques avérés de l’aluminium et le long calvaire de nos patients. Manquait la “plausibilité biologique” d’un lien de causalité, sans laquelle les patients, taxés de malades imaginaires, sont invariablement priés de consulter en psychiatrie.
Nous l’avons aujourd’hui – chez l’animal… Qui plus est, la compréhension des mécanismes biologiques mis en oeuvre a permis d’identifier des facteurs génétiques de susceptibilité chez nos patients, ouvrant la voie à des mesures préventives individualisées.
Bien au-delà des seuls vaccins, ces découvertes ouvrent, en outre, des perspectives vertigineuses sur la manière dont divers facteurs environnementaux des plus courants pourraient favoriser la survenue de nombreuses maladies chroniques. Pourtant, le doute, toujours lent à s’estomper et de surcroît favorable à des intérêts financiers considérables, subsiste chez les autorités appelées à statuer. Et tant qu’il durera, des femmes, des hommes du monde entier continueront de souffrir, de nouvelles victimes viendront inexorablement grossir leurs rangs. Corollaire non moins préoccupant : ce déni persistant d’une toxicité désormais avérée induit dans la population une méfiance grandissante à l’endroit de la vaccination. Le médecin que je suis ne saurait s’y résoudre.
Ce livre vous invite à suivre les étapes d’une enquête médicale et scientifique mouvementée, aujourd’hui près de s’achever. Quelques dogmes n’en sortent pas intacts, entraînant dans leur chute bien des certitudes au-delà des seuls adjuvants. À l’instar de toute enquête, celle-ci en dit aussi fort long sur les acteurs qui y ont contribué : s’y dessineront donc des portraits qui, mis bout à bout, constituent celui d’un système auquel j’appartiens – le système de santé. Je pensais le connaître. Force m’est aujourd’hui d’avouer que son fonctionnement me laisse sceptique. Mais tel est, semble-t-il, le lot commun des “lanceurs d’alerte”.
L’histoire commence un matin de décembre 1993… »
mon fils a la sclérose en plaques avec le vaccin contre l’hépatite B. Il ne faut pas que les vaccins soient obligatoires