Toujours plus de vaccins avec aluminium : une rentrée toxique

C’est la rentrée scolaire. Au menu : obligation vaccinale étendue et aluminium supplémentaire dans l’organisme de nos enfants

Vous le savez, c’est la première rentrée depuis le passage à onze vaccinations obligatoires. Tous les enfants nés à partir du 1er janvier 2018 doivent maintenant justifier des vaccinations suivantes :

  • Diphtérie :
  • Tétanos ;
  • Polio ;
  • Coqueluche ;
  • Haemophilus influenzae B ;
  • Hépatite B ;
  • Méningocoque C ;
  • Pneumocoque ;
  • Rougeole ;
  • Oreillons ;
  • Rubéole.

Les enfants nés avant le 1er janvier 2018 restent dans le cadre de l’ancienne loi où seuls trois vaccins étaient obligatoires (diphtérie, tétanos, polio). Les obligations et recommandations officielles les concernant sont présentés sur ce site officiel.

Rappel : Le DTPolio sans adjuvant permettait de répondre à cette obligation vaccinale en sécurité. Sa commercialisation a été arrêtée par le fabricant en 2008 pour des raisons fallacieuses. E3M a porté plainte, en 2014, pour faux, usage de faux et escroquerie (lire notre dossier). L’instruction est en cours au pôle santé publique du Tribunal de Grande Instance de Paris.

Parmi les nouveaux vaccins obligatoires, un seul ne contient pas d’aluminium : le ROR (rougeole, oreillons, rubéole).

En tant que parents, vous vous posez de nombreuses questions face à cette situation.

Certains d’entre vous, nous le savons, ont choisi de ne plus travailler pour garder leur enfant à la maison et lui éviter ainsi ces vaccinations avec un aluminium neurotoxique. En général les mères. Quel progrès…
D’autres, sans doute la majorité, n’auront pas cette possibilité et leurs enfants vont donc recevoir ces 11 vaccinations. Il existe des solutions permettant peut-être de minimiser les effets indésirables de ces injections. Nous les présentons ICI.
Enfin, nous rappelons que la loi prévoit des contre-indications aux vaccinations. Elles doivent être justifiées par le médecin traitant, comme nous l’indiquons dans cet article.

Pour E3M, il n’est pas question de se résigner. L’obligation vaccinale demeure une mesure inappropriée que rien ne justifie, et le retrait de l’aluminium de tous les vaccins reste une priorité. Nous en rappelons les raisons.

Orelhii pour E3M

Orelhii pour E3M

 

Pourquoi nous sommes opposés aux 11 vaccinations obligatoires

Comme nous l’avons détaillé dans ce rapport transmis aux parlementaires en 2017 (« Projet d’extension de l’obligation vaccinale : une réponse inadaptée et dangereuse »), cette mesure est fortement critiquable pour deux raisons essentielles.

Le principe même de l’obligation vaccinale

Ce principe va à contre-courant de toute l’évolution du droit des patients. Il nie le « colloque singulier » qui existe entre le patient et son médecin. Celui-ci permet d’appréhender l’ensemble des paramètres liés à la fois à la personne elle-même, à son environnement familial et professionnel, à ses risques d’exposition, puis à faire un choix tenant compte du bénéfice-risque à la fois individuel et collectif. Les Français sont aptes à comprendre la complexité des questions liées à la vaccination. L’obligation vaccinale revient à les infantiliser.

La sécurité des vaccins avec la présence d’un adjuvant neurotoxique

Comme nous l’expliquons dans cette vidéo d’animation de 2 minutes et dans le documentaire L’aluminium, les vaccins et les 2 lapins… réalisé par Marie-Ange Poyet, il est indéniable aujourd’hui que l’aluminium est un adjuvant neurotoxique.

Or, l’injection de vaccins supplémentaires induit de facto des doses supplémentaires d’aluminium dans l’organisme. À présent, chaque enfant recevra, entre 0 et 7 ans, près de 4 mg d’aluminium.

Les récents travaux de l’INSERM (hôpital Henri Mondor, Créteil) montrent que la toxicité de l’aluminium est de type particulaire, c’est-à-dire qu’elle s’exprime dès les plus faibles doses. Et contrairement à certaines affirmations simplistes et scientifiquement sans fondement, on ne peut comparer l’aluminium ingéré avec les aliments d’avec l’aluminium injecté lors de la vaccination (nous démontrons l’absurdité de cette comparaison dans notre réponse aux industriels du médicament, voir plus loin).

Ces mêmes travaux de l’INSERM ont montré de manière incontestable que contrairement à ce qui était imaginé auparavant, cet aluminium vaccinal n’est pas éliminé de l’organisme en quelques semaines. Au contraire, il s’accumule dans des zones de l’organisme où sa toxicité peut s’exercer (cellules de l’immunité, système nerveux central).

Plusieurs dizaines de milliers de Français sont probablement déjà atteints d’un syndrome de fatigue chronique provoqué par l’aluminium vaccinal.

 

infographie

 

Les recherches menées par le Pr Exley (Grande-Bretagne) sont par ailleurs inquiétantes. Comme il l’explique dans cette interview, il a retrouvé de très fortes quantités d’aluminium dans le cerveau de personnes autistes. Et cet aluminium semble avoir été apporté par les cellules de l’immunité (macrophages) venant de la circulation sanguine et lymphatique. Même si ces recherches n’apportent pour l’instant pas la preuve d’un lien entre aluminium vaccinal et autisme, elles devraient inciter à la plus grande des prudences.

Les conséquences multiples de ces découvertes ne peuvent plus être ignorées. Or, Les agences sanitaires continuent à s’appuyer sur quelques rares études obsolètes et méthodologiquement irrecevables pour rassurer sur la sécurité des sels d’aluminium.

Comme l’a montré un sondage BVA en juillet 2017, 9 parents sur 10 continueraient à faire vacciner leur(s) enfant(s) si l’obligation vaccinale était levée. Cette demande a été fortement exprimée lors de la « concertation citoyenne » menée en 2016 par le Pr Fischer. Les Français attendent des vaccins sans aluminium comme l’un des principaux leviers à même de rétablir la confiance vaccinale à hauteur des recommandations de l’OMS (95%).

 

La toxicité de l’aluminium vaccinal n’est pas un sujet important pour les institutions sanitaires

Alors que l’ANSM (Agence du Médicament) recommandait en mars 2017 la poursuite d’études qu’elle n’avait pas les moyens de financer, rien ne se passe. Les demandes de financement déposées par les chercheurs auprès de l’ANR (Agence Nationale de Recherche) n’ont pas été retenues, alors même que les projets de recherche présentés étaient classés comme excellents, comme le relate Fabrice Nicolino dans Reporterre.

Comme nous l’expliquons en détail dans notre documentaire, un « black-out » général est organisé sur cette question majeure de santé publique. Un jour, chacun devra rendre des comptes, car notre association E3M n’entend pas baisser les bras. Depuis sa création, sa devise est « nous ne lâcherons rien. »

 

Les entreprises du médicament cherchent à discréditer les lanceurs d’alerte

En juillet 2018, le LEEM (les entreprises du médicament) a publié un rapport intitulé « Le point sur l’aluminium et les vaccins – 9 questions-réponses ». Pour en résumer le propos : il n’y a aucun problème avec l’aluminium vaccinal, la dose reçue par ces injections est minime et l’alimentation en apporte beaucoup plus, le phosphate de calcium n’est pas une alternative fiable, la myofasciite à macrophages n’est pas une maladie, une seule équipe dans le monde travaille sur le sujet et la qualité de ces travaux n’est pas reconnue.

La volonté de l’industrie pharmaceutique est claire : récuser toute critique sur l’aluminium vaccinal et discréditer les lanceurs d’alerte, quitte à utiliser des arguments scientifiques erronés et à diffuser des propos calomnieux… Comme une impression de déjà-vu…

Dans notre contre-rapport, nous répondons point par point aux arguments du LEEM. Nous faisons le constat de cette double casquette des entreprises du médicament : fabricants de vaccins et manipulateurs d’opinion, un positionnement extrêmement dangereux pour notre démocratie. Plusieurs ouvrages ont été consacrés à ce péril, dont celui de Stéphane Foucart, journaliste au Monde : La fabrique du mensonge – Comment les industriels manipulent la science et nous mettent en danger. Nous rappelons aussi l’alerte lancée par John Virapen, ancien PDG du laboratoire Lilly en Suède :

« Ne croyez pas une seconde que les compagnies pour lesquelles j’ai travaillé soient des cas isolés et je ne suis pas moi-même un cas isolé. Tout le système fonctionne de cette façon (…). C’est une pratique quotidienne dans l’industrie pharmaceutique. (…) Elle traduit un mépris cynique et total des malades et de la vie humaine par la manipulation de l’information et la désinformation délibérée. » (John Virapen)

 

Orelhii pour E3M

Orelhii pour E3M

 

Agissons ensemble !

Nous, association E3M, nous voyons de près l’action des laboratoires pharmaceutiques… Nous connaissons ces “experts” leaders d’opinion qui défendent la présence d’aluminium dans les vaccins, déversant leur morgue sur les lanceurs d’alerte que sont les Prs Gherardi et Authier, le Pr Exley en Grande Bretagne, le Dr Lluis Lujan en Espagne ou le Pr Shoenfeld en Israël… Et nous connaissons malheureusement leur influence sur les très frileuses agences sanitaires et de trop nombreux organes de presse qui n’osent même plus aborder le sujet de la sécurité vaccinale…

Face à cela, nous ne pouvons rester silencieux. Il s’agit pour nous d’un acte de résistance pour préserver la santé de la population, mais aussi pour sauver notre démocratie.

Depuis le début de l’année, l’action d’E3M ne repose que sur le bénévolat. Si nous voulons faire entendre notre voix et partager nos connaissances, agir avec force, aller plus loin et plus vite avec tous ceux qui ont conscience des enjeux et souhaitent s’engager, alors il nous faut une équipe de professionnels qui puisse apporter sa compétence dans les domaines scientifiques et de la communication.

Sans votre soutien financier, cela ne peut exister. Nous vous invitons donc à faire un don pour nous permettre d’agir avec force, ensemble. En donnant 5€ ou 10€ par mois, vous contribuez à soutenir nos actions sur le long terme. Un grand merci d’avance !

 

Votre engagement peut prendre aussi d’autres formes :

 

« Agir aujourd’hui pour ne pas avoir de regret demain » (Damien Berrard)

 

4 réponses
  1. Rob
    Rob dit :

    Merci pour ces infos qui donnent le vertige…
    Augmentation des vaccins = augmentation de ces maladies neurodégénératives.
    Depuis les années 60 on parle du risque de l’adjuvant aluminique dans les vaccins, il y a d’autres alternatives pourtant (cf calcium Pasteur…)
    L’obligation vaccinale n’est pas une nécessité de santé publique, pour quoi la France se précipite sans moratoire sur la vaccination
    La Suède a déclaré l’obligation de vaccination non constitutionnelle en 2017, en Allemagne, Angela Merkel rappelle l’importance du libre choix des citoyens sur la vaccination….nos élus en France trop corruptibles?

    Répondre
  2. Proust
    Proust dit :

    Après 2 vaccins obligatoires à l’âge de 7 ans un de mes proches à été paralysée on a cru que c’était un Guillaume barré soigné à l’hôpital Trousseau puis il a rechute et à du resté 1 mois à Neck er après avoir été en réanimation ! !! Il n’avait pas pu retrouver ses releveurs il devait marcher avec des attelles à 14 ans il a du subir 2 operations Le chirurgien de chaque cote lui a pris un muscle pour le réimplanter à la place du muscle atrophié … Voilà ce que peuvent donner les effets secondaires soit disant bénins ! !!

    Répondre

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